Contrats

Depuis un moment Avdotia galopait sur sa jument, dans Askant. Les gens s'écartaient du chemin, ne voulant pas risquer de prendre un coup de sabot...Elle avait la tête en arrière, humant le vent, les sourcils légèrement froncés. Elle sentait qu'elle approchait de la cible. Fantastique. C'était...C'était...Raen Myrrin. Parfait. Elle n'aimait pas les prétentieux...Elle allait donner une leçon à ce petit qui pensait pouvoir survivre dans ce monde impitoyable. Bon. Quand elle disait "petit", il avait quand même 18 ans...Mais elle savait que le caratère de sa proie n'était que trop puéril. Elle ne savait elle même pas comment elle pouvais savoir tout ça, simplement à l'odeur...Peu importait, pourvu qu'elle puisse accomplir ses contrats comme il fallait...Elle approchait de plus en plus. Elle freina sa jument qui secoua la tête, mécontente. Avdotia fouilla dans sa sacoche et mit son masque. Elle rabatti son capuchon sur sa tête. Elle sentait son coeur faire un bond. Fantastique! L'odeur provenait d'une maison, mélangée à celle d'autres personnes et d'un fumet apétissant d'un repas. Elle descendit de cheval.

- Reste ici, je reviens.

Elle entra dans la maison. Des éclats de rire retentirent dans une pièce à droite. La cible y était, surement accompagnés d'amis tout aussi ignorants qui lui servaient aussi de garde du corps. Mais Avdotia se dirigea dans la pièce de gauche. C'était une sorte de petite cuisine. Une odeur féminine s'y trouvait. Une servant qui cuisinait. Lentement, sans faire de bruits, Avdotia sorti son épée. Elle approcha par derrière. La femme tomba à genoux, la gorge tranchée, morte. Elle n'avait pas eu le temps de crier. La jeune fille soupira et essuya la lame tachée de sang sur le tablier de la morte. Elle n'avait pas le temps de prendre le parfum de la servante. Alors, elle sorti de sa sacoche une petite fiole. Le parfum d'une autre servante. Elle versa une goutte sur un mouchoir qu'elle tampona dans son cou. Elle se tourna vers le roti encore grésillant posé sur une table. Elle sorti une autre fiole. Du poison. Un des plus foudroyant qu'elle avait. Elle en versa dans la nourriture et prit le plat. L'illusion parfaite. Elle ne ressemblait pas à une servante, mais mais l'odeur les dupera que trop facilement. On sous-éstime souvant le pouvoir des parfums. Elle se dirigea dans l'autre pièce et dit:

- Voila, bon appétit.

Ils la remercièrent et se dépéchèrent de se servir. La proie d'Avdotia, tout en mangeant, se vantait d'avoir résisté a des menaces,...Des éclats de rire retentissaient. Ils mangeaient depuis déjà quelques instants...Soudain, ils se crispèrent, toussotèrent, et tombèrent morts. La jeune femme se dirigea vers sa proie, lentement. Elle se baissa et prit le poignet, sentant le pouls. Rien. Mort, parfaitement. Elle retira la chevalière et la glissa dans une pochette. Un sur quatre. La journée s'annonçait bien...Avdotia resta un moment accroupie, pensive. Elle secoua la tête, se releva et dit, narquoise:

- Au plaisir de ne jamais vous revoir, messieurs...

Elle fit une petite courbette et se redressa en riant. Elle sortit de la maison. Son cheval l'attentait toujours. Elle monta. Le cheval se cabra puis reparti au galop. En direction de la prochaine cible. Qui est-ce que ça sera...là était la question. Elle huma l'air. Ah! C'était cette femme...Cette sale catin appatée par le gain. Elle était prête à tout pour de l'argent. C'était surement pour ça qu'elle avait fondé ce guilde...Avdotia se dit qu'heureusement il y avait des personnes pour se débarrasser de ce genre d'immondice...Heureusement qu'il y avait des assassins...

