rencontres

Il chevauchait maintenant depuis près de 4jours quand aux loins il vit un campement. Il approcha les Gens il put compté 5 nain,3 Hommes et 1 Elfe.Ils étasient armée,l'Elfe d'un arc et équipé d'une armure,les hommes d'épée de cote de mailles et d'un bouclier sans armorie pour les reconaitre et les nain d'hache et d'hache de jet ils portaient des cotes de mailles et une armure de fer pour chacun des Nains.

-Qui vas la?! Cria un des hommes.

-Un saint hommes qui ne souhaite que l'hospitalité pour la nuits. Dit-il

"- Un saint homme? Je n'en crois pas un mot! Qu'est ce qui nous prouve votre bonne foi?!

L'un des hommes s'était avancé face au cavalier. Sa figure simple témoignait de son existence nomade, qui venait ajouter une pointe de désagrément à ses yeux haineux. L'arme brandie vers l'avant, l'homme ne laissait passer qu'une froideur protectrice. Il aurait été capable d'en découdre rapidement. Son épée à la main, il était prêt à s'élancer.

- Donne nous une seule bonne raison de ne pas te découper en morceaux. Tu dis être saint, mais tu disposes de quelques armes. Crois tu que tu peux profiter sainement de notre protection? tout n'est pas à ta disposition ici! Qui es tu? Allons réponds... il me tarde de connaître l'identité d'un agresseur, que ma lame se fera un plaisir de trancher!"

La voix de l'homme était agressive, froide, emplit de cette ternissure rude et heurtée au détachement haineux le plus total. Son poing serré, la détermination dans ses yeux, laissaient transparaître cette notion grave. Derrière lui, les autres hommes s'étaient hâtés, parés à toute éventualité. Ils suivaient d'un regard attentif la scène dont l'attraction résidait dans le nouveau venu.

-Une bonne raison? Je dirais...l'hospitalité la politesse et la peur de mourir...Pour mon nom... je dirais Andoral...De noble hommes,un nains,et un elfe sens prendrait t'il vraiment a un voyageur inocents?Mes ou est passer votre honneur?tenez vous tent que ca a mourir ou voulez vous revoir vos famille si seulement vous en avez?

Mélénor mit ca main sur la paume de sont épée pres a découdre avec l'ennemis...

-Allez utilisé votre cervaux un peux! L'honneur ne vous dit rien!?!

Il s'approcha de l'hommes qui l'avait si viollament acceuillit et qui de plus s'emblait être le chef de la bande, il le souleva de terre par miracle et lui plaqua violament ca dague sur la gorge tout en lachant la paume de sont épée resté dans le fourreaux.

-Maintenant a mon tour! Donnez moi une bonne raison de ne pas lui trancher la gorge sur le champ?

C'était le seul l'elfe du groupe tout enmenacant de ca dague le "Chef" des "mercenaire,brigands,soldats ou peut-importe ce qu'ils étaient", Il fit reculer les autre de plus en plus.

-Une âme si noble que la tienne mérite t'elle d'être envoyé aux cieux...Hum a votre avis sa vie mérite t'elle d'être gaspiller pour une ration de nourriture et des draps pour une nuits?Devraigent le tuer a votre avis?J'ai toujours eu envis de voir la couleur de sang elfe.Ont ma dit il y a fort longtemps que leur sang était bleu. J'ai tuer l'ignorant qui ma fait gober ca.

Les autre le dévisagait.

[hrp]A vous les Mj's[/hrp]

[Hum... c'était un homme et non un elfe qui s'était avancé... mais bon peu importe.]

"- Là, regardez!

S'exclamait un nain avec un sourire narquois sur le visage.

Le pauvre essaie de s'aventurer dans un jeu dangereux.

Un rire gras s'échappait de son gosier.

- Une bonne raison dites vous? S'esclaffait un humain, visiblement respectueux. Mais seriez vous en mesure d'exiger quoi que ce soit, lorsque vous êtes en infériorité numérique...

Les hommes avaient dégainés leurs épées, plutôt amusés par les sarcasmes de l'inconnu. Les nains se tenaient prêts à l'assaut, pointant leurs haches de jets, et armant le tire. Un seule mouvement, une seule attaque, et le groupe déferlerait sur l'homme trop audacieux.

- De quel droit exigez vous quelque chose de nous?! De quel droit vous immiscez vous dans notre camp, réclamant nourriture et couverture! Croyez vous qu'il y en ait assez pour vous? Devons nous faire un don? Et qu'aurions nous en échange! Alors à présent relâchez le, ou nous serions forcés d'en venir au mains....

