Greahl – Cardaran.

Un guerrier passa sur le pont-levis de la grande citée Greahl. Il l’avait déjà emprunté il y avait moins de 10 jours, sur un chariot. Les vêtements pleins de sang. Puis il l’avait quitter aussi rapidement.

Rien n’avait changé. On voyait toujours autant de marchants qui proposaient toutes sortes de marchandises, allant du draps de soie jusqu’aux armes. On pouvait voir quelques chariots qui se faisaient charger, entourés d’homme de forte carrure, hache ou épée à la main, laissant passer quelques femmes de temps à autre.
Tekmatay se dirigea vers le cœur de la ville. Il trouva l’auberge qu’il chercher. Il alla mettre sa monture dans l’écurie de l’auberge. Le patron de cette auberge l’accueillait toujours et gratuitement. Tekmatay avait empêché un homme de l’égorger il y avait environ 5 ans, depuis le patron ne cessait de le remercier. Lorsqu’il poussa les portes battantes de l’auberge, il fut rassuré de constater qu’elle n’était pas pleine. Un homme de petite taille, le visage caché derrière une barbe imposante et le ventre bien rond à cause de son âge et avec l’aide de la cervoise se trouvait derrière le bar. Lorsqu’il entendit le battement des portes, il releva la tête.

Tekmatay, ravi de vous revoir.

Salut.

Que puis-je vous servir, venez asseyez vous.

L’homme lui montra un tabouret libre. Il passa un coup de chiffon sur le bar.

Je vais te prendre une bonne cervoise. T’as une chambre pour la nuit ?

Oui, votre chambre habituelle. Votre ami n’est pas avec vous ?

Les mâchoires de Tekmatay se crispèrent, une veine commencer à palpiter sur sa tempe droite.

Il ne sera plus jamais avec moi. Il est tombé lors d’un combat pour protéger un convoi. Il a donné sa vie pour la mienne.

Une perle salée traversa son visage, il ne chercha pas à l’essuyer et elle se perdit dans sa barbe fraîche. L’aubergiste déposa la choppe devant Tekmatay.

Désolé. Je ne savais pas que c’était vous qui escortiez le chariot. En tout cas tout le monde parle de vous comme d’un héros. Ramener se chariot seul était un exploit. Voulez vous manger quelque chose ?

Volontiers. Je vais m’asseoir à la table près de la cheminée.

Puis le guerrier se leva et emmena sa chope avec lui. Il s’assit au près de la cheminée.

Alors qu'il venait de s'assoir, la vielle femme s'assit en face de lui. Son visage értait radieux.

Hé bien monsieur, que fais un si bon jeune homme parcourant seul ces terres qui sont celles de Caar?

Tekmatay la regarda un instant, le tavernier vint servir la vielle dame pensdant se temps. A peinne l'assiète de soupe et c'elle du poisson posé, elle se jeta sur la soupe comme si elle n'avait rien avalais depuis plusieur jours. Tekmatay attendit donc qu'elle et fini sa première assiète avant de lui répondre. La présence de cette veille dame, était apaisante.

Je suis içi pour la nuit madame. Je suis arriver il ya environ une semaine, avec un chariot. J'espère que se repas vous convient.

Le guerrier bur une gorgée de cervoise, puis regarda la veille femme manger son poisson. Il retira son sabre et le posa a coté de lui, a porté de main.

Tekmatay, avait écouter la veille dame avec intérêt. Elle lui proposé un nouveau travail, encore un convois. Il retira sa main droite de la table, et la posa sur sa bourse. Il la soupesa et releva la tête vers la veille dame.

J'accompagne souvent des convois pour les protégés et faire en sorte qu'elle arrive bien a bon port.

Le guerrier se tue et vida sa chope.

Vous dites qu'un de vos amis rechercherez quelqu'un pour protéger ses
marchandise. Dans qu'elle direction irait il? Avez vous encore faim, ou
soif peut être?

Le guerrier attendit la réponse de la veille dame, pour allez passez sa propre commande. Au début de la soirée, il désiré être seul, ne pas être déranger. Mais la présence de cette veille dame, lui avait fais changer d'avis. Le comportement du tavernier l'avait aider à changé d'avis.

Tekmatay regarda la veille femme un instant. Son cervaux marcher à pleine vitesse. Ses danc cette ville, qu'il avait débuter sa nouvel vie. Ses a l'aproche de cette ville qu'il avait perdu son mentor. Beaucoup de chose le rellier a cette citée. Mais il avait besoin d'argent. Il avait envie de s'acheter de nouvels armes en plus. Puis il avait envis de ralliés l'Ouest. Il ne savait pas pourquoi, mais son coeur le pousser vers l'Ouest.

J'accepte avec plaisir madamme.

Le guerrier se leva, remit son sabre à sa place, la ou il ne le génait jamais. Certe il perdez une fraction de seconde à le déguener, mais il ne risquait pas s'acrocher quelque part. Puis il r'avança sa chaise et attendit que le veille femme l'enmène chez son ami.

Tekmatay suivait sans difficulté la veille femme. Ils arrivèrent enfin devant une maison de taille respectable, un garde se tenait devant la porte. A son habitude, tek le jugea du regard un bref instant. Il porter des cheveux roux, tenu en catogan. Une épée courte était placer sur le cot gauche de sa ceinture, et un poignard a son oposé. D'une taille normal, il avait un corps frêle. Son visage était lisse, montrant qu'il était jeune.

