Les elfes des glaces débarquent

Après un voyage depuis le port qui ura presque toute la journée, Tüor arrivait enfin à Askant avec la jeune elfe . Le soleil c'était éja couché et Tüor commencait à fatigué . Il se tourna vers elle
Ah on est enfin arrivé . On va à l'auberge sais tu ou elle se trouve ?
Tüor n'attendit pas la réponse pour s'approcher de la grande porte .

Un seul garde somnolait à l'entrée. C'était une grande chance! Ce devait être la fin de son tour de garde et il commençait à s'endormir. L'elfe des glaces attrapa le col de Tüor et lui chuchota à l'oreille.

-Chut. Je suis assassin souviens-toi et j'ai déjà cévi sur ce continent. Ce qui veut dire qu'on me recherche. Il faut passer innaperçu. On a de la chance il dort alors s'il te palit entrons en silence si on ne veut pas avoir de problême.

Elle marcha normalement et Tüor put alors remarquer qu'aucun son ne provenait de ses pas. Le semblait flotter sur les dalles menant vers la porte sur le côté de laquelle somnolait le garde.

*Espérons que ce chasseur sache rester assez silencieux pour passer innaperçu... Je n'aimerais avoir à...*

Elle venait de dépasser le garde, c'était à Tüor de réussir à passer maintenant.

Tüor esperait que la garde ne ferait pas attention à lui . Il fit comme son père lui avait apris, marcha doucement, il faisait des grands pas . Il it attention à ce que sa dague ne frappe la boucle de sa ceinture . Il passa près du gare pour parraitre moins louche . Le garde passé, il s'aprocha de la jeune assassin .
Tu vois il n'y a pas besoin d'être assassin pour ne pas faire de bruit...ni pour être rechercher . J'espère que tu n'es pas déçue que je ne me sois pas fait avoir...
Il arbora alors un sourire ironique .
Bon l'auberge est indiqué par là .
Il rentra dans l'auberge et s'aprocha de l'aubergiste .
Auriez-vous une chambre de libre ?
L'aubergiste le regarda de la tête aux pieds .
Ouais il m'en reste.
Pour combien on en a pour une nuit .
C'est 50 pièce d'or la nuit .
Tüor regarda d'un oeil inquiété la jeune elfe...

Elle le regarda à son tour mais avec un sourire narcoi.

-C'est toi qui a dit vouloir garder ton argent pour une bonne cause. La voici! Et puis il n'y a pas besoin d'être assassin pour avoir de l'argent. J'espère que tu ne m'en veux pas si je te laisse payer.

Elle sortit de l'auberge après avoir jettait une bourse sur le contoir.

-Je te laisse payer ta chambre. Il est hors de question que je dorme dans la même chambre que toi. Je reviendrais ce soir dans cette auberge. Bonne fin d'après midi.

Et elle disparut, laissant Tüor seul devant le comptoire qui attendait qu'on y pose les cinquante autres pièces d'or.

Tüor posa les 50 pièces d'or sur table . L'aubergiste sans un mot lui donna la clef .
Quelle chambre est-ce ?
Marqué dessus .
Tüor regarda la clef . Dessus était inscrit le chiffre neuf . Tüor emprunta donc les escaliers . Il passa devant les huit chambre puis enfonca la lourde clef dans la serrure de la neuvième . Il atterrit dans une petite chambre ou il n'y avait comme meuble qu'un petit lit . Il posa ces affaires et s'allongea sur le lit quelques minutes .
Après s'être reposé, Tûor décida de visiter la ville . Il sortit donc de l'auberge en prenant soin de ne rien laisser dans sa chambre puis s'enfonça dans la grande ville d'Askant .
La nuit commençait à tombé . Tüor venait de finir de manger son dernier morceau d'ours et au détour d'une ruel il entendit une forte voie derrière lui :
Toi là tu es nouveau ici hein! Tu ne sais pas que ces ruels sont ma demeure? Allez donne moi tout ce que tu as .
Tüor le regarda avec un sourire narquois .
Arrêtes tu vas te faire du mal .
C'était un homme . Il n'en avait jamais trop vu et celui-ci était assez petit . Un bandeau lui rabattait ces cheveux en arrière . Il tira de sa ceinture un couteau qu'il dirigea vers Tüor . Avant que Tüor n'ait sorti sa dague, l'assaillant lui sauta dessus . Tüor évita de justesse la frappe non contrôlé de son adversaire ce qui déséquilibra le petit homme . Tüor profita de ce déséquilibre pour faucher la jambe droite de son assaillant et celui-ci tomba au sol . Tûor lui sauta dessus mais il reçu un coup si puissant que la dague qu'il venait de sortir vola . Ne sachant que faire Tûor attrapa une de ses flèches et l'enfonca dans son adversaire qui ne s'atendait pas à une riposte . L'homme était alongé, ensanglanté dans cette petite ruel qu'il disait être sa demeure . Tüor était paniqué, il saisit sa dague et parti en courant en direction de l'aubrege . Il ne s'arrèta de courir qu'arrivé dans l'auberge . Il monta quatre à quatre les marches de sa chambre, y rentra et referma la porte derrière lui .

