Mêlée générale!

Il avait l'impression qu'on lui enfonçait un poignard,le sang coulait abondament du trou.
Sa y est,la mort prenait le chemin du léonien.Il parla alors a son adversaire une dernière fois,dans ses derniers souffles,dans sa fin proche.
Ecoute-moi,sache que je ne suis pas triste de mourir après une vie bien mené.
Etant tout petit je rêvais de mourir seulement sur le chant de bataille.
Je suis fier de mourir de ta main.
Mais ecoute moi,la magie qui t'hante m'a tué,la magie des dieux me rendra sois une une nouvelle vie,de lervana ou d'oiseau,soit,ils me laisseront herrer,et je viendrais te hanter.
Sache qu'on ne se défait pas de moi facilement...
Adieu...
Une larme coula sur le visage du léonien.Les paupières se fermèrent.La bouche se ferma,le coeur s'arreta...
Sa y est,la mort avait rejoint le guerrier...
Au même moment un oiseau sortit de son oeuf...

Marneus regarda le dôme de pierre avec frustration, néanmoins il y était à l'abris...

Du combat, il n'entendait plus que les clameurs. Quand, d'un coup la pierre devant lui se mit à s'ébrécher. Marneus frappa dedans, faisant tomber un bloc de pierre, ainsi que tout le dôme... Il s'en extirpa et regarda le combat aux alentours, quand son regard tomba sur Algard qui se précipitait vers lui. Marneus reprit ses dagues et couru aussi à sa rencontre...
Leur ancienne amitié ne pouvait désormais plus que s'exprimer par les armes...

Lorsqu'il furent à la même hauteur, Marneus bloqua l'épée d'Algard d'une dague et frappa de l'autre sur le poignet d'Algard qui tenait l'épée.

L'ancienne Herrin avait écouté attentivement les dernières parole du léonien. IL le regarda un moment se vider de son sang. Rien ne pouvait se lire sur son visage figé à jamais depuis...

-Pauvre fou. Comment peux-tu croire en des dieux qui-t-ont abandonné.

Son bras fit un mouvement presqu'imperseptible et le léonien alla s'écraser quelques mètres plus loin. Le dôme de pierre s'était effondré. Algard se battait de nouveau contre Marneus. Les elfes se battaient entre eux apparemment. La main du fils du dragon légendaire s'éleva pour aller toucher le paumeau de son épée. Son index caressa un petit moment son extrémité tandis que son regard se baladait entre le chariot entouré de flammes et la princesse des elfs. Son autre main, pleine de sang du léonien se porta à sa bouche et tandis que le gout du sang commencé à emplir sa bouche il se dirigea vers le duel des deux assassin sans accorder plus longtemps un regard aux histoires de famille elfiques. Il guetterai le moindre intervenant qui aurait l'intention de perturber ce combat entre Algard et Marneus qu'il admirera mieux depuis le sommet de ce qui restait du dôme de pierres effondré.

Algard eut un petit cri de douleur, suite à la coupure de la dague. Glir'zan s'échappa de sa main et tomba. Mais avant que la chutte ne se termine, la lame se décomposa, en centaines de particules, qui formèrent des stalactites fonçant sur Marneus, qui se trouvait à à peine deux mètres de lui.

* Comment vas-tu faàire, cette fois? Sauter pour t'écraser sur le champs de bataille, ou subir les morsures de ma glace? *

[hrp] Vu que mes deux dagues sont empoisonné pour ce combat, normalement tu es mort ^^
Mais vu que tu faisais parti de la main de feu avant, je te l'avais aussi confié, donc tu as eu les moyens de t'y insensibiliser...[/hrp]

Marneus leva ses deux bras devant lui et forma un mur d'ombre. Les morceaux de glace s'y figèrent, mais l'un d'entre eux réussit à passer, lui balafrant tout le bras, du poignet à l'épaule...
Marneus serra les dents et fit comme si de rien n'était, à vrai dire la coupure n'était pas très profonde.

