1/2 de finale/ 1er tournoi: Lamedore VS Marneus

demi-finale du premier tournoi: Lamedore contre Marneus

Que le/a meilleur/e gagne!

Noms des adversaires: Lamedore contre Marneus
Environnement: Grande cité
Conditions climatiques: nuit
Conditions spéciales: Marneus ne sera pas l'avatar d'Arkan dujrant ce combat, masi conserve le reste.
Obstacles et dangers: Aucun

Commencez le combat!

JE epux savoir pourquoi j'ai un tel avantage... ELoca s'est battu contre Marneus avatar et moi je me bat contre marneus normal... je suis donc plus faible qu'Eloca?

Attend si je suis plus avatar, je n'ai plus aucun pouvoir c'est sa ?

Et Algard, pourrait je avoir une rapière ?

Pour la rapière c'est dans le rpg.

Et je suis désolé mais contre Eloca le combat était égal, ils possédaient les deux la magie. Et un avatar contre quelqu'un ne maitrisant pas la magie, c'est presque de l'abatage.. Ce n'est pas égal et Marneus gagnerait parce qu'il a des pouvoirs hors du commun. Mais si Lamedore refuse, tant pis pour lui.

Exactement! Je veux mourir! Voila!

Heu... En fait on va oublier l'orgueil une minute et on commence Mani? XD

[hrp]Très bien c'set parti ^^
Et dommage, l'abattage, c'est sa qui est marrant... Fou

[/hrp]

Marneus était là depuis quelques heures. Il avait obtenu un contrat très lucratif... Et on lui avait donné des renseignements sur sa cible, qu'il ne voulait absolument pas rater... Sa cible était un herrin, c'est tout ce qu'il savait d'elle.
Par contre on lui avait assuré qu'elle viendrait dans cette ville, cette nuit et en passant par ici...

Marneus s'était donc posté en embuscade sur un toit, son arc bandé, une flêche empoisonnée encoché, prêt à faire feux... Vu qu'il faisait nuit, Marneus était quasiment invisible sur le toit. Les lumières dans les rues étaient trop faible pour éclairer les toits, mais suffisament forte pour empécher qu'on le voye...

Un jeune herrin, blond, un manteau d'un rouge éclatant sur le dos, battant derrière ses jambes ajité déambulait dans les rues déserte en cette heure tardive. Quelle idée! En fait on l'avait informé que son prochain combat se passerait ici. Oui. Il revenait d'une ville déserte où il aurait du affronter quelqu'un qui n'était aps venu. Tant pis... Ou tant mieux... APrès tout il était en forme, bien que las du voyage qui l'avait mené jusqu'à cette nouvelle ville, pour affronter son nouvel adversaire. Il ne savait absolument rien de lui. Il n'était pourtant pas rassuré de amrcher ainsi à découvert, en pleine nuit.

Ce n'est pas qu'il ai peur du noir... Mais plutôt de ce qui pouvait s'y cacher... Tous ces brigants... Ces rodeurs nocturnes... Ces voleurs... Ces assassins... Parfois cachés dans la ruelle sombre qui ne laissait rien entendre... Comme celle-ci là-bas.
Il ralentit le pas. Il avait réussi à se convaincre du danger de cette ruelle. il se mit alors au centre de la rue. Si une ataque venait de l'une de ces ruelles il aurait ainsi a possibilité de l'anticiper un minimum... Il marcha de nouveau à une allure soutenue, cherchant toujours à regagner le centre ville afin d'avoir la plus large surface de combat... Pour lui, ce combattant au corps à corps.

Alors qu'il marchait donc de nouveau ainsi, gaiment, d'autres histoiresde la nuit lui revinrent en mémoire, à lui, ce grand lecteur. Ces préférées restaient celles des loups-garoux. Il eut un petit sourire amusé en tournant un oeil incrédul vers la lune dans le but de vérifier si elle n'était pas pleine.

