La morsure de la nuit

Lamedore longeait la rivière depuis quelques heures déjà. Le nuit n'allait aps tarder à tomber maintenant. il fallait trouver un abris où tout simplement se préparer à dormir à la belle étoile. Cela ne fut pas nescessaire car il apperçut une cabane au loin. Plus loin encore il pouvait voir "la forêt des brûmes affamées". C'est comme ça qu'elle était nommée dans tous les livres qu'il avait put lire. Il arrêta Fuorst au abord de la cabane. D'habitude il le laisse libre, celui-ci ne faisant jamais plus de quelques mètres à la recherche de mulot dans les hautes herbes mais là l'animal semblait affolé. Lamedore l'attacha alors à une poutre soutenant un mur de la maison pensant que l'animal devait être de mauvaise humeur à cause de la selle et des fers. Il s'empressa donc de lui hauté la selle et la mit sur son épaule, le sac de toiles sur l'autre.
Il ouvrit la porte de la cabane. Sur celle-ci se trouvait de nombreuse griffure très profondes. Il poussa lentement le battant sans pour autant rentrer.

-Heu... Excusez-moi... Il y a quelqu'un? Je cherche un toit pour la nuit. C'est possible que vous...

Lamedore fut intrigué de ne voir personne à l'intérieur et se retourna alors cherchant dans les alentoure si rien ne lui avait échapé pour finalement s'assoire sur la selle, le sac de toile à côté de lui. Le propriaitaire rentrerai bien avant la nuit...

Lamedore s'était finalement assoupit quand un hurlement reconnaisable entre mille. Celui d'un loup. Le tueur de monstre trouvait les loups magnifique ainsi que d'autre créatures peuplant ce monde. Il se redressa. Peut-être aurait-il la chance d'en voir un. Il fut à la fois déçu et un peu déconcerté de voir l'homme émerger de la forêt à cette heure tardive.

Lamedore se releva entièrement et fixa la silhouette de l'homme qu'il avait deviné propriaitaire de la bâtisse derrière lui. La magnifique plein lune éclairait parfaitement et il ne tarda pas à voir la silhouette prendre une forme très reconnaissable. Celle qu'ila vait vu, plus dans les contes que dans les livres qu'ila vait l'habitude de lire sur les animaux et créature de Caar. pourtant il en avait lu un peu dans cette litérature et savait qu'il était mal barré. Il recula lentement vers Fuorst, hénissant ou rugissant l'air térrorisé. Lamedore ne quittait pas des yeux le Lycanthrope approcher.

*Je suis mort... Ça y est... Je le sens... Je vais mourir!*
*Toi?!? Mais ça va pas la trogne! C'est un loup garou, d'accrod! Il est impressionnant, d'accord! Il est sûrement plus fort que toi, d'acc'...*
*Tu l'aides pas là... Écoute mon gars! Si tu veux vivre... CASSE TOI!*

Lameodre tira son épée longue de la selle de Fuorst.

*Je suis pas un lâche.*
*Ha non. Exact. T'es juste un tarré voué à mourir...*
*Ho! Je veux pas voir ça!*
*Toi, tu la fermes avec tes cris de gonzesse: tu m'énerves! Lamedore! Barre-toi bon sang! Tu v'...*

-Bah tant pis! Un tueur de monstre qui fuit devant un monstre c'est plus un tueur, c'est une lavette!

Lamedore avait parlé à haute voix sans 'en rendre compte et le loup garou l'avait surement entendut. Si jamais il ne l'avait pa encore repéré, cette fois c'était fait.

*Bon d'accord. Bonne chance!*
*Hoooooo!*
*La ferme! Gonzesse!*

Lamedore saisit aussi sa dague et déglutit difficilement. Il se mit dans sa position de combat: la dague à quelques centimètre du visage et l'épée à l'horizontale, au même niveau que la dague, son bras tendu, les deux lames dans des directions opposées et retournées dans la mains de leur utilisateur.