Marneus profita du fait que les morceaux de glace soit bloqués pour les entourer, les absorber dans un globe d'ombre. Au moins Algard ne le pertuberais plus avec son épée...

Marneus fit apparaître une ombre derrière Algard, qui se jeta dessus pour l'aataquer. Marneus profita de la distraction pour attaquer lui aussi Algard... Il frappa d'une dague sa gorge et de l'autre sa poitrine, visant entre les pics de son armure.

Algard était en difficulté. IL ne devait pas interbvenir mais IL avait juré de l'aider... Tant pis: IL risquait de s'ennuyer à ne rien faire de toutes façons. IL ne pouvait rien faire contre l'ombre mais IL pouvait au moins enpécher Marneus de tuer Algard trop rapidement. Un étrange bloc de pierre vint se planter avec fracas entre les deux combattant obligeant Marneus à stopper son attaque s'ilne voulait aps se faire arracher quelques bras. C'était en fait l'énorme épée de l'élu du dragon qui, lui, se tenait debout à côté d'elle.

-Je n'aiderais pas Algard à gagner mais je l'aiderai à ne pas perdre.

IL saisit à deux mains le paummeau de l'épée qui était profondemment plantée dans le sol. Le pied droit recouvert d'écaille jusqu'au genoux siffla à quelques centimètre du nez de Marneus. Ce n'était pas une attaque mais plutôt un gain de temps. Grâce à cette action Algard avait un peu plus de temps pour se charger lui même de l'ombre qui l'attaquait. Et puis, avec cette entaille empoisonnée dans la main, le fils du dragon élémentaire savait qu'il finirait par trouver une parade mais peut-être lui faudrait-il un peu de temps et chaques secondes comptaient maintenant. Lorsque les deux pieds retombèrent au sol l'épée s'arracha du sol et filla vers le torse de l'assassin.

Marneus stoppa son attaque en voyant quelque chose se dresser devant lui. Il fit un pas en arrière, stupéfait, regardant aux alentours et fronça les sourcils en voyant l'Herrin, il devrait aussi faire attention à lui alors...

En voyant l'épée filer vers lui, Marneus n'eu d'autre choix que se jeter à terre. Il se releva, furieux et parla.

Ne t'inquiete pas, ton tour viendra aussi !
N'interfere plus dans ce combat ou tu rencontreras Arkan plus tôt que prévue !

Marneus attendit une possible attaque de la part des deux combattants...

Si son visage n'avait pas était si figé que la pierre, un sourire d'exitation se serait certainement dessiné sur ses lèvres. Seule la lueur de l'envie d'un combat s'embrasa dans ses yeux jaunes au pupilles fines et verticales.

-J'attendrai donc mon heure comme tu me le demandes mais sache qu'elle pourrait très bien arriver alors que tu ne t'y attends pas.

L'épée immense se dressa avec une vitesse surprenante audessus de la tête de l'ancien Herrin, si rapidement qu'il semblait en avoir perdu le contrôle: Ses deux pieds se détachèrent du sol, l'épée se planta derrière lui et il se posa alors élégament au sommet du pommeau de l'épée, ses deux yeux de reptiles posés sur son nouvel ennemis, son corps recrocvillé tel un rapace attendant le momment où il pourrait fondre sur sa proie, immobile, comme statufié et pourtant épiant les moindres faits et gestes de l'avatar d'Arkan.

Algard pendant, ce temps, était en difficulté face à l'ombre qui l'avait attaqué par derrière et le poison allait bientôt se rédendre dans son corps par la blessure sur sa main.

Apparament, tout le monde avait renié Arkzan... S'il devait en être ainsi, alors Arkzan se battrai contre tout le monde...

- Caar, écoute moi et aide moi... Fait que la lumière m'atteigne...