Assise sur le bureau en face de lui, l'elfe des glace jouait avec l'un de ses couteaux de lancé, un petit sourire aux coins des lèvres, ne lui accordant aucun regard, ne lui donnant rien d'autre comme explication à sa présence ici à part:

-Tu devrais apprendre à fermer ta porte à clef...

L'assassine perçu cependant une tension dans l'air et elle entendit aussi qüe son compagnon respirait bruyament. Elle arrêta de jouer avec son couteau et détailla Tüor du regard vant que ses narines ne frémissent.

-Tiens donc! Tu es devenu assassin toi maintenant? Comment ce fait-il que le sang sur le bas de ta jambe empeste celui de l'humain?

Elle s'approcha de lui lentement, le regard froid et dur.

-Tu crois vraiment qu'on a le loisir de jouer à ça! Si on se fait repéré, avec mes antécédant on va droit à la catastrophes. Un meurtre dans une grande ville a peu de chance de se faire repéré mais si jamais...

Elle se retourna et lacha un juron.

-Je ne peux donc même pas te laisser seul plus d'une heure!

Ecoute ou je le tuais ou c'étais le contraire . Il m'a attaqué dans la ruel . Mais personne n'était là, personne ne s'en rendra compte...
Tüor n'en était pas si sur mais il ne fallait pas être pessimiste .
Mais...j'avais fermé ma porte...et comment as tu su ou était ma chambre ? Tu ne devais pas t'en trouver une ?
Tant de question était sans réponse dans la tête de Tüor...

Elle réussit finalement à se calmer...

-Ma chambre est celle d'en face et fermé une porte clef, chez ça veut dire prendre des précautions. Je suis rentré sans problême avec un simple crochetage basique.

Après tout, si comme il l'avait dit, personne ne l'avait vu il ne vallait peut-être mieux aps qu'elle se fasse du mauvais sang pour rien.

-Bon. Admettons que tu sois plus dégourdis que je ne te crois. Pour ce qui est de ce que j'ai fait cette fin de journée, je n'ai aps cherchée une chambre comme tu semble l'avoir compris, j'ai récolté quelques informations. Le vieux de la grotte nous avait dit de chercher une auberge en particulière.

Elle se dirigea vers la porte.

-Demain nous nous lèverons à l'aube histoire de voir si je peux te montrer quelques trucs d'assassin. Puisque tu as décidé de tuer des humains autant que je t'apprennes à le faire proprement.

Elle commença à fermer la porte et la laissa entrouverte, un de ses yeux apparaissant encore à Tüor.

-Tu peu m'appeller Allenis.

Elle ferma la porte et s'enferma dans la sienne avant que l'elf des glace eut le temps de réagir. Elle s'était finalement décidé à lui révéler son nom. Peut-être parce qu'il lui parraissait plus digne de confience maintenant qu'ils étaient tous deux des meurtriers.