Le garde s'adressa à la veille femme en la tutoyant. Tek leva les cils sur les paroles de se garde.

Que fais-tu là? Je croyais que tu avais compris que mon maître ne voulait plus te voir!

Se n'était pas un ton qu'on employé a une personne qui était amie avec son employeur. Quand la femme répondit, Tekmatay compris qu'elle n'était pas si amie que sa avec le marchand. Le garde s'éffaca après avoir écouter les parole de la veillarde. Celle ci se tourna vers Tek et lui sourit, avant de reprendre.


Je vous ai quelque peu menti en vous disant que l'homme qui vivait ici est un ami. Autrefois, il l'était. Ou du moins, c'était un ami de mon mari. Ils travaillaient ensemble. Puis mon mari est tombé dans la ruine, et j'ai dans l'idée que c'est parce que cet homme qui est pour quelque chose. Depuis, si je veux gagner un peu d'argent ainsi qu'un abri pour la nuit, je suis obligée de travailler pour lui, de lui trouver des jeunes hommes comme vous pour surveiller ses chargements, ou des autres choses dans le genre... Je suis vraiment désolée, mais mon idée de vous aider était sincère.

Alors que le guerrier allais répondre, le garde revint à se moment la et les invitas à le suivre. Tout trois, débouchèrent enfin dasn une pièce assez luxieuse. Un homme assis les attendaient.

Il salua Tek et s'addressa à la veillarde en l'apellant Mia. Mia; vue que t'elle était son nom, répondis à cet homme et lui expliqua la raison de sa visite.

Le marcahnd se trouna ensuite vers Tekmatay et lui demanda:

Tu es convoyeur, jeune homme? Tu sais te battre? Te protéger? Protéger un chariot?

Il m'arrivent souvent en effet d'escorter des chariot, affin de remplir un peu ma bourse. Quand à se qui est de mon savoir en maniment d'arme et de ma propre sécurité, ne vous inquiété pas.

Le marchand le jugea un instant puis apella un homme nomé Goliath. Il lui chuchota quelque mots a l'oreille, et celui-çi sourrit en se retournant vers Tekmatay. Goliath, mesurer plus de deux mètres, et paisant facilement 120Kg. Il suppris tek en s'éllançcant a une vitesse étonnante pour sa corpulance. Il sorti une hache qui tait dérrière son dos. Tekmatay compris qu'il n'était pas la victime. Le géant allais décapité Mia. Alors que Mia ouvrait la bouche pour crier, la hache redécender déjà. La hache fendit le vide. Tekmatay avait attrapé la veille dame par le ventre et l'avait reculer tout en prenant soin de se placer devant. L'attaquant releva la tête et sourrit de plus belle. Tekmatay avança sa jambe gauche, se mis de profile, et soufla. Goliath repris l'assaut a se moment. Il relever une nouvelle fois sa hache, Tek en profita pour se glisser vers son thorax en pivotant. Alors que sa main droite se referma sur le poigné droit de l'homme, son coude gauche frappa les cotes. un craquement sec se fis entendre. Puis d'un geste souple, il se retourna en serant son poing droit, faisant ainsi tomber la hache. Dasn le même geste, son pied frola le derrièredu genous gauche de goliath, et faisant ainsi posait genoux à terre. il releva un peu son bras jusqu'à la la limite de sa solidité. L'attaque avait duré deux secondes. Des applaudissement se firent entendre et Tekmatay regarda le marchand.

Qu'elle vaillant guerrier que tu es. Jamais personne n'avait réussit à vaincre cette homme. Félicitation, je vois que Mia à trouver la perle rare. Mon convoit se dirige à Cardaran. Acèpete tu de le transporter? Je te dirait son comtenue quand j'aurai ta réponse.

Le guerrier lacha le poigné de goliath et se replaca au coté de Mia. C'elle ci le regardais bouche bé.

J'accepte se travail. J'avais justement envis de sortir de se royaume. Qu'elle sera mon salaire?

Tekmatay regarda goliath qui repartez. Puis il jugea la salle, il n'était plus que tout les trois. Il s'avança donc vers le marchant, et lui sera la main.

Marcher conclut. Quand part le convoie? De combien d'homme et de femme sera t'il fais?

Le marchand accepta avec sourire la poignée de main du convoyeur. Et écouta ses question avec intérêts. ravie d'entendre enfin quelqu'un posez des questions utiles.

Alors, pour tout commencer, accepté cette avance.

Il sorti de sa bourse, vingt écus, que le guerrier mis dans sa bourse.

Le convoie par demain dans la matinée. Il sera composé, de moi même, de deux femmes, qui se chargerons de la comptabilité et aussi de quatre autres homme qui saurons la même tache que vous.

Je ne reçoit d'ordre de personne. Je tien a vous le faire savoir. J'aiderais volontiers au tache quotidienne mais jamais je n'obéirez.

Très bien. Je tiendrais de m'en souvenir. bon il se fais tard, et je doit encore finir quelque préparation. Je vous dis au revoir et a demain sur la place qui et juste devant les porte sud de la citée.

Tekmatay se retira, et alla voir la veille dame.

Je vais devoir vous laissez. Je doit allais voir mon cheval pour m'assurer qu'il ne manque de rien, puis je vais allais m'acheter quelques armes supplémentaires. voulez vous que je vous raccompagne avant de qui quitter?