Une brèche s'ouvrit dans les nuages et une ligne de lumière partagea le champ de bataille en deux. Arkzan leva la main et cria une injonction, la lumière du soleil changea de direction avant de toucher le sol et se dirigea vers Arkzan, comme si un aimant de lumière l'attirait là. Lorsque son bras devint brûlant, il ferma les yeux et le tendit devant lui, dans la direction de Marneus, Algard et l'herrin aux grands pouvoirs, l'éclair qui résulta de sa magie traça une ligne brûlante sur le sol et continua dans leur direction. Il joignit Zon'ir au trait lumineux afin de le rendre encore plus puissant, et dans un sifflement imperceptible, la lumière augmenta de volume pour aller achever son oeuvre de mort vers les trois combattans...

Lorsque le ciel se fendit, L'ancien Herrin ressentit une avertion pour la source de ce miracle.

*Ces dieux et leurs avatars...*

L'élu du dragon sentit tout son sang bouillr... Il avait fait le rapprochelment entre la lumière tombant en ce moment du ciel et la vie de l'avatar de Caar. Il avait compris que le danger ne viendrait pas du phénomène paranormal se déroulant sous ses yeux mais de l'elf l'invocant.
Ces dieux qui osaient se dirent maître de ce monde allaient enfin voir ce qu'un dragon était capable de faire.
L'épée s'arracha du sol tandis que son propriétaire sautait audessus d'Algard, ses bras tirant à lui l'épée au 23 lames qui se réorganisaient en plein vole. Les deux pieds de l'élu des dragons s'enfoncèrent unpeu sous le choc de sa chutte tandis que son pouvoir consolidait son appuie en remontant du sable qui se solidifia jusqu'à mi-jambe. En position, prêt à encaisser, son épée en frappe d'estoc, pointée vers le rayon lumineux ayant déjà parcourut un quart de la distance séparant les trois combattant et le roi elfique.
L'épée finit sa réorganisation des vingt-trois lame en forme de disque dont le centre était le pommeau de l'épée. Le fils du dragon élémentaire eut tout juste de voir, de sentir que le rayon serait enfait trop puissant pour lui... Pour lui seul... Avant que les lames ne s'applatissent et ne forme plus qu'une grande parabole sur laquelle vint ricocher le rayon lumineux, s'élevant vers l'endroit d'où il était venu: le ciel.

Il sentit la pierre enlaçant ses jambe sur le point de céder. Il s'adressa alors aux deux autres magiciens qu'il protégeait l'un par honneur et l'autre par malchance.

-Un coup de main... Humain...?

Il ne revanit aps de ces dires et pourtant c'était la seule chose à fair s'ils ne voulaient pas mourir tous les trois.

La lumière des alentours progressa alors pour former un mur autour des trois guerriers puis le mur commença à se rétracter sur lui même, porteur d'une promesse brûlante pour les ennemis d'Arkzan...
Arkzan s'approcha avec rapidité du mur et attendit près au combat. Il sortit Zon'ir et chargea le cristal d'un peu de lumière, près à décocher un éclair au premier qui apparaîtrait...
Il se créa aussi un bouclier de lumière pour se protéger des attaques de Marneus et le rendit brillant pour que ses adversaires soient aveugler lorsqu'ils verraient la lumière.

Finalement l'ancien Herrin n'eu pas besoin de l'aide de ses deux comparse: le rayon puissant de lumière venait de s'arrêter. Les dragon venait de vaincre Caar. Le dieu des dieux! Dommage qu'il n'ai aps dis son dernier mot. Il leur faudrait encore se protéger. L'épée reprit sa forme normale ainsi que sa place dans le fourreau. Les deux mains libres se posèrent alros sur le sol et un dôme semblable à celui qui avait emprisonné Marneux tout à l'heure se forma au desssu des trois combattants. Cependant il le fit plus épais, plus résisitant, plus opaque encore, plongeant les trois humanoïdes dans les ténèbres. Avant que Marneus n'y voyent un avantange la voix de l'élu du dragon s'éleva faible et essouflé.

-Marneus. J'ai puisé trop de magie en moi. Tu pourrais nous tuer facilement, Algard et moi, maintenant plongé dans ton élément mais laisse moi te proposer une chose... Une dernière chose...

À l'abris des oreilles indiscrètes de Arkzan, le fils du dragon raconta son plan, peut-être son dernier, les deux mains encore collé au sol, continuant de donner son énergie au sol pour qu'il les protège, le mur de lumière continuant de se rétressir vers le dôme.