Morda Hira...Avdotia avait hate de pouvoir la tuer, celle là. Une salope de moins, une. De plus, ayand déja commis un meurtre, elle était partie dans le feu de l'action. Plus! Plus de sang, il lui en fallait! Elle frémissait, au grand galop, le vent faisant voler sa cape. Avdotia riait ouvertement. Elle était prise d'une hilarité soudaine, incroyable. La liberté la grisait-elle, petit oiseau sorti de sa cage, volant a tire-d'aile. Enfin, petit oiseau se posa. La jeune femme desendit du cheval. C'était encore dans une maison, mais cette fois à l'étage suppérieur. Hum...ça allait être un peu plus compliqué, la cible était accompagnée d'un homme. Pas la peine de se creuse la tête pour savoir ce qui se passait...Avdotia grimaça. Elle allait devoir attendre...Elle sentit autour d'elle. Bizarrement, il y avait un arbre juste là à coté de la fenêtre. Un arbre en pleine ville, comme ça. Elle trouvait ça étrange. Elle murmura à sa jument:

- Va vers l'arbre, et ne bouge plus...

Elle se félicita de l'acquisition de ce cheval. Il ne payait pas de mine, mais vallait tout les pur-sang du monde...Elle fit demi tour et elle entra dans la petite bâtisse. Elle marcha d'un pas plutôt rapide, mais néanmoins silencieux. Elle entendit des gardes du corps, dans une pièce à coté du couloir. Ils parlaient de tout et de rien, et semblaient plutôt éméchés...Carrément ivres en fait. Avdotia grimpa les escaliers sans faire aucun bruit. L'étage du dessus était vaste. Parfait. La jeune fille alla se cacher dans un coin d'ombre, absolument imperceptible. Quelques instants plus tard, on ne sait combien de temps, une porte s'ouvrit. Un homme en sorti. Peut être un des directeur d'un des nombreux bordels qui appartenaient à Morda Hira. Il descendit les escaliers, d'un pas lourd. Il n'avait pas apperçu Avdotia. Cette dernière avança et se dirigea vers la chambre de sa cible. La proie était encore nue, assise sur le lit, rêvassant. En entendant la porte s'ouvrir, elle demanda:

- Alors, mon chéri, t'as oublié quelque chose?

Ce n'était pas le dit Cheri. C'était Avdotia, épée dégainée. Morda comment ça un cri, mais la lame vint lui trancher la gorge. Avdotia se précipita et rattrapa le corps en train de tomber. Avec les dents, elle arracha un lambeau de chair. Puis, elle se délecta du sang qui coulait, à même la gorge, tout en retirant à taton la chevalière. Ensuite, elle lacha sa proie qui était encore à peine vivante. Ensuité, l'épée vint lui traverser le ventre dans un léger bruit. La lame se retira pour traverser la poitrine cette fois Avodtia était déchainée. Elle imprima une pression vers le bas à son arme. Un bruit satisfaisant lui répondit. En faisant de son épée une sorte de levier, la cage thoracique avait éplosé, et le coeur avait volé a travers la pièce. Etrange non? Et pourtant...La jeune femme levait et abbatait son épée jusqu'à ce que le tronc ne ressemble plus à rien si ce n'était qu'à une sorte de bouille rouge, informe. Avdotia essuya son épée et la remit dans son fourreau. Elle sorti sa dague, plus petite et pratique. Elle démembra alors sa victime. Les bras, les jambes, aux épaules, bassin, genou, coude, poignet et cheville. Elle s'acharna sur le visage, lui tranchant le nez, les oreilles, lui arrachant la chair de la joue, mettant l'os à nu. Symboliquement, elle lui arracha les yeux, et la langue. Sortant un bocal rempli de liquide de sa sacoche, elle y mit les globes occulaires et la langue. Sortant un autre bocal, elle alla chercher le coeur. S'amusant à faire un peu de biologie, elle s'amusa à retrouver quelques organes et les placer un peu partour dans la pièce. Le foie, l'estomac, les poumons, l'utérus, les intestins...Enfin, ce qui en restait. La jeune femme, respirait d'une manière saccadée, se calmant peu à peu. Tout ce sang, cette odeur de sang qui lui assaillait les narines...Divin...Elle alla à la fenêtre et sauta. Tendant les mains, elle se rattrapa à une branche. Elle descendit de l'arbre et sauta sur sa jument, partant au grand galop en direction d'une nouvelle orgie sanglante...