*On va ajouté un nouveau trophée...*
*...à notre collection...*
*...*
*Bah on t'attend là...*
*Hein? Ha oui... Car on ne peut pas mourir ici!*
*...*
*...*
*Bah quoi...? C'est pas ça le texte?*
*Heu...*
*Si... En locurance ça peut mais...*
*Mais c'est pas ton style de dire ça?!?*
*Ouai d'habitude t'aurais crié un truc du genre: On va tous mourir*
*Haaaaa! on va tous mourir!*
*ouai! Là c'est meiux!... haa!*

Lamedore venait d'appercevoir les yeux du lycanthrope briller d'une lueur meurtrillère. Ils étaient fixé sur lui et il n'était plus qu'à quelques mètres. La forêt était pourtant loin mais tout ce monologue ihntérieur avait fait passé le temps légèrement vite.
cependant il lui avait évité de paniquer et lui avait donné du courage. Il était prêt à combattre.

Lamedore ne bougea qu'au dernier moment: Il posa la lame de sa dague sous la patte gauche du lycanthrope et tourna sur lui même dès qu'il sentit le poid de la bête. Le loup garou toucha le sol et Lamedore dominait maintenant. Dans la rotation sa dague avait déchiré la pomme de la patte gauche. Lamedore termina son tour sur lui même en plantant sa dague dans le flanc du monstre et en envoyant une longue estafilade en direction de l'échine de l'homme maudit.

Lamedore bondit ensuite à un mètre en arrière et fit quelques pas. Il fallait qu'il ait le temps d'esquiver et de prévoire une riposte à chaque attaque sinon ce serait une boucherie... Pour lui évidemment.

La patte gauche, puissante, arrivait vers Lamedore qui tenta le plus rapidement possible de mettre sa dague pour parrer les griffes. Son bras droit passa devant son visage pour aller mettre la dague en parade devant les griffes asséré. Il ne vit que trop tard les crocs de la bête se refermer sur son bras. Vioir était un bien grand mot, plutot appercevoir, la fraction de seconde avant que la patte frappe la dague et envoie l'intégralité du corp valser dans les airs puis rouler par terre. Le bras tenant la dague tremblait mais il rafermit sa prise pour éviter de lacher une de ses armes. Mauvaise idée. Le contraction du muscle déchiré le fit encore plus souffrir et faillit lacher sa dague. Il la mit dans sa bouche et relaissa tomber son bras ballan à son côté gauche.

Son regard noir se planta dans le regard de l'homme-loup. Ses yeux jaune ne l'impressionnaire plus un instant. Depuis cette morsure il éprouvait presque de la sympathie pour cette bête frappée par se maléfice. Il ne comprenait pas pourquoi.

*Ha? Tu comprends pas pourquoi... Mais t'es con ou quoi! Regarde ton bras espèce d'andouille!*

Lamedore posa ses yeux un bref instant sur la morsure du loup-garou. Un déclique efffrayant se fit dans son cerveau: il était maudit lui aussi.

*Au fait...? Le couteau? C'est pour commencer à thabituer au crocs...?*

-La ferme!

Lamedore bondit à son tour vers le responsable de son destin. Il courait plus vite qu'il ne l'avait jamais fait. Il feignit de bondir mais il se jeta entre les jambes du lycanthrope, la dague dans sa bouche entaillant profondément l'intérieur de la cuisse velue du monstre. Il se releva immédiatement derrière son adversaire et tenta une frappe d'estoc dans le dos du loup-garrou en se retournant.

Lamedore vit l'attaque du loup-garrou et abandonna son attaque. Ce fut stupide. Son bras gauche en patit de nouveau. Lamedore avait plongé sur le côté, en direction de la cabane et le loup-garrou avait réussit à lassérer le bras déjà mordut. Lamedore roula dans un gémissement de douleur, serrant le manche de sa dague un peu plus fort, ses dans entrant dans le bois, mais se releva et se précipita vers Fuorst. D'un coup d'épée il trancha ce qui retenait le burfos qui s'enfuit au grand galop. Lamedore plongea dans la cabane et referma la porte derrière lui. Vu les ustensil et le reste, ce devait être un vieil hermite qui habitait ici. Cela rassura quelque peu Lamedore. Le loup garou était donc un vieux Lycanthrope...
Il se gratta le coup. Sa barbe le démanger...

*Mais j'ai pas de barbe!*

Des piles lui poussait sur le cou et le reste du corps. Il dut lacher son épée car des griffes lui rentrait dans la paume de la main, ses griffes. Ses mains se recouvrirent de piles. Il était entrain de se transformer. Il cracha sa dague avant que ses crocs ne soit trop profondément encrés dans le pommeau.