La nuit était tombée. Tüor s'allongea sur son lit et ferma les yeux. Il s'endromit peu de temps après . Il dormit bien cette nuit là . Peut être était ce du à son manque profond de someil .

Il fut réveillé le lendemain matin par un bruit assourdissent . Quelqu'un frappait à sa porte comme un damné...

Qui est-ce ?

Il n'attendait pas la réponse, il savait que c'était Allenis alors il rassembla ses affaires, se leva, s'approcha de la porte et l'ouvrit .

-Très bien... Tu n'es aps si lent que je le pensais. Allons-y.

Elle ouvrit la marche, déscendit l'escalier, passa devant le contoire sans saluer l'aubergiste, franchgit la porte donnant sur la rue, longea les murs d'un pas léger, aux aguets, silencieuse. Ils atteignirent finalement le bord de la muraille intérieur. Elle la longea et ils débouchèrent sur une petite maisonette abandonnée. Elle poussa délicatment la porte et resta sur le pas, ses yeux scrutant chaque recoin sombre de la maison. Apparemment rassuré elle traversa rapidement la pièce, puis une deuxième et passa la porte donnant sur le jardin. C'était en fait une magnifique serre qui, malgré son état délabré, gardé une splendeur sauvage. Des arbres avait atteint les verres dallant le plafond et on se serait cru dans une véritable petite forêtl luxuriante. Elle se plaça à un endroit bien dégagé eyt fit face à l'elf des glaces qui la suivait.

-On va débuter par un petit duel.

Tüor n'eut pas le temps de répondre qu'un couteau de lancé filait déjà droit vers le lui, l'elfe des glace ayant disparut.

L'elfe, surprit ne se laissa pas avoir et plongea sur le côté . Tüor sortit son arc et encocha une flèche . Il scrutait la direction dans laquelle était partie son "adversaire" . Il ne voulait pas la suivre car il savait qu'elle l'attendait .Une feuille tomba, il faillit tirer mais se retint .Il ne savait pas ou était exactement l'elfe .

Un second couteau fila vers Tüor venant de quelque part au milieu des fourrés, puis un second et un troisième, chacun venant d'un direction toujours plus vers la gauche de Tüor qui n'avait pas le temps de viser avec son arc s'il ne voulait pas se prendre un des couteaux dans la gorge.
Le calme revint alros, soudain, plus pesant que jamais, un sifflement se fit entendre derrière la tête de Tûor, puis un fourré sur sa droite remua de nouveau. Les feuilles de celui-ci n'avaient pas encore fini de tomber qu'une dague sifflait vers la main tenant l'arc.

elle vanait de la gauche; de là où le couteau était parti pour atteindre le fourré à la droite du chasseur.

Tüor esquiva la première vague de couteau en sautant au sol et se releva péniblement . Il entendit des bruits qui venaient de tous le fourrés qui l'entouraient puis un sifflement derrière lui. Il se retourna, puis un bruit sourd devant lui...Tüor était désorienter...que cherchait t'elle à faire...puis il comprit...c'était une diversion...mais pour faire quoi...il se retourna de plus belle...une autre dague arrivait vers sa main gauche...il l'esquiva en faisant un bond vers la droite, puis laissa son arc au sol et sortit sa dague et son bouclier dont il fixa la lanière à son bras . Il bondit dans une bosquet à sa droite, rien, continua en tournant toujours dans le même sens...il ne trouvait jamais rien...puis il se retourna brusquement et Allenis était dans son dos...

-Pas très attentif pour un chasseur...

Les mains sur les hanches, sa dague toujours à la main, elle le regardait un sourire cruelle aux lèvres. Soudain deux couteaux filèrent vers Tiboss et Allenis attérit dans son dos après avoir fait un remarquable saut par dessus lui, même pour une elfe. Sa dague siffla et s'arrêta sous la gorge du pauvre chasseur qui n'avait pas eu le temps de réagir.