Alexio Vorno, Torn de Lein. Il ne restait plus que les deux. Deux sur quatre. Les rênes lachées, au grand galop, Avdotia mit la chevalière dans la pochette.

- Torn, ou Alexio...La n'est pas la question...Il faut que je les tue les deux, de toute façon...

Elle reprit les rênes et tira légèrement, faisant passer sa jument au trot. Elle était arrivée dans des cartiers chics d'Askant. C'était là qu'habitait Torn de Lein. Dailleurs, il ne devait pas être tellement loin. Son odeur, très faible, mais néanmoins présente parvenait aux narines fines de la jeune femme. Elle arrêta sa jument et descendit. Il falllait qu'elle se la joue fine, là. Il serait surement entouré de gardes du corps. Il devait savoir que quelqu'un allait vouloir lui porter atteinte. Il s'y attendait. Et quand on était riche, on avait les moyens de protéger sa propre vie...Elle ne se voyait pas user encore du poison. Ni de son épée, d'ailleurs. Elle n'aimait pas être répétitive...Elle imaginait bien avec une flèche. Mais elle n'avait pas d'arc...Elle se débrouillerait...Oh! Que sentait-elle? Un homme, marchant jsute devant elle, avait un arc, un carquois. Lachant son cheval, elle s'approcha et posa sa main sur l'épaule.

- Monsieur, s'il vous plait, voulez-vous me suivre? Mon ami s'est fait attaqué, là bas!

il la suivit, un peu inquiet, lui posant des questions. Elle l'entraina dans une ruelle sombre. Un peu méfiant, d'une voix bourrue il demanda ce qui se passait, qu'il ne voyait pas ledit ami. Avdotia sorti un parfum. C'était un parfum qui faisait tomber la victime dans les pommes, pour qu'elle se réveille, après et qu'elle ne se souvienne de rien. ça marcha parfaitement, il s'écroula. La jeune femme retira le carquois et prit l'arc. Elle retourna dans la rue principale. Elle passait inaperçue. Elle retourna au près de son cheval. Il y avait un immeuble en construction, pas très loin, il lui semblait. Elle demanda à un passant si il y en avait effectivement un. On lui répondu que oui, juste à droite, mais qu'il n'y avait personne, les ouvriers étaient en train de manger. Parfait. Toujours autant silencieuse et discrète, elle alla vers cette batisse. elle murmura à l'adresse de son cheval:

- Tu reste à ma hauteur, de l'autre coté, ne laisse personne s'approcher

Sa jument la comprenais très bien. Elle devait avoir des ancêtres licornes ou quelque chose comme ça...Avdotia sourit et elle sauta sur les échafaudage, et un peu plus tard, elle sautait de toits en toits. L'odeur était se rapprochait de plus en plus. Sa proie était en train de faire une sorte de petit discour, perché sur une estrade. Enfin, elle sentit qu'elle était juste derrière. Elle s'arrêta. Personne ne l'avait apperçue. Elle mit la flèche comme il faut, et tendit bien la corde. Elle visa. Elle savait exactement où il se trouvait. Il y avait un garde du corps de chaque coté de lui. Trop facile. Elle reposa l'arc et prit la flèche. Elle ressorti son poison et en enduit de bout. Au cas où. On était jamais trop prudent...Elle revisa encore. L'arc était tendu à l'extrême. Elle adorait ça. La flèche était le prolongement de son bras. Sa main qui allait donner la mort. Enfin, elle lacha. La flèche perfora parfaitement la cible, en pleine tête, ressortant sur le front. Elle entendit des cris de la foule. Satisfaite, elle se tourna de l'autre coté. Sa jument était bien là, en bas. Elle sauta et attérit parfaitement sur la selle. Elle parti au galop, et retourna de l'autre coté, là où il y avait le mort. Elle cria à la foule:

- Je suis médecin, ne vous inquiétez pas!

