Arrivée sous bonne escorte d'étrangers bizarement assossiés

La troupe de drows, encerclant la reine elfique et le léonien arrivèrent aux portes de la ville. Le chef des armées, Firar, prit de nouveau la parole, tandis que tous els garde se tournaienbt de nouveau vers les deux visiteur ainsi que deux trois gardes plassait sur les remparts et aux pieds des portes.

-Nous voici devant notre ville. Maintenant "chèrs" visiteur je vous priraient de nous dire l'objet de votre visite en ces lieux qui sont notre pour que nous décidions de si nous vous laissons entrer ou non.

Firar souriait malicieusement. On pourrait croire qu'il prenait plaisir à embéter l'une des plus importe personne de la race elfique. bien que ce qu'il faisait était dans les consigne donné, d'habitude il ne se résignait pas à faire ce genre de basse besogne.

-Alors? reine Ellana Ellemìre Anarion? Que nous vaux votre visite acompagné de...

Il posa son regard sur le léonien. Il se retint de lui lancer une nouvelle raillerie et se contenta d'un simple:

-Quel est votre nom léonien? Et que venait vous faire de si important en cette ville pour être accompagné de la reine des elfs en personne...?

Les drows avait la méchante habitude d'en vouloir aux elfs mais... Pouvait-on vraiment le leur reprocher. Après tout, c'était les elfs les premiers responsable de ce qu'ils étaient devenut. Des exilés à leur race. Les elfs, tellement fier de ce qu'ils étaient, ne pouvaient tolérer une telle imperfection dans leur monde si parfait.

Je suis là car le destin en a décidé ainsi. Pour ce qui est de notre rivalitée, je ne cherche pas la guerre et ça fait trente ans que je me balade sur votre territoire et trente ans que personne ne m'a rien dit. Je veux une réponse maintenant et toute suite. Qu'est-ce que j'ai fait ?

Elle regarda le léonien et dit d'une voix forte et assurée :

Il s'est retrouvé ici par une gossière erreur, laissez-le partir et je vous suivrais, j'ai surement plus d'importance à vos yeux, non ?

Firar regardait l'air perplexe la reine semblant presque s'énerver.

-Nous ne vous reprochons rien. nous voulons juste savoir ce que font une elfe, la reine des elfs, et un léonien sur les terres drows. Étant données que vootre race est sensé nous détester, nous ne nous attendons pas forcément à ce que l'un d'entre eux nous trende une visite de courtoisie et vu la réputation que vous nous faîte de part le monde les autres peuples ne sont pas nous considérer bien mieux que vous ne le faite, elfe!

Il marqua une pause, visiblement pour éviter de s'énerver en continuant à ressasser tout ce que son peuple avait subis.

-Je ne pense pas cependant que la reine des elfs ait décidé de faire entrer son peuple et le notre en guerre en venant, qui plus est, elle même commettre quelque attentat que ce soit. Nous ne vous reprochons rien du tout reine Ellana. Alors que votre peuple nous reproche d'éxister d'ailleur...

Il lança un regard éloquant à la reine avant de reprendre.

-Quand à ce léonien, il a déclaré vouloir voir un habitant de notre belle cité. Nous voulons donc entendre la raison qui l'y pousse et pouvoir juger de sa véracité par nous même. Nous vous demendons, d'ailleur, ...

Le drow envoya un sourire faussement désolé à la reine.

-De nous excusez mais nous sommes devenu quelque peu suspicieux depuis que notre propre peuple nous a banis.

Après un dernier regard provocateur à la magnifique elfe, le chevalier drow reposa ses yeux d'un gris cendre sur le léonien et lui lança un regard sévère et interrogateur.

-Que venez-vous faire dans notre ville léonien?

Le soleil commençais à se coucher, le vents soufflait fort la pluie allait tomber.
Oromis était surpris et fatigué par les événements de la journée,il attendu alors qu'on lui parle,il ne voulait plus faire de bêtise surtout devant la reine Elfe,il ne voulait pas passé pour un simple léoniens,mais pour guerrier qui avait de la valeur...
Etant dans ses songes il n'entendit pas tout de suit le drows,il lui répondit sur un monotone:
Je dois voir une personne sur ordre du roi et je ne pas en dire plus pour l'instant

[Parfait! On continue! Si tu pouvais , Mani suprimer ton post j'aime pas trop ce genre de message au milieu des RPs ^^]

Quelques s'élevèrent des elfes noirs et furent rapidement interromput par le chef des armées.