[HRP]Marneus, Algard, on ne répond plus tant qu'on en a pas discuté par msn. J'ai réellement un plan.[/HRP]

Ellana regardait le massacre quelques mètres plus loin. Elle vit Arkzan invoquer la puissance de Caar. Elle regardait Algard, Lamedore et Marneus à l'abri derrière un dôme de consistance solide mais qui se fragilisait. Elle jeta un coup d'oeil vers Arkzan qui droit et fier combattait aux côtés de son dieu. Elle observa alors Eloca, elle voyait en sa fille une force magnifique. Elle s'approcha d'elle et lui murmurra :

Que faisons-nous ? Veux-tu te battre ou rester là à attendre la mort des autres concurrents ?

/hrpg/ Je croyais avoir posté! C'est louche... /hrpg/

Eloca regarda sa mère en souriant et pour seule réponse elle bandit son arc Eraën, visant l'elfe gigantesque qu'était son père. La flèche partit d'un seul coup, en tournoyant. Deux autres la suivirent.
Arkzan était trop occupé à surveiller les trois combattants, et il n'y fit pas attention. La première flèche atteignit son épaule, la deuxième frola son oreille et la dernière alla se planter dans sa jambe.

Hé oh! Laisse les tranquille et viens nous voir!

Une nouvelle rafale de flèches accompagna ses paroles. Eloca se tourna vers sa mère.

Approche toi de lui, je te couvre...

Il arracha les deux flèches arrêtée par la deuxième épaisseur de son armure et se dirigea vers les deux Elfes qui appartenaient à sa plus proche parenté.

- Tu ne te souviens donc plus des leçons que je t'ai donnée ma fille? Tu préfères te cacher derrière tes flèches magiques?

Il se tourna vers sa femme.

- Je suis désolé mon amour, si je dois vous tuer toutes les deux, je le ferais, mais le plaisir n'accompagnera pas cet acte... Si tu dois mourir de ma main, je ne sait pas si je continuerais à vivre...

Alors que ce pied royal aurait du se poser au sol, il sombra dans un petit gouffre qui se referma immédiatement sur lui, emprisonnant l'emprisonnant dans ce qui se transforma par simple réassemblement atomique en le plus pur des diamants, incassable. Un exploit qui vida l'élu du dragon de la moitié de ce qui lui restait comme force. Un stalagmite se forma alors rapidement juste en dessous d'Arkzan, immobilisé, filant vers sa gorge.
Deux autres surgirent de sa gauche et deux de sa droite, chacun visant un point vital et venant de direction radicalements opposées. Arkzan ne pourrait jamais tous les éviter: il était perdu...

Les dernières forces vitales de l'ancienne herrin se puisait en cet instant. Il avait bien calculé... Lorsque les pics auront traversé la chaire elfique, la dernière miette de force le quittera, et il quittera ce monde.

Tuer un roi... Son dernier acte n'aura pas était si futil.

Ellana souleva un sourcil, son regard se fit plus pénétrant, son visage se durcit. Elle se tourna vers Eloca et dit :

Va te battre contre les autres, je me charge de ton père. C'est plus qu'une demande Eloca, c'est un ordre.

D'un geste simple elle sortit son poignard du foureau qu'elle portait à la ceinture et rajouta :

Attention Arkzan, je suis déterminée.

Après l'avoir regardé dans les yeux une dernière fois, elle se mit en position de combat, attendant l'attaque inévitable. Un sifflement lui vint et elle bondit, poussant Arkzan. Elle sentit une pointe de pierre lui égratiner l'épaule. Elle vit passer trois pieux en pierre. Elle cria :

Ne le touchez pas ! Il est à moi !

Elle se releva et dit à Arkzan :

Souviens-toi en...

Elle s'approcha de lui, en rangeant son poignard, lui montrant qu'elle n'allait pas l'attaquer. Elle le regarda puis tendit les lèvres pour l'embrasser. Elle y parvint assez facilement et après elle murmurra :

Je préfère mourrir en me battant contre toi.

