Arriver a Askant avec un loup

Après avoir réussi a passé la grande porte avec quelques difficultés, Ackam arriva dans l'immense rempli de personnalité différente. Première chose à faire trouver une écurie. Ackam se mit alors a chercher, il parcoura de nombreuses rues avec son loup, qui en chemin effrayé les autres citoyens. Ackam cherchât si longtemps qu'il en eu des ampoules aux pieds, mais en vain, il ne trouva rien. Il décidât alors d’aborder le premier qu'il croiserait, mais tous étaient effrayés par le loup. Après avoir aborder plusieurs personne Ackam aborda un passant qui n'avait pas peur du loup d'Ackam, manque de chance pour Ackam c'est que c'était un vieillard qui n'avait plus toute sa tête, ce qui promettait d'être difficile a trouver une écurie pour laisser le loup. Car si le loup effrayé les passant, personnes ne pourra donner d'argent a Ackam quand il jouera avec sa citole des petits air joyeux.
Ackam aborda alors le vieillard :

"Heu... monsieur, pourriez vous me dire où se trouve l'écurie la plus proche ?"

Le vieillard approcha l'oreille pour mieux pouvoir entendre. Quand Ackam eut demandé, il se redressa, l'air choqué.

-...Où se trouvent les culs quoi?!

Ackam fut d'abord étonné de voir un vieillard aussi bizarre.

"Je voudrais savoir ou se trouve L'ÉCURIE l'endroit ou les chevaux sont gardé nourri et nettoyé, alors ou se trouve

L'ÉCURIE !

L'ÉCU comme la monnaie et et RIE comme quelqu'un qui se bidonne."

Le vieux le regarda bizarrement.

- Un écu qui rit? Jamais entendu parler.

Le prenant pour un fou, Ackam décidat d'un petit plan amusant.

En fait je cherche la taverne du nom de l'écu qui rie, il parait qu'il y a des mangeurs de vieillard dur d'oreilles, un peu comme vous, je voudrais vous présentez a eux. Je suis sur qu'il se régaleront.

Le vieillard ne semblait pas avoir entendu tout ce que dit Ackam, car il répondit :

L'écu qui rit vous dîtes ? Oui c'est une bonne auberge, j'y vais de temps en temps.

Et vous dites qu'il y a des mangeurs dur d'oreilles ?
Je suis d'accord, certains n'entendent rien, et pas la peine de me présenter à eux, je connait la plupart des habitués...

Vous voulez que je vous montre où c'est ?

Non, pas la peine monsieur je trouverais, mais faite attention en chemin, la mort est dans votre dos.

*Je dit vraiment des chose étrange des fois.*

Ackam se dirigea alors vers une ruelle sombre mais de l'autre côté, régnait une agitation étrange.

*Que peut t'il bien se passait la bas*

Ackam dirigea ses pas vers le mouvement agité des citoyens quand surgit d'un coin d'une maison...

[Voila mon dernier message avant de partir en vacance.]

Un chien errant arriva dans la rue, il n'avait pas vu Ackam, il continua à chercher des ordures.

Quand il se rendit compte de sa présence il montra les crocs et abboya...

Ackam sursauta vivement à l'apparition du chien. Il repris aussitôt ses esprits et constata que ce n'était qu'un chien.

*Un chien, c'est un chien, comment ai-je pu avoir peur d'un chien*

Le chien remarqua la présence d'Ackam et se raidit, il se pencha en avant, tendit son corps, le durci et arqua le cou en direction d'Ackam. Il montra les dents jusqu'a faire apparaître sa gencive supérieur. Son haleine fétide s'échappait entre ses crocs serrés et une odeur semblable a l'odeur de rat en putréfaction s'émanais de ses poils hirsutes, gris et tachés.

Ackam recula d'un pas et s'entrava dans un pavé qui se dégageait plus des autres du sol. Il vacilla et s'écrasa sur les pavés poisseux dans un gros boum.

*Je devrais faire attention, je suis déjà assez malade comme ça, si je me fais mordre par se chien, je vais choper une autre maladie.*

Le loup d'Ackam, pour qui Ackam n'avait toujours pas trouvé une écurie, s'interposa entre le chien errant et Ackam défendant ainsi Ackam. Le loup d'Ackam était bien plus féroce et robuste il était plus puissant qu'un pauvre chien affamé. Le loup se mit en position d'attaque, il se plaça comme le chien, les crocs visibles au maximum pour exprimer une plus grande colère, le corps raidit et durcit... en espérant faire fuir le chien.