Son oeil se révulsa alors, l'iris se fermant au maximum sous le coup de la stupeur, baignant l'oeil d'un bleu saphir, ne laissant plus qu'un minuscule point noir en son centre, qui lui laissait voir au cerveau en ébulition sous le coup de la peur, l'image d'un archer sur le toit à sa droite se découpant sur le disque lunaire. Dans un dernier espoir son corps actriva le peu de réflexe encore en fonctionnement à cette heure tardive. La tête et le buste restèrent sur place tandis que les jambes continuèrent leur chemin: il tomba en arrière.
Il eut juste le temps de voir la flèche passer à quelques centimètres de son buste, déchirant un pant de son manteau. Son visage n'était plus que stupéfé.

Il ne mit pas plus de cinq secondes à rejoindre le mur de la maison sur laquelle était perchée l'assassin et à raviver le peu de sens qui ne fussent aps encore réveillé par cette douche froide forcé.

Il fillait maintenant ventre à terre, longeant le mur le mur, à l'abris des flèches par la large goutière, vers la place de la ville, son poing à lames bien en main, les lames encore rétractées pour éviter de le gêner pour le moment, une main sur sa dague, les oreilles aux aguets, cherchant à localiser son ennemi qui se trouvait peut-êre juste au dessus de lui. Il lui fallait regagner cette palce au plus vite. Ces rues étroite ne lui laisserait jamais la place pour son style de combat.

Marneus encocha une autre flèche et suivie sa victime d'en haut...
Il savait que se n'était pas la peine d'utiliser à nouveau son arc, il ne ferait que perdre ses flèches.

Une fois que le herrin fut arrivé au mileu d'une place, il se stoppa et Marneus en fit de même sur les toits. Visiblement le Herrin ne savait pas où se trouver Marneus.

Marneus effectua un large cercle sur les toits, afin de se placer dans le dos du Herrin.

Une fois bien placé, il tira de nouveau, visant entre les omoplates. Si il le touchait, le Herrin succomberait au poison en quelques secondes, comme toutes les autres victimes de ce poison...

Lamedore tournait en tout sens sa tête, attardant son regard sur chaque ruelle dont l'entrée était quelque peu éclairée par les lampadaires à chandelles placé autour de la place. Un petit bruit répétitif tournait dans sa tête. Cela ne faisait que le stresser d'avantage. Ses yeux toujours plus paniquées ne trouvaient jamais ce qu'ils cherchaient: leur assassin. Le bruit raisonnait maintenant plus à gauche qu'à droite. Cela étonna Lamedore qui tourna la tête dans cette direction. Soudain l'évidence le frappa. Il en resta figé de ne pas avoir reconnu ce bruit plus tôt. Quel enfant errant n'a pas un jour fait une balade sur les toits. Ce bruit était le bruit de pas sur des tuilles. il ne faisait plus aucun bruit, fermant ses yeux, comprenant qu'ils ne servaient plus à rien dans cette obscurité casi totale, ne se concentrant plus que sur ce bruit de pas. Il se staupa enfin.

L'herrin serra ses poings tremblant de panique, restant attentif au premier bruit qui rententirait dans la nuit, soudain, un bruit caractéristique d'une corde qui vibre le fit sursauter, ou plutôt sauter en arrière, heurtant violemment le sol derrière un banc, se rapant un peu le coude. Il n'attendait que ça. Il savait qu'après lui avoir tiré une fois dessus, l'assassin possédait un arc. S'il n'était pas descendu de son perchoire, c'est bien qu'il essayait de trouver un nouvel angle de tir. S'il avait bougé trop tôt, l'autre aurait changé la trajectoire de la flèche, et une fois au sol il n'aurait été que plus dur d'éviter la flèche. Mine de rien, ce tueur de monstre cogité plus que la moyenne des abrutis...