-Cette simple information ne suffit pas pour nous convaincre de votre innofencivitée jeune léonien. Si vous ne vous résignez pas à nous dire le nom de la personne que vousvenez voir nous nous verrons obligé de vous faire escorté tout le long de votre séjour et de vous désarmé jusqu'à ce que vous quittiez la ville. Vous résignez vous à ces contraintes ou consentez-vous à nous divulguer les informations que vous nous demendons.

Firar avez parlé comme à la prononciation d'une sentance lors d'un procé. Lui, qui avait parrut si familier avec la reine elfique gardait des distances infinie avec ce léonien. Déjà trois Drows s'avancèrent et entiourèrent le Léonien, leur main se resserant sur le pommeau de leurs épées. Firar gardé une expression neutre mais autoritaire. Il n'accordait plsu aucun regards à la reine à qui il ne voulait, un instant plus tôt ne parlait qu'exclusivement, mettant de côté le pauvre Léonien qu'il avait rabroué tant de fois. Les autres gardes pourtant ne la quittaient pas des yeux. Ils semblaient à la fois appeurés, impressionés et dégoutés.

Ellana avait regardé la scène avec un regard plein d'ironie et elle fut offusquéede voir la réaction des Drows lorsque leur chef avait fait un signe de la tête. Elle s'interposa donc et dit calmement mais fermement :

Vous osez vous attaquer à troi contre un ! C'est d'une lachetée ! J'en suis dégoutée !

Et comme pour prouver ses dires, elle cracha par terre et défia quiconque du regard de s'approcher...

Le chef des armées se redressa comme choqué puis sourit presque gentiment ce qui pouvait choqué, vu le reste de ses attitudes depuis la rencontre du drole de couple.

-Chère reine Elloana, je vous ferais d'abord remarqué que vous n'êtes pas chez vous ici. Peut-être que chez les elfes, ce qui m'étonnerait pourtant, vous ne vérifiez pas l'identité de vos visiteur et êtes très acceuillant, mais nous les drows, ceux que vous avez banis malgrès cette hospitalité elfique dont je doute de l'existance, sommes d'un naturel assez méfiant étant détsté par la plupart des races.

Son regard, malgré son sourire, montré sa grande amertume.

-Je vous ferez aussi remarqué que mes hommes n'ont nullement aggressé votre...compagnon disons... Je suis sûr que ce Léonien choisira la bonne solution, étant de nous divulguer le peu d'information que nous lui demandons.

Les trois gardes se regardaient l'air inquiêt. Le fait que la reine des Elfe se soient placé à quelques centimètres d'eux les avait pour le moins surpris. Firar, pour les rassuré unpeu s'avança à son tour et vint se mettre face à face avec la reine, son visage à quelques centimètre du sien.

-Maintenant, reine Ellana, veuillez nous laisser appliquer les lois de notre peuple sans ne plus vous interposer. Ce léonien est venu sur nos terres et accepte de ce fait de se plier à ces dites lois.

Son visage était maintenant très fermé et son regard d'une froideur glassiale. Ses hommes après un moment d'hésitation finirent par bander leurs arcs et brandir leurs épées. À quarante contre deux, le couple hétérogène ne semblait pas avoir de grande chance. Le regard toujours plongé dans celui de la reine, Firar reprit la parole à desrination du Léonien.

-Maintenant, Léonien, dis nous qui es-tu venu voir. Reine Ellana, si vous n'avez rien à faire dans cette ville je ne vous retiens pas.

Ellana eue une idée visceuse. Elle se retourna et partit dans l'autre sens. Mais au dernier moment lança son poignard qui décrivit une courbe parabolique et vint se planter dns un arbre. Elle le récupéra et s'en alla. Son geste était, pour qui savat l'interpréter, une offense extrême. Elle était sûre de pouvoir disparaître avant que les dros ne se rendent compte qu'elle s'était en allée. Elle monta dans un arbre et parcourut de branche en brache le chemin inverse pour regardercomment se débrouillerais le Léoniens...

Firar se figea sur place! l'act de la reine elfique était une offence bien trop grande pour le aisser de marbre. Il hésita cependant. tuer la reine des elfes signifirait déclarer la guerre au peuple elfique entier... les drows était bien trop peu nombreux pour pouvoir se le permettre. Pourtant tous les drows archers avaient interprété le message comme leur chef et avaient pointé leur arcs vers l'elfe. Firar mit cependant trop de temps à se décider et la reine avait déjà disparut dans un arbre. Le drows bouillonait et lorsqu'il se tourna de nouveau il faillit dégainer son épée et décapiter le pauvre léonien qui était pourtant innocent. Son statut social le força pourtant à garder sa lame dans sonfourreau mais lança un regard fulminant au léonien.

