Retour à la nature.

Tüor avait quitté Askant voila quelques jours de cela. Le brouhaha et le déplacement incéssant de tant de personne l'avait lassé, Tüor aimait se reposer dans des endroits paisibles, ou rien de le dérange autre que la nature. Tüor était parti, sans un mot, persone ne savait ou ilétait. Allenis même ne le savait pas. Il était parti et avait marché, en quète de silence.

ll aperçu de la fumée au loin.
*Il n'y à donc aucun endroit sur ces terres encore vierge de toute civilisation...*
Tüor tourna la tête et aperçu une grande étendue verte. Cela lui redonna le sourire.
Le soleil était encore haut dans le ciel lorsqu'il arriva en lisière de forêt. Il sentit le doux parfums des fleurs, entendit le bruit d'un petit ruisseau qui dévallait la faible pente. Cela était un régal pour les sens, il sentit la présence de quelques animaux sauvage.
Il continua à marcher jusqu'à ce qu'il arrive à une petite clairière. Les rayons de soleil perçait le manteau de feuille qui recouvrait la forêt pour venir éclairer le teint froid et blanc de Tüor.
*C'est ici le paradis, c'est ici que se construira ma vie...*

Tüor alla posa ces affaires sur un rocher quelques peu en hauteur puis alla chercher du bois pour faire un petit feu. Il alla chercher du bois mort qu'il rassembla ensuite en un petit foyer. La nuit tombait alors il monta dans l'arbre qui était le plus proche et disposa sa cape de façon à ce qu'elle lui face un hamac. Puis il s'y allongea et s'endormi avec un rayon de lune qui lui éclairait quelque peu le visage.

Tüor fut réveillé par un doux rayon de soleil qui éclairait son visage. Il descendit de son arbre et vida toutes ces affaires. Il disposait de quelques cordes et deux gourdes d'eau. Il voulut en boire un peu mais il n'y restai plus une goutte.

Il accrocha les gourdes à sa ceinture et parti en suivant le bruit de l'eau qui coulait sur les pierres. Il arriva face au ruisseau et faillit tomber dedans tant la visibilité était réduite à cause du feuillage. Il coupa les quelques branches qui lui rendait l'accès au ruisseau difficile puis y rempli ces deux gourdes d'eau. Il entendit un craquement derrière lui, il se retourna et vit surgir des buisson un énorme tigre blanc tel qu'il y en avait au pays des glaces. Le tigre le regardait droit dans les yeux, Tüor savait qu'il ne fallait pas provoquer ces animaux mais il fut fasciné par l'expression qu'ils avaient, un mélange de crainte et d'espèrance...que voulait-il ? Tüor parti dans la direction opposé mais le tigre blanc le suivit et émit un grognement. Tüor raprocha sa main jusqu'au cou de l'animal. Il le lui frotta et l'expression du visage de l'animal se détendit.

*Je n'ai rien à craindre de lui*

Tüor poursuivit son chemin et le tigre le suivit. A un moment, Tüor entendit un bruit derrière lui il se retourna en sursaut et sortit son arc. Un sanglier allait lui rentrer dedans. Tüor n'avait aucune chance de parer alors se prépara au contact et ferma les yeux. cependant ce contact ne vînt jamais. Lorsque Tüor rouvrit les yeux, le sanglier était alongé par terre, le coup déchiqueter par une puissante mâchoir. LE tigre se trouvait là, à quelques mètres de l'animal mort, regardant Tüor avec un oeil amusé. Alors Tüor prit le sanglier sur ces épaules et fit marche arrière, il rentrait à la clairière.
*Puisque cette clairière n'a pas encore de nom, je l'apellerai avorn.

[HRPG]Pour ceux qui n'ont pas de dictionnaire français elfique, avorn signifie tranquilité[/HRPG]

Tüor se leva comme chaque jour. Cependant en déscendant de l'arbre, en plus du tigre, il y avait sur la pierre un vieil homme...
*Je l'ai déja vu quelques part...*
Tüor pourquoi ne m'as tu pas écouté ?
*C'est l'homme de la grotte !*
Mais...les grandes villes me gènent, tant de monde dans si peu d'espace, j'aime l'espace
Le vieil homme reprit sèchement.
Alors tu ne veu pas vivre d'aventure? Tu veux vivre une vie triste et que personne ne se souvienne de toi après ta mort?
Non mais je ne...
Je te laisse une dernière chance, retourne là bas. Plus tard tu me remerciera. Tu peux chevaucher ton tigre, celui-ci est d'accord.
Tüor fut surprit
Comment le savez vous ?
Il regarda le tigre blanc puis regarda ou quelquesnde avant il y avait eu le vieil homme...disparu.
Alors Tüor prit ses affaires et s'aprocha du tigre blanc. Il ne savait pas trop comment s'y prendre. Il passa une jambe par dessus le grand félin et se posa dessus. Il était à peine dessus que le tigre parti tout seul.
Le tigre courrait plus vite ue Tüor n'aurait pu le faire. Il n'aurait pas tenu l'allure même sur de courte distance. Le tigre allait à une viteese déconcertante, évitant avec soins souches et arbres.
Leigor, tel sera ton nom...rapide et agile...Leigor.
Le tigre blanc émis un petit bruit...avait il comprit ce que venai de dire Tüor? En tout cas cela ne le dérangeai pas car il continua sa route, coupant les pleines, ne s'arrètant jamais. Enfin Tüor aperçu Askant. Mais il avait oublié quelque chose...
*Comment Leigor se comportera t'il avec les autres? Je ne vais tout de même pas le mettre en laisse...*
Le tigre grogna...comment pouvait il savoir à quoi Tüor pensait? En tout cas il ne fallait pas lui mettre de laisse...