Il fit basculer le banc sur lui et sortit de sous son long manteau son arbalette à répétition. Un coup d'oeil au chargeur lui fit remarquer qu'il n'y en avait plus que 5... L'assassin n'était pas obligé d'en être au informé. Il la pointa dans la direction d'où lui était venu le bruit et lacha une salve de flèches dans un mouvement circulaire.

Son doigt lacha la gachette lorsque la dernière fut partie, juste avant que le caractéristique petit "clic" annonçant le fond du chargeur ne fende la nuit. L'assassin n'avait donc aucun moyen de savoir si l'arbalète était encore dangereuse ou non.

-Dis donc assassin, ça te dirais pas de me montrer ta frimousse? À moins que tu préfères qu'on reste là à tirer à l'aveuglette toute la nuit... Parce que là, à moins d'un vrai coup de pot, vu l'obscurité et le faible éclairage de ces chandèles, tu risques pas de réussir à tirer entre les lates de ce banc pour me toucher... Et à force de gaspiller tes flèches comme ça... Le renouvellement de tes stocks va te coûter plus cher que ne te rapportera ma tête...

Lamedore, par précaution vérifia tout de même son chargeur et eu un sourire décu en voyant le chargeur bel et bien vide.

-Je te propose, puisque moi je ne te vois pas, de balancer ton arc dans la lumière. Moi je balancerais mon arbalète au même endroit et on pourra alors s'avancer l'un vers l'autre... Qu'en dis-tu? Ou alors on attends le levé du soleil, toi sur ton perhcoir et moi sous mon banc et au levé du soleil je jourai au tir au pigeon... L'inconveignant c'est que ça risque de durer longtemps...

L'oeil de l'herrin scruta entre deux lates l'obscurité d'où était partie la flèche dasn l'attente d'une réponse. Personnellement, il avait mangé, fait une sieste avant de venir et l'habitude d'un sol dur comme lit... Il pourrait très bien passer la nuit ici. Un petit craquement de tuile lui fit venir le sourire.

-Et l'inconveignant avec les tuiles c'est que c'est aps très insonnorisé...

Marneus s'était jeté en arrière dès qu'il avait entendu le claquement de la corde. Il était tombé sur les tuiles qui avait heureusement résisté à son poids.

Puis il se releva quand la salve fut terminé et il écouta le Herrin. Le Herrin avait quelques peu raison, mais Marneus s'en contrefichait... Il n'obéirai pas à sa futur victime, ne serait-ce que par fierté...

Il encocha une nouvelle fléche et tira dans le banc, là où devait se trouver la tête du Herrin. Avec un peu de chance la flèche traverserait le bois...

Lamedore déglutit difficilement en entendant la corde claquer et sa salive resta coincée dans sa gorge en entendant le bois du banc craquer sous le choc de la flèche. Puis il la vit. Quelle force de tir... La pointe de la flèche se trouvait à quelques centimètre de son nez. Il dut meêm loucher pour voir une goute de liquide qui lui sembla suspect tomber par terre.

*Empoisonnées... C'est pour ça qu'il tente encore sa chance...*

Le banc n'était donc pas assez épais pour supporter le choc d'une flèche... Qu'à cela ne tienne. Un bruit sinistre de frottement contre le sol déchira la nuit. Le banc grinçait contre la pierre alors que l'herrin le trainait vers un autre assez proche. En une dizaine de secondes il le rejoignit. glissant rapidement la main entre deux lattes avant de la ranger à l'abris, il avit ramené le seocnd banc sur le premier... Même avec un arc surpuissant, aucune flèche ne pourrait traverser une telle épaisseur de bois. cette fois-ci il était à l'abris. son coude le picoté mais ce n'était rien comparé à ce qui risquait de lui arriver. Il se coucha sur le sol, le plus loin possible des lates... Il n'était pourtant pas rassuré. Les tuiles n'emettaient plus aucun bruit... peut-être l'assassin avait-il changé d'emplacement pendant l'herrin trainait le banc... Comment savoir? Il n'y avait aucun moyen... Les banc lui offrait une protection sur chaque flanc mais est-ce le problême était sa tête et ses jambes Le grincement sinistre se refit entendre. Les bancs glissait l'un sur l'autre. Le prisme habritant Lamedore était maintenant un peu plus long mais il avait gardé une double épaisseur la où il s'était recroquevillé, au milieu de cette carapace.