-Très bien. Tu as quelques capacités d'esquive et de parade mais visiblement tu n'es pas fait pour la rapidité... A moins que tu ne t'entraînes sérieusement. Je veux bien t'apprendres à te déplacer encore plus silencieusement que tu ne le fais et le maniment de la dague au combat furtif. Si tu décides de tuer des êtres doués d'intellignce tels que des humains, tes métodes apparemment basées sur la chasse à l'ours ne te seront d'aucune utilité. Il faut savoir se cacher et attaquer depuis l'ombre pour ne pas avoir à craindre de trop lourdes attaques.

Elle retira sa dague de sous la gorge de Tüor et retourna au centre de la serre.

-Place toi là-bas. Je vais t'envoyer les trois derniers couteaux qui me restent et je te demanderai de les esquiver sans pour autant me quitter des yeux. Si je disparait à ta vue sache que tu le pairas le prix fort.

Tüor était encore abasourdie par la rapidité de déplacement d'Allenis et il espèrait ne jamais avoir à se battre réellement face à elle . Il n'avait pas encore bougé que déja elle était dans son dos et il sentait sa dague sur son cou.

Il fit donc se qu'elle dit, il se placa ou elle avait dit puis la regarda en face, les yeux dans les yeux .

Je suis prêt .

Allenis envoya un premier couteaux facil à esquiver, destiné à mettre en confiance L'elf des glaces, puis, alors qu'il revenait en position pour en esquiver un second, elle en envoya trois autres en un éclair, l'un dirigé vers la gorge, l'autre vers sa jambe gauche et le dernier vers l'abdomaine de son adversaire. Alors qu'il commençait les contorsions pour éviter des blessures fatales, elle se ruait déjà sur lui, dague en avant, bien décidé à lui entailler le bicepse gauche.

Un combat est fait de sacrifice. Si Tüor voulait réussir à bloquer la dague il lui faudrait accepter quelques blessures superficiel. Lorsqu'un combat est engagé, ni l'un ni l'autre des combattant ne peut espérer en sortir entièrement indemne. C'est une leçon qu'Alenis espérait bien pouvoir faire comprendre à Tüor sans avoir à la lui dire à haute voix. S'il ne comprenait pas cela, elle devrait se séparer de lui. Elle ne pouvait pas se permettre de s'encombrer un imbécil incapable de comprendre par lui même des rêgle qu'elle avait saisit elle même à l'age de 10ans.

Tüor esquiva le premier couteau sans problème puis il aperçu 3 autres couteaux qui prenaient tous des direction différentes...il plaça son bouclier de façon à couvrir son ventre et son cou...une douleur immense lui enflamma la jambe gauche pendant que 2 couteau se plantaient dan le bouclier .
Il regarda au dessu de son bouclier...il vit la jeune elfe courrir vers lui, il arracha le couteau de sa jambe puis prit les devant et fonça, sa dague en avant vers la jeune elfe . Quelques mètres avant le choc, il fit effectuer à sa dague un petit mouvement rotatif chaotique .Il ne savait pas ce que cela allait donner mais il fallait tenter...qui ne tente rien n'a rien .

L'elfe des glaces ecarquilla les yeux en voyant son apprentit réagir si bien. Et cette attaque sans réelle trajectoire fixe la destabilisa... Elle laissa partir ses jamnbes ena vant, glissa sur le sol jusqu'à arriver entre les jambes du chasseur. Elle s'y arrêta nette grâce à sa dague qui se planta dans le sol. Ses jambe s'écartèrent rapidement dans le but de faucher celles de Tüor, tandis que la main libre envoya une poignée de terre recouvrant le sol de la serre fraiche. Elle avait un sourire satisfait en le voyant si bien réagir. Le ferait-il aussi bien maintenant? Sa dague sortit du sol, vint au dessus de sa poitrine et pointa vers le ciel au cas où Tüor aurait la mauvaise idée de vouloir se laisser tomber sur elle.

Tüor savait qu'il n'était pas bon de rester dans cette position, il fit un petit saut en arrière de manière à ce que Allenis soit devant lui. Il fut surpris par la poussière qu'elle envoya mais cela ne le déstabilisa pas. Il vit que la jeune elfe avait levé sa dague, surment pour l'empècher d'aller en avant mais d'un bond, il sauta sur ce bras tendu qui tenait la dague. Il lacha sa dague et sera de sa main le plus fort possible le bras levé de l'elfe. Simulatanément, il plaça son bouclier, fixé à sa main sur la jambe gauche d'Allenis à la fois pour s'équilibrer et pour empècher les mouvements de son adversaires.