Elle s'approcha du cadavre. Les gardes la laissèrent faire, fortement choquée. Elle prit le pouls en retirant la chevalière par la même occasion, fit semblant d'examiner la blessure.

- Il est mort sur le coup. Il n'a pas souffert. Paix à son âme.

Et aussitôt dit, elle repartit sur son cheval tout en glissant la troisième chevalière dans la pochette. Plus qu'un seul. Un seul et dernier. Là, il fallait qu'elle y aille encore plus fort. Au passage, elle retourna dans la ruelle où elle rendit l'arc et le carquois à l'homme encore dans les pommes. Et elle continua sa route, autant vite que pouvait aller son cheval dans les ruelles emplies de monde. L'oiseau libre était devenu un rapace...

Alexio Vorno. Le dernier. Il fallait que ça finisse en apothéose. Comment allait-elle le tuer? Comme Morda? Non. Surement pas. Peut-être que si, elle avait encore envie de sang...Elle réfléchissait. Comment alors, comment? Elle hésitait. Des tas d'idées lui venaient à l'esprit. Elle secoua la tête en riant. Qu'importait! Elle allait voir ce qu'elle allait faire le moment venu! Elle n'allait pas s'encombrer d'un plan innutil? Elle traversait Askant au grand galop, se frayant un brusque passage parmi la foule qui protéstait. Qui était cet énergumène qui osait chevaucher à si vive allure alors que l'endroit était bondé de monde, l'endroit le plus huppé d'Askant! L'endroit des riches, des aristocrates. Aussi l'endroit ou venait de se faire assassiner Torn de Lein, mais ils ne le savaient pas. Ils ne savaient pas non plus que c'était une femme. C'était dûr à deviner. On n'appercevait pas le visage sous la capuche. Et si on regardait en dessous, il y avait un masque qui cachait la moitié supérieure du visage. Avec cette sorte de brusquerie, de sauvagerie qui émanait de cette personne, personne n'aurait pu imaginer qu'une femme se cache là dessous! Avdotia se guidait à l'odeur ce n'était pas compliqué. Elle savait que Alexio ne se trouvait surement pas dans ces endroits chics, mais dans la misère d'Askant. Il était surement chez le miséreux, leur distribuant quelques écus, de la nourriture, des vêtements, ou je ne sais quoi...Elle se dirigeait grace a cette odeur infecte. L'odeur des lépreux, des vieillards pourrissant encore vivants, des fruits périmée grouillant de vers, de poissons se putréfiant sous la chaleur de l'après-midi sur leur étal, baigant dans leurs entrailles moisies. Les gens sentaient le sang, le fromage moisi, la pourriture de leurs dents gatées, la sueur, la boue, la crasse,...Un cimetière à coté exaltait des effluves de décomposition, de cadavres rongés par la vermine, s'entassant à l'air libre, le sol déjà trop plein de morts, d'ossements.C'était absolument infect. Evidemment, Avdotia ne trouvait aucune odeur infecte. C'était juste plus particulier. Et parmi cette puanteur qui régnait, il y avait une tache. Comme un point blanc sur une feuille noire. Une odeur propre, parfumée, sentant le satin, le velour, le cuir, le coton,...Alexio, sans aucun doute. Avdotia arriva dans cette puanteur, qu'elle reçut en plein nez. Elle adorait les putanteurs extrêmement fortes. Elle aimait décomposer cette masse, comme on tissait de la laine grossière pour en tirer plusieurs fils fins. Elle décortiquait ce bloc en plusieurs odeurs différente, les identifiant,...Elle fit passer sa jument au pas. Elle sentait le regard des gens sur elle, dûrs, envieux, perfides. Elle avait un cheval, et c'était un luxe. Ils l'auraient volontier voulu, que ce soit dans leur assiette pour pour le transport. Elle avait l'impression qu'ils allaient lui sauter dessus à chaque instant. Mais elle n'avait pas peur. Pas le moins du monde.

