*Nom:Chevalrage
Prénom:Goff
Sexe:Masculin
Race:Nain
Taille:1m35
Âge:35 ans
Métier de base:Vagabond
*Classe sociale:
*Classe :
Histoire : Autrefois, Goff était marchand et il vendait ses
produits dans toute la contrée (en multipliant les prix par 3, bien
sûr). Après l’ultime bataille, il perdit ses contacts et ses routes
commerciales. Il ferma son affaire.
Il est capable de piquer d'incomparables crises de nerfs et, qui
plus est, c'est sans doute le nain le plus imposant qui soit. Cet
avantage est peut-être dû à sa taille mais il n'a peur de rien et
claironne qu'aucun homme ni aucune créature n'est capable de le battre
en combat singulier. Pour l'instant, personne ne lui a prouvé qu'il se
trompait.
Aussi impitoyable que tous les voleurs, il lui arrive parfois de
montrer un sens de l'honneur qui lui vaut les sarcasmes de ses pairs.
On raconte qu'il servait autrefois en tant qu'amiral dans la marine
royale.
Sa voix retentissante n'échappe jamais à personne, que ce soit au
combat ou lors d'un festin, deux occasions qu'il affectionne tout
autant pour se mettre à chanter. Il ne supporterait pas qu'on le trouve
malpoli ou avare, alors il fait tout ce qu'il peut pour prouver le
contraire. Mais il faillit souvent à cette tâche.
Il est certes un fanfaron, mais il compense son arrogance par une
grande habileté au combat. Il n'arrête pas de se moquer de ses
adversaires, même pendant la bataille, pour les pousser à bout. Ils
finissent ainsi toujours par commettre une erreur fatale, ce qui lui
permet de prendre le dessus. Dommage que son arrogance donne également
des envies de meurtres à ses alliés.
Malheureusement, on dit aussi qu'il serait prêt à sacrifier ses
propres troupes s'il le fallait. Si, malgré tout, ses hommes continuent
de lui obéir, c'est parce qu'ils le craignent plus que la Mort
elle-même. Il fait pourtant preuve d'une grande loyauté envers ses
compagnons. Il a beaucoup voyagé et s'est fait de nombreux amis dans
tous les milieux.
Il prétend venir d'un autre monde, mais il est incapable
d'expliquer comment il est arrivé dans ce royaume. Qui plus est, il n'a
pas l'air très impatient de rentrer chez lui. Sur le champ de bataille,
c'est un chef opiniâtre et calculateur qui déteste perdre, tout comme
au jeu d'ailleurs.
Il est un héros malchanceux qui a le don de se mettre dans des
situations impossibles. Il se vante souvent d'avoir de nombreuses
qualités (dont il est pourtant légitime de douter) et fait preuve d'une
inébranlable confiance en lui, sans tenir compte de ses échecs. C'est
d'ailleurs grâce à son obstination aveugle qu'il parvient toujours à
surmonter les problèmes et à s'en sortir indemne.
Contrairement à la plupart de ses pairs, notre ami a l'art de
s'adapter aux nouvelles situations. En cas d'imprévu, il réagit en
toute confiance car il sait qu'il trouvera un plan en peu de temps.
Cette créativité est la clé de sa réussite.
C'est avec une grande fierté qu'il vous racontera l'histoire de
chacune de ses nombreuses cicatrices, ainsi que le châtiment qu'il
infligea à l'ennemi l'ayant blessé. Même s'il est un peu vantard, il
faut avouer que seul un guerrier exceptionnel peut survivre à autant de
blessures.
Cet homme discret travaille parfois en tant qu'espion car les
intrigues et les mensonges se présentent tout naturellement à lui.
Heureusement, il fait tous ces efforts dans le seul intérêt de son
peuple. Il ne reste jamais très longtemps au même endroit et s'efforce
de ne pas trop se faire remarquer, tel un léger courant d'air
traversant la forêt.
Etant donné que nul ne peut prédire ce qui se passera demain, sa
philosophie est de vivre chaque journée comme si c'était la dernière.
Cette manière de voir lui donne le courage de prendre de grands risques
au combat.
Les siècles de souvenirs ont tendance à se mélanger dans son
esprit de brumes et ses origines sont perdues dans le brouillard du
passé. Tout ce qu'il sait, c'est qu'il attend avec impatience le jour
où son passé reviendra en ce monde.
La nature est à la fois belle et cruelle. C'est la première chose
qu'apprend un combattant. Il a fait de cette première leçon une devise.
Il jubile à la vue d'un feu de forêt, ou encore d'un faucon broyant une
souris dans ses serres. C'est ça, la vraie vie !
Qu'est-ce qu'un peu de travail acharné quand on a l'honneur de participer aux batailles les plus palpitantes de l'Histoire ?
Caractère:
Mais il reste
surtout un bon vivant, il ne refuse jamais une bonne chopine de bière
ou une outre de vinasse, pas plus d'ailleurs qu'un bon repas à la
taverne et une bonne bagarre pour digèrer. Il compte sur ses amis et en
retour, ils peuvent avec la plus grande confiance compter sur lui,
"l'amitié ç'est sacré chez les nains". Les apparences sont parfois
trompeuses, et Gof en est le parfait exemple. Derrière son écorce de
barbare, se cache un homme relativement sensible et doux. Il aime les
femmes, la boisson et la bonne chair. On le dit radin mais il ne l'est
pas pour un sou, il s'avèrerait même plutôt généreux, si la vie n'était
pas aussi dur. Vous aurez comprit qu'il n'est pas très perfectionniste,
et que pour lui, les choses sont comme elles sont, à quoi bon vouloir
les changer ?
Physique: Petit personnage d'allure massive, lourde et
puissante, il frise le sol lorsqu'il se déplace et semble écraser la
terre sous ses larges bottes. Des jambes courtes, tout autant que ses
bras, lui donnent un air primitif et et sauvage ; leur largeur est en
revanche impressionnante par rapport à sa taille. Il peut parâitre à
certains comme une montagne indestructible, tant il semble solide et
ancré dans l'herbe qu'il foule. Il a la barbe et les cheveux
relativement courts pour un nain, ce qui lui vaut souvent les moqueries
de ses pairs. Une arcade sourcilière proéminante, des rides
profondéments marquées, la lèvre inférieure avancées, le nez rond et
aussi rougeaud que ses joues, il ne semble pas très intelligent.
Quelques uns de ses cheveux commencent à grisonner du fait de la
vieillesse, tout comme sa voix se fait chaque jour plus rauque. Il
garde finalement une silhouette de rude et vaillant combattant.
*Signes Particuliers:
Equipement: Aimerais avoir une lame circulaire si possible, précisément 50 écus.