Ah, mais il avait l'air malin ainsi contorsionné! oui mais valit-il être ridicul que mort? Oui car comme on dit le ridicul ne tue pas. L'ennuie était le poisojn au bout de ces flèches... L'air de rien ça pique c'est petit truc là... il hauta son manteau et le roula en boule pour obstruer l'ouverture donnant sur sa tête... Vue la taille du prisme et la distance entre les ouvertures et son corps il n'aurait put être touché que par un rioché si l'assassin tiré toujours des toits. L'autre ouverture se retrouva encombré de la dague, des trois lames du poings à lames, de l'épée longue plantées dans le sol et de l'arbalette à répétition.

Ha mais c'est qu'il était dégourdit dites voir! Il voyait même si l'assassin se rapprochait grâce aux espaces entre les lattes. Rapide en plus: pas plus d'une minutes pour mettre tout son dispositif en palce.

L'ennuie était le confort... Il se jurra de prévoire un coussin la prochaine fois qu'il se ferait prendre au piège par un archer.

-C'est partie pour une petite nuit blanche entre bons copains, hein l'ami?

Il n'était pas sûr que narguer son adversaire si dangereux tapis dans l'ombre et dont il avait perdu l'emplacement même approximatif soit une bonne idée mais ça le détendait unpeu de savoir qu'il faisait enrager un ennemis qui se croyait si bien préparé.

Marneus regarda sa victime se protéger sous les bancs.

Il regarda les deux bancs superposé, il ne pourrait pas traverser le bois en tirant dedans. Mais au moins son adversaire était bloqué dedans.

Marneus regarda plus longuement les bancs en bois puis les torches accroché aux mur des maisons, et parfois des lampes contenant de l'huile...

Il eu un rictus sadique, passa son arc dans son dos et fit le tour sur les toits pour descendre dans une rue se situant dans la direction des jambes du Herrin, pour éviter que le Herrin le voye, mais tout en gardant les banc de vue, où cas ou sa victime tenterait de sortir...

Il descendit dans la rue et Marneus récupéra une lampe, dont il éteignit la méche. Il transvida l'huile dans un petit pot en terre cuite qu'il venait de prendre sur le perron d'une maison. Ainsi lorsqu'il lancerait le pot sur le banc, il se briserai et l'huile coulerais dessus et dedans...

Marneus prit aussi une torche et se dirigea vers la place. Il s'arreta sous les dernières maison et lança le pot en terre cuite qui se brisa sur le banc. Il lança sans attendre la torche qui tomba sur le banc et enflamma l'huile.

Il prit son arc et encocha une flèche, prêt à tirer, au cas où son adversaire réussirais à sortir...

C'était le cas de le dire, il était cuit... Soit il restait et il brûlait, soit il sortait et se prenait une flêche empoisonnée...

*hahaha! ainsi protégé il ne plus rien me f'...*

Quelque chose venait de se briser sur l'un des deux bancs. Il redressa la tête, se la cogna contre le banc, poussa un juron et sentit quelque chose de visqueux lui couler sur la main. Une lueur s'éleva d'une ruelle, se rapprocha, prit la forme d'une torche et tomba sur le banc, enflamant le liquide visqueux s'avérant être de l'huile.

-Ah l'espèce de ...!!!