Une fille de personne se bousculant pour entrer bloquait la grande porte de la ville... Les deux gardes tentaient tant bien que mal de jouer les douaniers mais devant tant de monde il était impossible de vérifier l'identité de chacun. De temps en temps ils arrêtaient des personnes à l'air louche ou tout simplement des personnes au hasard pour faire croire qu'ils servaient à quelques choses.(L'un des deux gardes interrogé une jeune fille des plus mignone ne semblant pas comprendre pourquoi le garde l'avait arrêtait.)
Soudain un grand tumulte ébranla la file et les apssants se bousculaient les uns les autres pour fuir quelque chose.

C'esta lros que, devant les deux gardes qui ne comprenaient rien, la foule se cinda en deux telle la mer rouge devant Moïse, pour laisser apparaitre dans un éclaire blanc un magnifique tigre blanc au canines presque proiminante.
Ils mirent un moment avant de repérer un elf au teint extrèmement pâle monté sur son dos. La fille qui étaient entrain d'être interrogé finis par se rendre compte qu'un énorme tigre se tenait devant elle et elle s'évanouit dans les bras du garde qui en oublia la menace du prédateur pour afficher un grand sourire de satisfaction étonée. Le second ne se laissa pas déboussoler plus que cela. Il brandit sa lance vers le museau du grand félin.

-Qu'est-ce que c'est que ce...

La lance vola en éclat, la pointe de fer tintant en chutant au pied du garde. Il ne se démonta pas et continua de pointer son bout de bois brisé vers la gueule de tigre qui ronronait à l'idée de la peur qu'il devait procurer à son opposant.

-Lève toi andouille! Arrête tes obsénitées et file moi le boquin.

Le garde obsédé se releva en gromelant et tendit un petit grimoir à celui qui tenait sa lance brisée.
Une scène étonante se joua alors: Le garde pris sa lance sous le bras, sortit une paire de vieille lunette sale et se mit à feuilletter le grimoir en répétant en marmonant:

-Tigre...Tigre... Tapir... Tatou... Tigre!
1. Grand prédateur, fauve carnassier craint des plus grand tueur de monstre lorsque cet animal dépasse les 5mètres...

Le garde regarda le monstre par dessus ses lunettes ronde d'un air de prospecteur avant de reprendre sa lecture la voix tremblante.

-2. Monture utilisé par les plus expérimenté, totalement innofencive si dressé par un professionel...

Le garde regarda alors l'elf chevauchant l'animal d'un air plus que sceptique. Le second elf intervint.

-Et le petit trois?
-3. Animal fortement apprécié et obéissant aux elfs dès leur plus jeune age...
-Ouf...
-C'est bon circulait et descendait de là.
-Tenez, prenez ça. Ça signifit que vous êtes habilité à circuler en vile en présence d'un animal normalement dangereux.
-Ça vous envoit aussi une décharge magique provocant la paralisie si on nous rapporte que votre animal à fait une victime... Ajouta le garde plus agé après que son collègue lui ai accroché un brasselé qui se referma "comme" par magie autour du bras de Tüor sans que celui-ci ne puisse réagir. On vous l'enlèvera à votre prochaine sortie de la ville. Noubliez pas de le demander aux gardes en faction.

Les deux gardes reprirent place au mileiu de l'ouverture de la porte après avoir alissé passer le tigre. Ils n'avaient plus du tout l'air effrayé... Ce n'était peut-être pas la première fois qu'il voyait une chose pareil. L'obsédé avait repris du poile du garde arrêtera une demi douzaine de jeunes filles dans l'après midi, planifiant ainsi sa soiré, pour pouvoir ainsi bien ce remettre de ces émotions. L'autre garde arrêtera deux tueurs, un voleur qui avait tenté de lui atraper sa bourse et un traficant de semances de coursier de duras qu'il cachait un peu aprtout sur lui(et dans lui). Il fut la star du poste de garde grâce à cette prise qui ne manqua pas de cachette pour sa marchandise et fut la preuve vivante que même les vieux valent encore quelque chose après 32 ans d'expérience.

Tüor, lui, pu continuer son chemin sans aucun problême.

Tüor se dirigea alors dans la ville il n'était pas fatigué par son voyage mais il se mit à la rehcerche d'une auberge ou il aurait pu dormir. Il vit une enseigne qui lui rapella quelquechose, il réfléchit quelques temps...cela lui revint, c'était l'enseigne que le vieile homme avait tatoué dans le cou...cela devait avoir un raport. Il s'approcha. Il allait y entrer lorsqu'il vit deux gardes en sortir, il resta près de Leigor et ceux-ci impressionné par l'animal ne firent pas attetion à l'elfe qui néanmoins craignait qu'ils ne sachent ce qu'il avait fait. Tüor ouvrit la porte de l'auberge et il arriva dans un cafarnahum sans fin...

Suite

» La magie dans la nature
» De retour
» Sur le chemin du retour