Après être retourné à sa position initiale, elle sortit son poignard, se préparant à l'inévitable...

Eloca regarda sa mère s'approcher de son père. Pour que sa mère puisse se battre contre son père tranquillement, Eloca devait empêcher toute personne de les embêter. L'homme blond si bizarre qu'elle avait remarqué au début était en train de mourir. Algard et Marneus étaient occupés de leur côtés.
La princesse s'approcha de l'ancien herrin.

Puis-je t'aider en quelque chose? Veux-tu que j'apaise tes souffrances?

Arkzan regarda celle qui avait partagé son amour durant trois siècles, il regarda sa lance et son épée, qui l'avaient suivies pendant trois siècles aussi, il dégaina lentement son épée et le jeta au sol, il délia toutes les parties de son armure encore intactes, puis il sortit Zon'ir, et la plaqua contre sa poitrine désormais nue.
Une larme coula en pensant au dernier baiser qu'elle lui avait donné, il ne pouvait plus reculer, il leva lentement la lance, et lui ordonna de faire un dernier acte...

Fendre le coeur de sa bien aimée...

La lance glissa lentement dans l'air, filant vers le coeur de son épouse. Arkzan se mit à prier Caar qu'elle pare le coup, qu'elle se dérobe au combat et qu'elle le tue lui...

Algard et Marneus étaient tous deux en haut du monument de pierre, dominant le combat. Algard avait pris le temps auparavant d'enfermer le poison avec de la glace dans la partie touchée après que Marneus eût attaqué. Pendant qu'il regardait le combat, Algard extrayait le poison enfermé dans sa prison transparente. L'entreprise achevée, il forma trois petites stalactites empoisonnées qui descendait gentiment sous les pieds des deux combattants, tournait autour de la pierre pour se trouver derrière Marneus. L'entreprise fût réalisée avec la plus grande discrétion et habilité. Marneus aurait pu voir cela autant facilement qu'un scarabé aurait pu toucher le fond de la mer infinie vivant... Algard imagina ensuite une feinte: Il prit trois shurikens, le plus discrètement possible, puis se retourna brusquement, les shurikens sifflant en direction de son ennemi, surpris.

Ellana vit la lance foncer droit vers son coeur. Elle n'eut le temps que de se décaler légèrement et la reçu en plein dans l'épaule. La lance la traversa, laissant une pluie de sang éclabousser les alentours. Elle sourit tristement et ne put que lacher un cri de douleur. Elle sentit la vie sortir d'elle par sa blessure. Elle rergarda le ciel, essayant d'apercevoir le soleil une dernière fois. Elle jeta un dernier regard à sa fille qui continuait l'aventure douloureuse de la vie. Elle contempla son poignard, puis croisa le regard d'Arkzan en dernier pour pouvoir le savourer, pour qu'il comprennent qu'elle ne lui en voulait pas. D'un geste imperceptible, elle lança son poignard en direction de la tête de l'homme qu'elle aimait. Il devait frapper entre les deux yeux. Elle s'effondra, bientôt morte. La partie était terminée pour elle. Elle le savait. Elle ne put qu'afficher un sourir sur ses lèvres, ignorant la douleur. Elle savait que la blessure était fatale. Tant mieux. Elle était morte comme elle le désirait, en face de son époux, heureuse...

Arkzan regarda sa femme basculer en arrière, un petit sourire aux lèvres. Il vit le poignard arrivé droit sur lui, il s'écarta, il sentit qu'on lui arrachait des cheveux, il regarda une des ses mèches tomber tristement sur le cadavre de son épouse. Il pleura à chaudes larmes, enleva la lance de l'épaule de sa bien aimée et il tourna la pointe vers sa poitrine à lui. Au début, la lance opposa une résistance, comme si elle ne pouvait permettre le suicide de son maître.

- Laisse moi la rejoindre!!!!!!!!

