Tue le Azlam!!!!

285 ans dans le passé...

Le soleil était rude et brûlait la peau des élèves, Arkzan marchait dans le camp, torse nu, il avait à peine quinze ans, et il était déjà dans un camp de Léoniens, son père, un homme autoritaire, voulait qu'il devienne un des plus grands guerriers que Caar ait jamais connu... Il était très grand pour son âge. Il avait à peine quinze ans et il mesurait déjà 1m87, aucun Léoniens du camp n'était aussi grand que lui, pas même les maîtres.

- Eh Longues Oreilles!

Arkzan se tourna vers le Léonien qui lui faisait signe. Un pelage sombre, des cros acérés, et des yeux jaunes. Azlam... Prince Léonien...

- Tu me fais rire avec tes longues oreilles, t'es là à bouffer que des fruits, tu sais même pas te battre!! J'ai déjà demander aux maîtres un combat, tu vas mordre la poussière!! Aussi vrai que je m'appelle Azlam!!!

Arkzan s'approcha du Léonien, un petit sourire aux lèvres.

- Je t'attends à midi dans l'arène...

Et il s'éloigna vers le baraquement destiné au non-Léoniens.

Arkzan repoussa Azlam du plat de sa lance, il ne voulait pas le tuer.

- Je demande une première pause, s'écria-t-il.
- T'es fatigué?? cria Azlam
- Tu t'es vu?

En effet Azlam était plié en deux, le souffle court, un bras saignant.

Arkzan s'assit dans un coin de l'arène. Une troupe de serviteur entrèrent dans l'arène et se précipitèrent sur Azlam, ils lui donnèrent à boire mais personne ne vint pour Arkzan, la majeure partie des Léoniens étaient pour leur prince...

Ellana regarda l'elfe en sueur s'écrouler sur un banc. out les Léoniens se dirigèrent vers l'autre combattant. Elle chercha une gourde et une fontaine. Elle trouva la fontaine facilement. La gourde, elle, était dure à trouver. Ellana chercha et se souvint qu'elle en avit une. Elle alla la remplir à la fontaine et se dirigea vars l'elfe. Elle s'arrêta juste devant lui et signala sa présence en disant :

As-tu soif ?

Elle lui tendit la gourde. Ainsi elle put regarder les traits de l'efle de plus près. Il était jeune et attirant, plein d'une énergie nouvelle. Elle se sentie bizarre. Un courant nouveau circula dans ses veines et elle fit un léger sourire. Elle sentie une rougeur lui monter aux joues mais la refoula...

Ellana commença à nettoyer la plaie avec un bout de tissu et l'arracha. Elle coupa des bandes qu'elle enroula autour du torse musclé de l'elfe. Elle faisait cela avec une aisance inouïe. Elle serra les bandes pour qu'elles tiennent et admira le résultat. Les plaies ne saignaient plus et même si le Léonien décidait de lui redonner un coup de griffe, il s'arriverat pas à trancher les bandages. Elle les avait tressés de telle façon qu'ils arrêtent les saignements, qu'ils puissent permettre à l'elfe de se battre comme s'il n'avait aucune gêne et étaient pratiquement indéchirables. Elle sourit et dit :

Normalement, cela doit tenir un long moment.

/hrpg/ S'il te plait, Arkzan, fait attention aux lignes... Décris les sentiments, apparences, pensées, tourne autour du pot, mais il faut 5 lignes! /hrpg/

Ellana regarda le marteau percuter le torse de l'ele. Elle le vit s'écrouler, rester allongé. Elle eut peur, peur de le perdre. Il lui semblait si précieux... Elle courut dans sa direction, ignorant les gens qui lui criait de rester. Elle se dirigea vers le jeune elfe. Arrivée à sa hauteur, elle se laissa tomber à genoux et commença par examiner les côtes. Elle en vit trois de cassées. Il avait eut de la chance ! Légèrement plus haut placé le coup aurait été fatale. Elle dit :

Ecoute, ça va être un peu douloureux, mais si je ne le fais pas, tu pourais te tuer en combattant.

Elle commença par toucher une côtes et avec ses doigts, elle la remit en place, essayant d'ignorer la douleur de l'elfe. Elle continua ains et au bout d'une minute interminable, elle réussit à la remettre comme il faut. Elle fit de même avec les deux autres. Après son travail achevé, elle banda soigneusement le torse de l'elfe. Elle lui dit :

Ne force pas trop mais fait attention, il ne vise que ton ventre pour te destabilliser. Prend garde. Je...

Elle s'interrompit et dit :

Ne meurt pas, j'aimerais te connaître...

Ellana regardait avec passion l'elfe se battre. Elle espérait qu'il gagne. Lorsque le marteau fut lancé vers lui, elle voulut l'avertir mais celui-ci l'attrapa au vol et le renvoya encore plus fort. Elle se sentit rassurée. Cela allait la rendre folle, follement amoureuse. Elle sourit et continua de l'encourager. Elle décida de remplir sa gourde à la fontaine. Elle la remplit à ras bord et la garda sur ses genoux, si l'elfe avait soif, elle descendrait le voir lors d'une pause. Elle continuait d'espérer sa survie en plus de sa vvictoire. Elle se mit même à murmurrer :

Vas-y, tu peux y arriver... Vas-y...

Ellana avait regardé l'elfe lui tendre la main. Son coeur fut plus fort que sa raison, elle s'élança, courant. Elle traversa les gradins et s'interposa. Il ne pouvait pas mourire. Pas maintenant. Elle lança un regard désespéré vers le Léonien et lui dit :

Si tu veux le tuer, tues-moi avant !

Elle n'avait pas réfléchit à ses paroles, en disant cela, elle avait avoué ses sentiments. Elle l'aimait, elle le savait. Elle jeta un regard sur l'elfe. Ils étaient là, seuls, comme si personne n'était présent, elle dit à l'elfe :

Je vais être franche, je t'aime...

Ellana sourit, de son plus beau sourire, le plus beau qui puisse exister. Elle sentit son coeur battre plus fort. Ils s'aimaient. Et le Léonien semblait ésiter, elle en profiat pour se dégager du chemin du marteau et d'y enlever le bel elfe. Elle se tourna vers celui qui l'aimait et dit :

Je suis Ellana. Et toi ?

Elle commença alors par sortir de son sac un des derniers linge blanc et nettoya toutes les plaies. Elle banda ensuie les plus grave et vérifia son travail.