-Répondais à ma question! Je commence à perdre patience léonien!

Firar avait grand peine à ne pas crier mais avait tout de même réussit.

Ellana guettait Firar de son perchoir. Elle ne put s'empêcher de sourire. Elle avait faillit faie déclarer une guerre et mourir en moins de cnq minutes. Elle l'avait mis dans une grosse colère. Elle était ravie. Ellana surveillait Firar pour que celui-ci ne la découvre pas. Elle faisait en sorte de toujours être cachée par rapport à son champs de vision. Elle se fichait un peu du Léonien. Elle le connaissait à peine. Elle n'allait pas risquer sa vie pour lui. De toute façon, elle n'en avait pas envie... Mais peut-être que si après tout. Elle ne mit à mumurer discrètement un vieux chant :

De l'ironie je suis emplie,
Jusqu'à la fin de ma vie,
Firar va gueuler,
Car de lui je me suis moquée !

Personne ne l'avait entendut. Elle en était sûre...

Oromis se fichait des crise de Firar,soudain il repensa a l'action de la Reine et il en fut presque pris d'un rire,sournois,ou moqueur certe mais un rire tout de même,il se tourna vers Firar qui était entre le rouge de colère et le vers de rage,le léoniens n'avait d'autre choix que celui de parler, sur ton presque monotone:
Puisque vous insistez,voila qui je dois voir,je dois voir un traitre,un lache,celui que mes parents traitait comme un ami,mais il était l'être qui avait sans doutes le moins de parole et d'honneur,c'est celui qui doit être puni pour ses crime,c'est celui qui a tué mes parents alors que ceux-ci l'avait abrité,c'est le fils de votre Roi...

Firar toisa le Léonien un moment puis éclata de rire.

-Mon pauvre ami... Nous n'avons pas de roi... Nous avons une reine et elle n'a pas d'enfant... Je ne vois donc que deux solutions. Soit vous mentez de façon grotesque, soit cette personne que vous califiez de menteur vous a aussi mentis sur ses origines...

Firar commença à se calmer et se rendit compte que les gardes cherchaient toujours des yeux la reine. Il fit un signe de la tête et tout le monde baissa son arme.

-Maintenant je vous propose, si vous dites la vérité, de vous aider à chercher ce meurtrié. Je suppose que vous n'avez aps de preuve et donc nous ne pouvons pas vous laisser faire justice vous même. Vous allez donc être escorté comme je vous l'ai dit précédemment, par ces non plus trois guerriers mais cinq.

Il claqua des doigts et deux archers ainsi qu'un lancier et deux épéistes s'avancèrent.

-Ils vous aideront à rechercher cette personne. Nous n'aimons pas plus que vous les meurtriez et ne comptons pas garder un traitre parmis nos semblables sans le juger.

Il lança un sourire réconfortant au Léonien.

-Cependant je vous demenderai de me confier vos armes. Ces gardes chercheront avec vous et sont déjà bien assez armés.

Firar tendis une main et un garde s'avança à son côté.

-Acceptez-vous mon offre?

Oromis avait mentit grossièrement sans trop réfléchire et en prenant Firar pour poire,il n'avait vraiment pas envie de dire qui il avait de tué,il attedra le moment propice pour le divulguer,il ne voulait pas combattre quarante Elfes Noirs en même temps,il regarda Firar avec un air de dégout,comment pouvait-il accepté l'aide d'un Drows alors que c'était un des siens qui avait tué les parents d'Oromis,il eut envie de l'affronter en duel mais il décida d'accepter à contre coeur l'offre de Firar:
C'est d'accord,dit-il en lui serant la main avec un peu de dégout...

Firar retira avec brusquerie sa main. Et lui lança un regard noir!

-On ne doit jamais toucher un Drow, pauvre fou! Vous tenez vraiment à vous faire tuer! Si je vous tendez une main c'était pour que vous me remettiez vos armes.

Il tendit de nouveau la main.

-Ce que vous venez de faire est un affront et je vous conseille de ne plus jamais recommencer une fois dans la cité.

Oromis sortit son tulwar,le regarda un moment,puis le donna à contre coeur,c'était le seul souvenir de sa famille,le sabre fait par son père,le fourreau par sa mère...
Le léoniens aurait mieux fait de se cultiver au niveau des Drows(^^'),avant de venir en ces lieux,maitenant il était désarmé et il pouvait lui ariver n'importe quoi ,a lui,ce léonien,ne connaissant partiquement rien du monde extérieur,n'ayany presque jamais voyagé,il ne voulait plus faire un pas de travers...