Le chien poussa un grognement en direction du loup, oreilles baissé, babines retrousées. Il savait ne pas faire le poids face au loup, mais s'était un jeu d'intimidation...

Au bout d'un moment, il abandonna la parti. Fixant le loup du regard, il recula de quelques mètres, puis fis volte-face et s'enfuya en courant.

Le loup satisfait d'avoir gagner ce lécha les babines et se retourna face à Ackam qui eu tôt fait de se relever.

"Brave loup, une fois de plus tu me sors de l'embarras."

*Bon, maintenant ceci réglé, j'avais vu une agitation au bout de cette ruelle...*

Il examina le bout de la ruelle, ne vit rien, s'avança jusqu'a la sortie de la ruelle, regarda à gauche et à droite et ne vit rien.

"Il n'y a plus rien, la ville a repris son cour normal, sa devait sûrement être les membres de ce conseil dont m'a mentionner le garde. Bien que je n'y attache guère importance, cela m'embête d'avantage que le chien errant que cette agitation ce soit dissipé, j'aurais pu absorber quelques informations. Mais le chien m'a fait perdre du temps et il n'y a plus rien. Bref je dois continuer de chercher, tant pis pour l'écurie, mon loup est plus utile a mes côté. Je dois continuer ma recherche principale, ce pour quoi je suis venue jusque dans cette ville. Malheureusement je ne vois aucune herboristerie ou pharmacie dans le coin. Cette ville est grande, et c'est sûrement ce qui pose problème au gens de campagne comme moi. De plus comment demander aide auprès de ces citadins, il n'attache guerre importance a un paysan. Et de toute façon il ne doive pas connaître grand chose de cette ville, juste le chemin pour aller sur le lieue de travaille pour les moins fainéant et le chemin du salon de thé pour les dames, c'est lamentable, je ne veux pas rester dans cette ville pour être désigné du regard par les passant notamment par celui qui n'a cessé de me regardé depuis un moment...

... Mais que... que se passe t'il quelle est cette sensation bizarre dans mon dos..."

Il fit volte face tout en dégainant son épée et aperçu quelqu'un, une femme apparemment qui devait sûrement l'écoutait depuis un moment. La femme était âgée d'une vingtaine d'années, ces cheveux bruns descendaient en cascade sur ces épaules et le reste était caché sous une grande cape rouge. Elle n’avait pas l’air d’avoir peur du loup. Ackam perdit son sang froid et balbutia :

"Qui... qui êtes-vo...vous ?"

La femme soupira.

Je pensais que tu me reconnaitrais...

Elle porta un regard désaprobateur sur l'épée que tenait ackam.

Tu peux ranger ton arme, je ne te veux pas de mal.

Elle attendit quelques instant suplémentaires.

Tu es sûr de ne pas me reconnaitre ?
Je suis ta cousine...

"Ma...cou...sine."

Il échappa son épée, quelque larmes roulèrent sur ses joues, ce qui ne lui arrive presque jamais, bouleversé par cette retrouvaille imprévu mais tant attendu, il resta quelques minute silencieux et entrepris de parler :

"Pardonne moi de ne pas t'avoir reconnu mais c'est a dire que tu est superlativement belle, et tu est en si noble tenue, de même que je suis si tourmenté ces temps ci, je ne t'ai pas vu depuis je ne sais combien d'années, nous n'étions qu'enfant la dernière fois que je t'ai vu. C’est une grande joie de te revoir. Allons dans une auberge discuter de ta venue ici et de la mienne autour d’un verre d’hydromel."

Il récupéra son épée et la rangea dans son fourreau

Sa cousine lui sourit.

Très bien, allons dans une taverne, il y en a une juste en face, nous y serons mieux pour parler.

Elle commença à avancer.

Il fit quelque pas pour arrivé juste devant la taverne. Il ouvrit la porte ; une épaisse poussière se dégagea du sol comme si elle n'avait pas était ouverte depuis une décénie. La taverne était bondé ; d'habitué, d'alcoolique et de conteur a la chope de biere en tout genre. Ackam fit son apparut au beau milieu d'un amas de poussiere avec en sa compagnie sa cousine. Il s'avança un peu, parcoura le lieu du regard et s'arreta sur une table vide.

"Suis-moi."

Il arriva a la table, il tendit la chaise a sa cousine pour quel puisse s'assoir. Il se dirigea vers la chaise en face et pris place. Il posa sa citole a côté de lui et son loup s'allongea furtivement sous la table.