Les jambes de l'herrin, dans une contorsion douloureuse, passèrent sur son torse, ses mains vinrent se poser aux côtés de ses oreilles et ses pieds prirent appuie sur les lattes léchées par les flammes huilleuses. Le bois vernis n'avait pas pris feu immédiatemment. Dans un hurlement de rage, le banc s'éleva de quelques dizaines de centimètre et attérit à mi-chemin entre l'herrin remit debout et l'assassin dont il vit l'arc bandé à la lueur du feu de banc.

*Houla.*

Le "chtong", aidé de la vue cette fois-ci ne purent qu'aider complètement le tueur de monstre qui bascula de nouveau en arrière, voyant passer la flèches à quelques centimètres de son visage et en ayant arraché un bout de sa chemise. Toujours certain d'un stock de flèches prêtes à lui fondrent dessus, Lamedore attrapa le banc et le dressa devant lui. Entre l'assassin archer et le tueur de monstre roussi, le banc servirait de bouclier...

-Désolé...mais... encore raté...

La silhouette encapuchonnée l'observait derrière les flammes dansant qui l'éclairaient faiblement. toutes les armes de l'herrins étaient plantées à côté de lui et bien décidé à gouter le sang de cet inconnu.

-Tu refuses toujorus le combat au corps à corps, le stratège?

Aaaaah... Quelle jouissance de pouvoir narguer ainsi celui qui se croayait capable de vous tuez trop facilemnnt...

[hrpg]Je vous dis pas comment il a poussé des haut cri sur msn quand il a compris ce que j'allais faire XD[/hrpg]

Marneus ne prenait pas la peine de répondre aux sarcasme de son adversaire, ne visant qu'à le déconcentrer. Il connaissait bien cette technique, il l'avait souvent employée...

Néanmoins le Herrin était coriace, le combat serait long, et d'autant plus distrayant...

De toute manière, Marneus commençait à manquer de flèches... il n'avait pas prit la peine d'en prendre plus de quelques une. Et il ne lui en restait plus qu'une... Il tira donc sa dernière dans le banc, histoire de faire bonne figure, puis il lança son arc et son carquois sur le côté pour sortir ses deux dagues.

Il regarda son adversaire, (ou plus précisément le banc le cachant...) et se mit à approcher de lui. Une fois qu'il ne fut plus qu'à quelques mètres, il se mit à courir et frappa du pied sur le banc, à hauteur de l'estomac, voulant ainsi envoyer le banc percuter le Herrin qui le tenait...

-Houu...

La dernière flèche avait transpercé les lattes et le manteau. sous ses vêtements, le ventre rentré au possible le herrin prilla le ciel de lui avoir offert de si bons réflexes.
Il se saisit de la flèche et la jeta plus loin. Son oeil, de nouveau entre deux lattes vit l'humain de l'autre côté du banc en flammes courir vers lui.
Sa silhouette découpé dans les flammes grandissantes aurait put être effrayante si l'herrin n'avait pas un si mal placé sens de l'humour. Il le compara à un corbeau avec cette cape virvoltant derrière lui et cette noiceur démoniaque. Soudain la silhouette sauta vers lui pied en avant. Tel un grand torrerro, l'herrin se décalla une fois son adversaire en l'air, mettant le banc en déséquilibre pour être sûr que l'assassin aille bien s'empêtrer dans le banc qui ne tarderait pas à céder vu la fissure dans certaines lattes causées par les flèches surpuissantes.

En s'écartant le tueur de monstre avait effectué une pirouette et en se penchant légèrement, sa main droite attrapa l'épée longue. Continuant sa rotation, le bras droit emplifiant le mouvement de fauche de l'arme tranchante, la main gauche vintse faufiller entre les lanières de cuire qui la relièrent bientôt au poing à lames déployées prête à lassérer le premier encapuchonné venu.

[HRP]Sorry for the retard mais I hade pas mal de HOme works pour ce Week fin. Du coup c'est mon seul post RP de la semaine et bonne nuit les gens! 0 la semaine prochaine![HRP]

Marneus envoya son pied dans le banc, l'envoyant voler au loin, avec quelques planches de moins...