Firar était encore un peu énervé qu'on lui ait touché la main.

-Parfait

siffla-t-il

-Vous! Vous ne le lachez pas d'une semelle. J'exige une attitude neutre! Pas de familliarité mais soyez courtois! Il est notre invité!

Il lança un regard noir en direction de l'endroit où la reine elfique avait disparut et il se tourna vers le drow le plus proche.

-Va mettre ça en lieu sûr.

Il posa l'arme du léonien dans les bras de l'elfe noir qui disparut rapidement.

-ouvrez les porte!

Il se tourna de nouveau vers le Léonien et parla à voix basse, comme une confidence.

-Tachez d'éviter l'esbrouffe. Ils seront vos quide mais si necessaire, ils seront vos geoliers. Je n'ai rien contre votre peuple et tachez de garder mon estime à votre égard intact durant votre séjour!

Il se redresa et d'une voix forte et impérieuse.

-Un rapport toutes les heures! Et veillez bien à sa sécurité. Ramenez moi le coupable du meurtre de sa famille vivant et sans aucune blessures! Bien sûr, la culpabilité de cette personne n'est pas encore tout à fait établis.

Son regard suspitieux s'était posé sur Oromis puis il s'avança vers la grande porte déjà bien ouverte, laissant un passage assez praticable pour une qarmée, dans ces rempart de bois entourant la ville drow. Firar disparut à l'angle d'une ruelle.
Le lancier sensé escorter Fricai, s'avança et se présenta, le point droit sur le coeur.

-Moi c'est Winrou. Voici les jumeaux archers, Gamol et Voulga. Lui c'est Artoc et voilà Milar. On a fait le tour. Avez-vous déjà une description de l'homme que nous recherchons? Peut-être l'un de nous le connaîtra...

Ellana réfléchit intérieurement. Elle devait suivre le groupe mais comment faire ? Elle pensa très fort et trouva la solution. Elle siffla, obligeant Firar ou un de ses drows à la chercher. Elle pourrait à ce moment là lui soutirer des informations précises. Elle siffla une deuxième fois d'un sifflement moqueur. Elle s'élança vers un autre arbre. Elle assomerais un drow, prendrais son armure et cacherais sa tête sous son casque. Elle courait en faisant attention d'être visible. Elle vit Firar palir de rage. Elle sourit...

-Attrapez là!

Firar lança un regard suspitieux à Fracai. Cherchant sans doute à voir s'il n'était pas dans le coup. Il s'élança ensuite.

-Toi, toi et toi. Avec moi. Les autres refermez la porte et attendez mon retour avant de les rouvrir.

Firar attrapa la première épée qui lui tomba sous la main et mena sa troupe de trois homme à travers les sous bois, à la poursuite de la reine inelfiquement chiante.

-Restez bien serez.

Entendit-on au loin. Fricai eut juste le temps d'entrer dans la ville avant que les portes ne se referment.

Ellana se cacha soudain et tendit une liane à la hauteur des pieds des Drows. Elle les assoma tous sauf Firar qui réussit à ne pas tomber. Elle sortit son poignard dans l'intention de le blesser suffisament pour pouvoir l'assomer ensuite. Elle porta le premier coup destiné à le désarmer mais vit une lueure dans les yeux de Firar qui lui rappellait celle de son Père. Elle retint sa main et s'enfuit en courant dans l'autre sens pour s'empêcher d'y penser. Elle se rendit compte d'une chose. Il faillait rétablir la paix entre les deux peuples. Sinon ça se terminerais mal. Mais très mal. Elle réussit à atteindre les remparts et escalada un mur qui n'était pas surveillé. Elle s'introduit dans la ville. Elle mit un capuchon sur sa tête et suivit les drows qui emmenait Fricai.

-Debouts bande de larves! Même pas foutu de tenir debout!

Firar chercha brillévement la reine et compris vite qu'il ne la retrouverai pas de si tôt.

-Allez! on rentre! Salopries d'elfs!

Oromis était très étonné que la Reine Elfe chercha des ennuis,il se demanda pourquoi elle voulait le suivre,mais il ne se posa pas trop de question,il était enfin a Runas'Kan,il attendait se moment depuis trop longtemps,il regarda autour de lui cette ville était différente que celle qu'il connaisait,il savait que sa allait être dur,mais bon:
Winrou,puis-je te poser une question?
Pourquoi,vous,les Drows,vous n'essayez pas de faire la paix avec les Elfes?