Quelqu'un avec un plateau s'approcha d'Ackam.

[hrtg]c'est à moi de dire que quelqu'un s'approche avec un plateau, c'est mon boulot tongue

[/hrtg]

Quelqu'un avec un plateau s'approcha d'Ackam.

Qu'est ce que vous prendrez ?

[hrp]Je sais mais c'était pour être sur que la serveur s'approche[/hrp]

"Je prendrais une chope de biere brune."

S'adressant a sa cousine :

"Et toi, que prend tu ?"

Le loup d'Ackam commença a se leva, et renifla la serveuse, il passa ente ses jambes et retourna sous la table, il était absolument impossible que la serveuse n'est pas pu percevoir la présence de l'animal qui s'était frotté sur ses jambes.

La serveuse poussa un cri à la vue du loup et parti en courant voir le tavernier. Ce dernier arriva, le regard plutôt mauvais.

Qu'est ce qu'un loup fait ici ! C'est vous qui l'avez amenez ?
Je suis désolé, mais je ne veux pas de lui dans mon établissement !
Qui me dit qu'il n'est pas dangereux...

Ackam se leva de son assise et cria :

"Moi ! Moi je vous dit qu'il n'est pas dangereux, si il le serait votre serveuse ne serait pas revenu vous voir, si vous voyez ce que je veux dire, et si vous êtes dangereux le loup sera dangereux, si vous êtes pas dangereux alors il ne sera pas dangereux. Sachez que je suis bien plus dangereux que ce loup."

Ackam se réinstalla et annonça calmement :

"Je vous promets que mon loup restera tranquille sous cette table et qui n'en bougeras que quand nous sortirons."

[hrp]J'avais bien commandé la biere pourtant[/hrp]

[hrtg]oui, mais ta cousine, n'a pas commandé, et on ne t'as pas encore apporté les boissons, donc tu n'as pas encore payé Wink

[/hrtg]

Bon si vous promettez qu'il ne bougeras pas de sous la table, il peux restez...

Vous aviez commandé quoi ?

la cousine d'Ackam regarda le patron.

Je prendrai un verre de vin.

Ackam esquissa un sourire.

"Et moi j'avais commendé une biere brune bien moussante.
Merci d'accepter le loup, je vous encore une fois qu'il rstera sage."

Il tourna son regard vers sa cousine :

"Alors, avec tout ça j'ai oublier de te demander comment tu aller ? Tu fais quoi maintenant ? C'est pas trop dur içi ?"

Un instant plus tard sur un ton inquiet et triste :

"C'est étrange, j'ai l'impression que tu as quelque d'important a m'annoncer, moi aussi j'ai quelque chose d'important a t'annoncer quelque chose de grave."

Très bien je vais vous chercher sa.

Sa cousinne resta muette un moment puis le regarda dans les yeux.

Effectivemment, j'ai quelque chose à t'annoncer, mais dit moi d'abord ta mauvaise nouvelle...

Le tavernier arriva et posa les chopes sur la table :

Sa fera 2 écus.

Laisse je paye.

Sa cousine tendit l'argent demandé.

Ackam souris , attrapa sa chope et bu une gorgé, son sourire s'estompa, il pleura :

"Ton père est mort, mon père est mort et ma mère aussi."

Il bu les 18 centilitre restant dans sa chope en une gorgée et posa sa tête sur la table et pleura.

La cousine sembla accuser le coup...
Néanmoins elle ne sembla pas fondre en larme...

Je.. j'étais déjà au courant...

Elle laissa passer un moment, le temps qu'ackam reprenne contenance.

Ils ne sont pas mort d'une maladie naturelle...
Et je crains que ce qui leur est arrivé ne m'arrive aussi...

Elle avait pâli, elle but une gorgée de vin, et repris quelques couleurs...

"Et a moi aussi, surenchérie t'il en colère après cette maladie, je ressens d'étrange symptome, je saigne de la bouche, j'ai des nausée, des migraines, le mal de mer sur terre, toute notre famille est touché par ce fléau, je suis venu içi dans le but de trouver un remède et de rechercher ton aide. Depuis que tu étais parti rien n'allait plus a la maison, ils sont tous mort, j'était venu te prévenir mais comment a tu pu être au courant de ce qui est arrivé ? "

Il marqua une pose pour reprendre son souffle et demanda :

"Et en parlant de la famille, as-tu retrouvé ta mère, la raison qui t'a forcé a nous quitter pour faire tes recherche içi."

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