- Ça suffit, mon grand! La greluchonne là bas! Ouai, toi! Assez parlé! Tu le repose et tu déguerpit si tu veux pas qu'on t'explose la tronche!"

De son coté, l'elfe se débattait; qu'avait il a perdre? Il serait sacrifier. En revanche en se débattant, il aurait pu sauver sa peau.

Tous se tenaient prêts. Au moindre mouvement, ils se déchaineraient contre lui.

[hrp]oui ces un hommes j'ai fait une faute désol[/hrp]

-M'avez vous écouté a mon arrivé? D'accord je fait un arrengement avec vous je vous laisse tranquille mes je prend votre...Chef en otage d'accord? sinon choix numéro deux je lui trache la gorge et je fou le camps.À vous de choisir.

Les nains empoignerent plus fermement leur hache de jet. Du sang commenca a perler de la gorge de l'elfe qui commaca a se débatre.

-T'aie toi tu n'es pas mort...Du moin pas encore...

Le temps passa une puis deux... quand tout a coup il s'entit sont otage se débarte comme une pauvre bougre.Mélénor n'avait plsu le choix.Il lui assena un violent coups a la tempe qui ne tua pas l'elfe mes l'endormit.

-bas voila je les déposé content? De plus il dort allez je part maintenant

Il partit.

L'heurre d'apres mélénor pénétra dans un canyon. Certain que les bandit comme il les surnomais ne le suivrait pas. Il avanca puit seul sur une roche il vit une petite fille seul pleurer...

[hrp]A vous les MJ'S[/hrp]

Un col rêche, une soufrière boutonneuse, étroite, tendis qu'un unique passage se présentait aux yeux de l'homme. Les parois rocheuses avaient creusé une simple, une douce fissure, large en somme, dans leur ventre étouffé. La roche brune frémissait sous le soleil étincelant. Quelques rares feuillages verts venaient à décorer avec douceur la sècheresse des lieux. Les racines sortaient du sol, en diverses pousses, et s'étalaient en de longues feuilles pointues, dont les extrémités aux dents de scie formaient ce venin grave et dur. Sur les douces parois descendantes, formant les caillots dans l'artère immense, une jeune fille était assise. Une longue robe témoignait de son affilance noble. Des rubans roses étaient accrochés à ses cheveux, et retenaient de longues boucles. Dans ses bras, un petit nounours de fourrure brune semblait épier l'inconnu. Ses longs cheveux noirs tombaient sur sa robe blanche. Enfin, entendant les pas de l'homme, elle se releva, terrorisée. Elle entreprit une course rapide, sans se retourner, et disparaissait dans un angle mort. La bouche ouverte du canyon invitait l'homme à pénétrer... chaque recoin pouvait annoncer un danger. Ainsi, la prudence était de mise...

Il ignora la fuite de la jeune fille se dissant que c'était sont choix et qu'il ne pourrait rien y changer.

Il avanca pendants deux bonnes heurres puis il se repossa pres d'un ruisseau. ou il s'endormit. À sont reveil il vit, aux loin, une trentaine de tache.

-...

Il alla se cacher derriere une étroite paroie d'ou les hommes ne pourrait le voir.Puis une trentaine de minutes plus tard. Il vit 11 orc 8 nain 3 homme 8 elfe et 20 goblins rassembler. Il reconnut les gens qui l'avait menacer tout a l'heurre. Il resta a les regarder abruever leur monture (sanglier et cheveaux) Pendants une dixaine de minutes quand tout a coups, emerganet de nule part environ 300 nomades armée d'arc de lance et de sabre, se ruèrent sur le groupe. Il resta a regarder la scène...

est se cacha le mieux qu'il put.

[hrp]A vous mjS[/hrp]

Les 300 nomades déferlaient sur le petite équipe, et visaient à les atteindre par un déplacement barbare. L'heure du rendez-vous avait été respectée... Les deux équipes se faisaient faces, et semblaient arrêtées dans leur élan. On laissait les portes paroles et les interprètes s'exprimer. Un dialogue et quelques mots prononcés, qui se fondaient indistinctement dans les bruits du décors. Un arrangement sans doute, à en juger de la convenance passée. Mais qui visaient-ils? Leur cible était indéterminable aux yeux de l'homme, quoi que peut être logique. Dans un fondu enchaîné, ils se dispersaient, longuement. Ils semblaient chercher, tous, quelque chose, quelqu'un. Et la grande masse de foule se déplaçait par groupes d'une vingtaine d'individus, ne laissant aucune chance à un quelconque ennemi. Les dés étaient jetés, et ce n'était qu'une question de temps....