Le drow resta silencieux un moment. L'un des deux jumeaux prit alors la parole.

-Tu as bien vu avec quelle facilité Firar s'est prit le bec avec Ellana? Demenda Voulga.
-Et bien ça se passe comme ça à chaque fois qu'un elf rencontre un Drow. Finit Gamol.

L'épéiste nommé Artoc intervint sévèrement.

-Pas de familiarités les deux!
-On familiarise pas! Lança Voulga tout sourire.
-On explique! Renchérit Gamol

Milar voyant out le monde prendre la parole se sentit obligé de faire de même.

-Je te conseil de vouvoyez Winrou. Les Drows sont plus à cheval sur la politesse que la plupart des peuples.

Winrou lança un sourire à Milar qui lui rendit tout aussi furtivement.
Les deux archers encadrèrent le léonien.

-On est peut-être pas Drows nous alors... Marmona Gamol.
-Tu peux nous tutoyer si tu veux, chuchotta Voulga.

Soudain la troupe se stoppa lorsque les jumeaux s'envolèrent. Les mains puissantes d'Artoc les tenait fermemant par le col de leur uniforme. Winrou se plaça alors devant la troupe les bras croisés.

-Le premier à qui j'ai encore à rappeller que les familiarités sont interdites va voir ses heures de perm diminuer...

Les yeux gris de Winrou se posèrent ensuite sur Fricai.

-Les Drows se font vouvoyer. Ils ne supportent pas l'appellations "elfs noirs" et ne doivent en aucun cas être touché par un autre individus. Sûrement que d'autre rêgle de savoir vivre élémentaire m'échappe mais tache de te souvenir de celles-ci déjà. Tu aurais dû te renseigner avant de venir dans notre cité. Pour répondre à ta question... Les elfes sont trop fier et trop préoccupé par la puretée et les Drows sont sans doutes trop susceptibles et rancunier. Maintenant que j'ai répondu à ta question réponds à la mienne: Peux-tu faire une description assez détaillé du Drow que nous recherchons?

-Heu... Artoc...? Glissa Voulga.
-Est ce que tu pourrais... Commença Gamol.
-... nous reposez par terre s'il te plait? Termina son frère.

Winrou inclina lègèrement la tête, un sourire entendu avec Artoc. Les deux frères jumeaux attérirent sur leur postérieur, répendant une ou deux flèches sur le sol. Les yeux sombres de Winrou, une mèche de cheveux, eux aussi gris, passant de temps en temps devant eux, ne lachait plus le léonien. Son sourire avait déjà disparu, laissant place à une expression assez froide.

Oromis se souvint de cette être,qui était comme un frere mais qui avait tou fichus en l'air,le visage du Léoniens devint plus sombre,plus dur,on y devinait de la colère,et de la tristesse,il prit alors la parole:
Il était de la taille de Firar,et avait de longs cheveux blancs,il avait un caractère variable,sur son visage,il y avait une cicatrice,qui passait sur son oeil droit,il avait des yeux verts comme les miens,son nez était à peu de chose près comme le tien,Gamol,et il avait une voix assez rauque et grave,autre chose?

-Une cicatrice! Sur l'oeil droit, il n'y en a pas beaucoup dans cette ville... Marmona Gamol en se tenant le manton.
-Il doit y en avoir une demi-douzaine. annonça Voulga avec la même posture que son frère.

Assis tous les deux au milieu de la route, des flèches les entourants, il ne semblaient pa tellement combatifs. Et pourtant ils étaient les deux meilleurs tireur de leur promotion, obtenant tous deux les meilleurs résultats à leur concour d'admition au poste de garde de la ville.

-On va commencer par le barbier... Bien qu'il ne me semble pas tellement dangereux... Il ressemble assez à ta description.

Winrou ayant prononcé ces paroles reprit la marche. Les jumeaux venaient de ramacer leurs flèches et se relevaient en se massant le postérieur. Toàute la troupe se mit alors à lui emboiter le pas.

Ils arrivèrent devant une sorte boutique avec des dessin assez grotesque,ils entrèrent et Oromiss voulut parler au barbier,mais lorsqu'ils le vit il sut tout de suite que ce n'était pas lui,il était beaucoup tros gros,il avait en effet un cicatrice mais elle était trop petite,Oromis resortit:
Ce n'est pas lui,sa cicatrice était trop petite et il était trops gros,mais bon continuons...
Du coin de l'oeil il vit un drows,qui sortait en même temps que eux et qui les suivait,ne voulant rien croire pour le moment,Oromiss ne décida de ne pas en parler...

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