*Venez. Venez seulement, et vous périrez...*

Elle ricana intérieurement et eut un sourire perfide. Elle était prête à se battre. Elle ressera les rênes. Sa jument trottinait sur places, ses oreilles pivotant avec inquiétude, les naseaux ronflant d'un air méfiant. Elle n'aimait pas cet endroit sale, ni l'odeur. Avdotia senti quelques personnes approcher. Ils avaient prit des couteaux encore tachés de sang animal. Elle descendit de cheval, dégainant son épée.

- Si quelqu'un approche, je le tue et je le dépêche comme un vulgaire cochon!

Sa voix abslument calme, froide, était effrayante. Mais ce ne fut pas pour autant qu'ils reculèrent, malgré un sentiment anxieu qui commençait à les envahir. La jeune femme sourit, prête à se battre, mais une voix intervint:

- Stop! Arrêtez!

Alexio. Les gens repartirent s'asseoir dans leurs coins, l'air bougon, mais obéissant à cet homme qui les avait tant aidé.

- Excusez-les, monsieur, mais ils n'aiment pas les riches.

- Sachez, monsieur, que je ne suis pas riche. Et je suis une femme...

- Pardonnez moi, mademoiselle! Mais je n'avais pas vu! Qu'est-ce qui vous amène ici?

- Vous...

Il devina rapidement. Il daigaina son épée, prêt à se battre.

- Vous n'oseriez pas faire du mal à une femme?

- On parie?

- Quel manque de galanterie!

Elle partit à l'assaut, donnant un coup vertical. Il parra facilement. Elle retira sa lame, se baissant pour éviter l'attaque de l'adversaire et tournoya, la jambe tendue. Son pied atteint l'arrière des jambes d'Alexio qui tomba en arrière. Avotia se releva rapidement, tendant son épée, traçant une légère érafflure sur la joue de l'homme par terre. Il avait fermé les yeux, acceptant son sort à la loyale. Mais il sentit la lame se retirer. Son ennemi se releva.

- Pourquoi ne m'avez-vous pas tuée?

- Je veux m'amuser encore un peu...

Et là s'engagea un combat à l'épée. Chaque coup était paré par l'adversaire. Les lames s'entrechoquaient dans un tintement infernal. Ils reculaient, sautaient, se baissaient. Aucun coup ne marqua l'autre. Au bout d'un moment, elle dit:

- arrêtons donc de jouer...

Il acquisa d'un sourire. Il se baissa et réussi à entailler le poignet d'Avdotia qui grinaça et jura, lachant son épée. Il reparti à l'aussaut, mais elle saisit la lame de son adversaire, se coupant la paume mais ce n'étai pas grave. Elle balança son genou dans le ventre de Alexio. Il se plia en deux de douleur. Elle lui assena un coup de pieds sur la tête. Il s'éffondra. Elle s'assit sur son dos, serrant les mains sur le cou du vaincu. Il gigottait, s'étouffait. Tout en continuant à l'etrangler, elle prit son épée et lui trasperça le ventre. Puis, elle le décapita, transperçant la crane avec la propre arme du défit. Elle retira la chevalière et elle dépeça le cadavre. Elle prit aussi le coeur. Elle mit la chevalière dans la pochette et fit tinter le tout, sourire au lèvres. Elle avait accomplit la mission parfaitement. Restait plus qu'à retourner vers son cher Marneux...Et elle s'en alla...Ce qu'elle ne vit pas, ce fut que les miséreux, quand elle fut partie au grand galop, approchèrent du cadavre. Ils se baissèrent dans un moment de silencience. Et ils le mangèrent. Mêmes les os furent avalés. Ainsi, leur bienfaiteur les aura aidé jusqu'au bout...