La peur de la mort...

Le temps ensoleillé réjouissait les habitants de l'imense ville.Les marchands criaient,les gens riaient,d'autres dansaient.C'était bien la premeire fois que le ville repsirait la bonne humeur de cette facon.La joie emplissait la cité entiere.Meme les brigands étaient heureux de pouvoirse dégourdir les pattes après un long moment passé au cachot d'Askant la Grande.
Mais la joie n'est pas pour tout le monde.Pas pour ceux qui se sontdédiés a obscurcir leur vie,pas pour ceux qui tue,pas pour ceux qui veulent voir un monde en ruine ,le soleil se détruire,les ténèbres gagnés les personnes et enfin, une vie condamné a servir et a proclamer une seule chose:la Mort!

Cette vie était vue ,reconnue et visité dans des rêves et cauchemars plus fous que les autres,par Dusaral Gallomdor,assassin recherché,assassin au passé et a l'ame brisée...

Le brouhaha des voix des citadins emplissait sa tete,leur rire lui donnait la nosée et leur joie leur donnait l'envie de tuer une personne au passage,n'importe laquelle du moment qu'ils se taisent.Mais un conflit intérieur se faisait en lui;2 parts qui se chamaillent,l'une sombre,et l'autre moins sans pour autant etre bonne!

La partie sombre se nommait Dural.L'autre Enal!
Les 2 se chamaillait et tenait ce discours:

Tu ne devrais point,disait Enal!

T'ai je demandé des conseils?interrogeait Dural

Il ne doit pas tuer,si le fait il aura droit au cachot pour la vie!

Et si tu te tais il aurait le temps de réfléchir!

Ne le force,nous ne sommes pas sa conscience!

Celui qui le force c'est toi!Tu emplis son esprit de mauvaises choses,tu es vil et perfide!Nous ne le controlons pas,et le controlerons jamais!Tu devrais peut etre penser a nous d'abord!Mais tu as pourtant raison,si il tue ,il et nous allons croupir dans un cachot attendant que la famine nous frappe!
Enal ne répondit pas et partit laissant Dural a ses occupations...

Dusaral pendant ce temps observait les personens en train de s'amuser près d'une fontaine en forme d'oiseau.L'eau scintillait sur les flancs des parties de l'énorme statue.Le liquide reflétait les éclats du soleil qui transpercait la surface en laissant des oréoles mouvantes sur le font du bassin.L'oiseau crachait l'eau par son bec.Son corps était couvert de mousses et algues proliférantes avec l'eau.Le doux clapotis de l'eau régulier donnait une symphonie répétitive et plutot embetante a un une écoute trop longue!

Dusaral se souvenait a ce moment de son enfance.La petite riviere qui coulait a coté de la petite ferme.Les oiseaux qui piaillaient dans les grands arbres bruissant au chant du vent.L'odeur de l'écorce de pin et de l'herbe soyeuse,qui glisse sous les pieds nu.....Dusaral se souvenait,il ne ptu s'empecher de laisser une larme sur son visage implacable,qui ne reflétait aucune émotion.Cette larme était plus brillante que le soleil sur le teint grisatre de l'assassin.

Une voix derriere lui rettentit.Plutot un murmure:

Tout cela est du passé a présent...

Cette voix était dure,froide,inspirait une terreur sans nom.La mort s'en sortait,une volonté a tout détruire,a enlever toute joie de ce pays!

Dusaral se retourna lentement pourvoir le visage de celui ci.La main sur la garde de l'épée,pret a la sortir et à assener un coup ,rapide et précis! Se retournanat doucement,il découvrit le visage de l'auteur de cette phrase.L'homme était vêtu de noir,entierement.Son habit portait une marque sur le torse De forme circulaire,teinté de blanc.Un capuchon était baissé pour caché la tete de l'homme.

Dusaral recula un peu et dit:

Qui etes vous?

Je suis quelqu'un,qui pourra t'aider.Tu es seul a me voir,regarde autour de toi!

Dusaral exécuta l'ordre.Il vit alors le meme endrit ou il était,sauf que celui ci était entierement sombre et personne ne bougeait ,comme si le temps s'était arreter.L'eau s'était arreter d'onduler sur les flancs de la statue.Les enfants s'étaient arretés de jouer.
Seul l'homme et Dusaral pouvait se mouvoir dans cette endroit désolant.

Ne pose plus de question et écoute moi a présent,dit l'homme encapuchonné.

-Dusaral n'avait pas confiance,mais il ne pouvait fuir dans ce monde empli de ténèbres.

-Je suis quelqu'un.Plutot quelque chose que les gens subissent par ta main.Oui tu l'as deviné,je suis La Mort!N'est pas peur,ton heure n'est pas venue,mais je voulais te remercier de m'avoir autant apporter de "client" si tu vois ce que je veux dire.
Oui tu le comprends bien sur!Ses hommes et femmes que tu as tués sans pitié,sans émotions.Tu es quelqu'un de mauvais,tu le sais.Ne pense a ce qu'a pu etre ta misérable vie dans ce monde,lorsque tu étais enfant.

-Je vous nterdis d'insulter ma famille!

-Oui,bien entendu!Mais j'ai un présent pour toi,plutot un renseignement!Je peux te révéler ou sont les personnes ayant tuer ta famille!

-Je ne vous crois pas!Ils sont surement mort depuis!

-Tu peux etre vraiment idiot parfois!Sot va!Mais ce n'est pas pour autant que je ne t'aiderai pas!Voila leur position:Cherche au plus profond de la haine que tu endures,et les tueurs se révèlerons...

Sur ces dernieres paroles il partit en se désagrégeant,comme poussiere et gaz,laissant l'assassin seul dans la petite rue,qui reprit toutes ces couleurs!
Les couleurs éblouissait les yeux de Dusaral,l'odeur de la ville emplit ses narines,le son brouilla ses oreilles!

Tout était redevenu normal a présent.Les oiseaux et personnes se mouvaient.Dusaral crut a une alucination sur le coup,mais aprsè avoir découvert la meme marque que portait La Mort sur son torse,étendu par terre et déchiré,il eut la conviction que cet hallucination était réelle!

Il prit le chiffon,le mit dans un de ses poches et continua sa route,maintenant avec un renseignement de taille...

» La mort