Il se retourna vers son adversaire qui avait effectué une roulade en le voyant arriver.
champignon bloqua le coup d'épée de celui ci grâce à sa dague et envoya son genoux dans le Herrin qui était encore baissé, pouvant ainsi viser le visage...

Marneus gardait son autre dague à la main, prêt à parer un quelconque coup en traître...

Lamedore se prit le genoux en pleine figure et sentit son nez craquer sous le choc. Dans un gémissement de douleur il alla rouler unpeu plus loin, se rattrapant finalement sur une longue glissade. Son nez laissa échapper une gerbe de sang lorsqu'il souffla pour reprendre ses repères. Son poing se ressérra au milieu des lanières et un sourire carnassier réapparut sur son visage lorsque la silhouette de son nouveau chirurgien plasticien se découpa dans les flammes toujours plus grandes.

Il s'élança à toute vitese vers son ennemi, laissant échapper un cri de rage et son épée longue trainer derrière lui dans un grincement sinistre. Il bondit et dans un pirouette l'épée fit un mouvement circulaire à hauteur de l'abdomaine et au moment où ses pieds entrèrent de nouveau en contact avec le sol les lames de son poings se rétractèrent il envoya son poing fermé vers le visage de l'assassin. Au moindre contact, son poing se serrerait unpeu plus et les lames se déploirait, ne causant que plus de dégats. Le sourire du tueur de monstre n'était pas du à cette ruse mais à la joie d'avoir trouver un tel adversaire... Un sourire qui le défigurait simplement.

Marneus sourit en voyant le sang gicler du nez de sa cible.
Il se prépara néanmoins à une attaque de sa part, il semblait avoir de la ressource...

En voyant le Herrin courirent vers lui puis bondir, Marneus n'écouta que ses réflexes et bondit sur le côté avant d'effectuer une roulade. Décidemment, il avait bien fait de s'appliquer lors de sa "formation".

Il se releva, dagues en mains, prêt à frapper. Il ne s'écoula qu'un instant avant que Marneus ne s'avançe vers le herrin par foulées rapide, bloquant l'épée de celui ci avec sa dague et frappant de l'autre en un mouvement circulaire en direction de la gorge.

Son poing frappant dans le vide, l'herrin mit un instant à retrouver sa cible... Décidemment il ne faisait que des erreurs dans ce combat... À moins que ce ne soit son adversaire qui soit plus bon que lui... Après tout un humain aurait toujours plus d'experience en combat armé que n'importe quelle créature que l'Herrin pourrait affronter dans sa vie... Une vie qui risquait d'être courte s'il ne s'activait pas un peu...

Son instant d'absance fut profitable à son adversaire qui bloqua son épée. La présence de son ennemis retrouvée, les lame surgirent du poing droit et sifflèrent. La dague et les trois lames s'heurtèrent dans un bruit exigu.
Le sourire du tueur de monstres s'étira un peu plus. Son visage était à quelques centimètres de celui de son adversaire et il put enfin appercevoir son visage sous sa capuche.

-Tu n'es pas si laid que cela finalement...

Les lames de son poing se rétractèrent, son épée longue chutta et le tueur de monstre attrapa les poignés de son ennemi et, par une technique d'un art connu de son peuple seulement, il le fit passer par dessus lui à une vitesse impressionante. Lachant les poignés meurtriers, il fonça vers son ennemis qui aller heurter le sol en récupérant son pée longue qui chuttait à peine sur le pavé de la grande place, ses lame se déployant à nouveau. Au moment où son adversaire se rétablissait l'herrin bondit mais non pas sur lui mais les jambes en avant, effectuant une glissade sur le dos entre les cannes de l'assassin, ses armes croisées au dessus de son visage de manière à tenter de faucher ce qui lui tomberer sous la main... ou plutôt sous la lame.

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