La lance ne bougea plus puis Arkzan la fichea violemment dans son coeur. Il regarda les alentours, posa Zon'ir sur le sol, observa sa fille, espèrant qu'elle ne viendrais pas les rejoindre, puis il s'alongea sur le sol à côté de son épouse et ferma les yeux pour ne plus les rouvrir...

Eloca était horrifiée. Les larmes déferlaient sur son visage, tombant à ses pieds, sur le corps inerte de Lamedore. Elle courut vers ses parents. Prit sa mère dans ses bras tout en pleurant. Elle lui ferma délicatement les yeux. Puis elle la posa sur le sol. Elle enleva ensuite la lance du corps de son père, lui ferma de même les yeux et le posa aux côtés de sa mère. On aurait dit qu'il dormait. Mais le sang qui s'écoulait lui rappelait la triste réalité.
Elle embrassa ses parents une dernière fois. Puis elle les mit tous deux dans le vieux chariot en flammes, à un endroit où il était encore intact. Bientôt leurs corps se consumeraient ensemble.
Elle tourna le dos à ce spectacle pour ne pas souffrir plus. Se passa la main sur les yeux pour les sécher. Puis elle prit l'épée que son père avait laissé à terre après avoir enlevé son armure dans une main et la sienne dans l'autre. Elle posa son arc et son carquois par terre, pour qu'ils ne la gêne pas, et se dirigea vers Algard et Marneus.
Le combat que menaient les deux hommes était sanglant. Eloca savait qu'elle ne supporterait pas de voir mourir Algard lui aussi... Elle se prépara, une épée dans chaque main, à le défendre s'il le fallait.

/hrpg/Waou. Bravo Arkzan et Ellana, belle fin. Fière d'avoir des parents comme vous Very Happy

Je pensais pas que j'arriverais aussi loin dans le combat! Je pensais que j'allais mourir avant... /hrpg/

/hrpg/Il devait frapper entre les deux yeux. Toi, tu as vue "le Bossu" xD /hrpg/

Marneus regarda le combat aux alentours, laissant les participants s'entretuer...
Il en aurait ainsi moins à achever...

Il n'avait pas bouger lorsque le rayon avait filé vers lui, laissant le Herrin se tuer pour empêcher que le rayon ne les tues tout les trois...

Puis il regarda le combat magique entre le Herrin et Arkzan, se terminant par la mort des deux et de la reine des Elfes...

Arkzan mort, le Herrin aussi, ses ennemis les plus coriace venait de mourir...
Ne restait plus qu'Algard et la princesse des Elfes...

Marneus continuait de se battre avec Algard sur le sommet du monument de pierre. Mais il n'aimait pas trop cela, le dôme pouvait s'effondrer, ou bien Algard pourrait tenter de le faire chuter ou tenter quoi que se soit d'autre...

C'est pour cela que lorsque Algard lui envoya trois shiruken, Marneus se jeta sans hésitation dans le vide... Tout en faisant apparaître un cercle d'ombre où il retomba quelques mètres plus bas et qui le porta ensuite à hauteur du sol...

Marneus se retourna pour avoir Algard en vue, l'Elfe était encore loin, il n'aurait pas à s'en soucier pour le moment...

Une fois Algard en vue, Marneus le fixa, et entra dans son esprit pour pouvoir lui parler.

*Et bien cher Algard, on dirait que ton compagnon est mort en te protégeant, et en ME protégeant par la même occasion...*

Marneus laissa passer un instant, visitant l'esprit d'Algard, qui n'avait encore rien tenté pour le repousser, trop surpris...

*Mais que vois-je ! Visiblement, la princesse des Elfes occupe beaucoup de place dans ton coeur, se serait dommage qu'il lui arrive quelque chose aussi, n'est-ce pas ?

Alors descend de ce ridicule cailloux, vient à ma rencontre et dis lui de se tenir à l'écart...
Un mauvais coup est si vite arrivé...*

Durant ce dialogue, Marneus fit apparaître une épée d'ombre, ne pesant absolument rien, mais pourtant plus solide que l'acier ou la pierre... Il rangea sa dague droite et pris son épée d'ombre à la place.