Ainsi immobilisé Allenis ne put s'empecher de sourire, un sourire de satisfaction et de contentement.

-Tu apprends très vite jeune chasseur. Je suis fiere d'avoir un apprenti comme toi.

Elle donna un premier coup de pied dans le bouclier, s'appuya sur le bras qui la maintenait fermemant en l'aggripant de sa main libre d'une étreinte égale à celle d'un étau et, sacrifiant son second appuie, elle donna un coup de pîed de sa seconde jambe sur la tranche du bouclier, du coude vers le poigné, arrachant la protection de l'elf des glaces. Sous l'effet de la rotation elle entraina le bras et son propriétaire autour d'elle et les envoya tous deux à la renverse auprès de son bouclier.

-La leçon est terminée... Pour ce matin.

Ses yeux parcoururent les alentours, son esprit bouillonant en se remémorant tout ce qu'elle avait fait avec des détailles surprenannt, puis elle se dirigea vers un bosquet, disparut derrière et en ressortit en racrochant un couteau de lancé à sa ceinture.
Maintenant que tout le combat lui était revenu en tête, tout en se dirigeant vers un buisson proche, elle se demandait si son élève avait des questions et si elle allait être capable d'y répondre. Elle ne l'avait pas si gravement blessé que cela et il puovait encore marcher facilement vu l'endroit qu'elle avait visé. Bien sûr il n'allait pas enr ire tout de suite ni lui sauter au cou pour cette leçon mais il lui en serait certainement reconnaissant plus tard.
Avant qu'il n'ai pu lui demander quoi que ce soit ni même lui reprocher quelue chose, une question lui sauta des lèvres sans la prévenir.

-Quel âge as-tu?

Le fait qu'elle s'interesse à quelqu'un d'autre la surpris certainement plus que Tüor.

Tüor se releva péniblement, il partit pour aller chercher son arc. Il tourna la tête en direction d'Allenis.
J'ai 19 ans
Il fit quelques pas puis se retourna de nouveau.
Et toi ?
Il savait qu'elle ne lui répondrait pas immédiatement, si touteois il avait une réponse. Il rammassa son arc, l'attacha dans son dos. Puis se rapprocha d'Allenis et prit sa dague qu'il rengea dans son foureau et il accrocha le bouclier à sa ceinture.

Allenis venait de ramasser son dernier couteau de lancé et l'accrocha à sa ceinture à côté des neufs autres, rangea sa dague en tournant le dos à Tüor. Cet emplassement avait pris l'habitude de rester secret pour tout le monde. Alors qu'elle se retournait en rattachant ses cheveux dont la queue de cheval s'était désserrée durant le combat, elle prit enfain la peine de lui répondre:

-C'est bien ce que je pensais... Tu es encore un gamin... Si encore tu étais humain... Tu savais que les humain ne veillissait pas comme nous? Ils sont vraiment étrange... Par exemple... Toi, qui a 19 ans chez nous, tu n'en aurais environs dix chez eux... Heureusement nous à dix ans nous avons déjà notre taille adulte. Moi, si un humain avait mon age il srait déjà bien décrépit.

Son rire crystallin éclatat pour la première fois aux oreilles de Tüor.

-J'ai 60 ans. C'est ce qui fait de moi le maître et toi le pauvre apprenti. Allé. Allons trouvé ce que le vieux nous avait prédis.

Elle prit la direction de la sortie, fila sans ajouté un mot durant leur passage aux travers des ruelles sombre ou ensoleillé, désertes ou bondées. Ils arrivèrent finalement devant une petite auberge où elle s'arrêta nette et examina les allentour en attendant Tüor.

-Il faudra que tu appprenes à marcher vite aussi.

Elle entra finalement dnas l'auberge assez calme et pourtant remplie.

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