*Qu'est ce qui m'arrive...?*
*Devine!*
*Hoooo nom des dieux!*

Lamedore se mit à gémir en se tenant la tête.

-Haaaaaaarg! Kaïe! Huuuuu...

Un Magnifique Loup-Garou au pelage du même jaune que les cheveux du tueur de monstres se trouvant à cet emplacement il y a un instant était recroquevillé sur lui même, formant une épaisse boule de fourure magnifique.

Nous continuerons d'appeller cet animal comme celui qu'il est le reste du temps.

Lamedore se redressa un peu, gardant l'échine courbée, et plaça ses énorme patte dans son champs de vision. il ne sentait plus de douleur dans le bras gauche. La blessure avait dut être guérit par la mutation. L'animal semblait souffrir et tromatisé, comme un chien que l'on vient de battre. Il baissa unpeu ses bras dont les muscles avaient considéablement augmenté de taille, et posa ses yeux jaunes brillant sur la porte branlante. Il abaissa unpeu plus les oreilles et poussa un gémissement appeuré. Il ne savait pas ce qui se passait.
C'est alors qu'un mince rayon de lune passa par une fente faîte par les planches de bois et vint éclairer le frond du lycanthrope appeuré. Par hazare, ou tentation, son regard se leva et les rayons de la lune, pleine et argentée, traversèrent l'iris fendu de l'animal. Son iris d'un jaune sable se ressera, ses babines se rétractèrent, mettant à nus ses crocs d'un blanc maculé et d'une taille impressionante. Les poiles de son échines se dressèrent tandis qu'il posait ses pattes avant au sol au milieu de ses armes ayant chuttés pendant son changement de forme. Seul sont manteau n'avait pas souffert mis à part les attaches ayant cédé.

Il mit une secondes à presque se coucher sur le sol et moins que cela pour enfoncer la porte alors que l'autre loup-garou tenbait une nouvelle charge. La porte vola en éclas et Lamedore percuta de plein fouet son adversaire., n'hésitant pas une seconde à se servirent de toutes les amres dont il était encore dauté? Ses crocs cherchant le cou, ses griffes antérieur à lassérer les bras et les pattes arrière à déchirer l'abdomaine.

*Lamedore!*
*T'es devenu complêtement malade!*

Un grognement de chien au combat retentit dans l'esprit du tueur de monstres chassant d'ici les deux autres conciense si présente d'habitude. Il ne se controlait plus mais se sentait tellement bien: libre de toutes entrave physique humaine; morale... Cet autre Loup-garou sur lequel il sautait en ce moment n'était qu'un pauvre vieil hermite qui vivait surement cet vie récluse à cause de cette malédiction.

*Oui... Oui mais... Je le suis moi aussi... Condamné à subire cette transformation toute ma vie... chaques pleine lune... Et c'est sa faute!*
Lamedore grogna en refermant ses machoires sur ce qu'il arriva à attrapper et serra jusqu'à écraser... Brouailler... Arracher!

*Ce n'est qu'un humain après tout!*

Ses griffes lassérèent sans pitié tout ce qui passait à porté.

*Il doit payer pour pour être ce qu'il ait... Un misérable humain... Et... Et il voudrait arêter cette vie misérable... Tu ne croies pas?*

Les crocs transpercèrent la chaire à un nouvelle endroit et d'un mouvement du corps, Lamedore envoya l'hermite à plusieur mètre sur sa droite, et se plaqua contre le sol, prêt à rattaquer au moindre signe d'aggressivité ou peut-être même de vie. Il ne savait plus ce qu'il ferait, ce qu'il voulait, ses buts premiers, les rêgle qu'il s'étaient fixé. Seulement la loie de la nature et un instant de destruction et de survie dirigeaient maintenant cette pauvre bête couché contre le sol en ce moment, tentannt entre ses crocs un morceau de chaire encore dégoulinant.

Lamedore resta à terre, son regard de feu ne quittant pas une secondes l'autre loup-garou. Il n'était plus qu'à un mètre l'un de l'autre lorsque Lamedore bondit. Mais il ne bondit pas comme lui. Il sauta haut dans les airs pour attérir derrière sa cible. Lorsque ses pieds touchèrent le sol, il était déjà tourné vers son ennemi auquel il entailla profondément le dos de sa patte droite en remontant de la droite vers la gauche. Son bras passant en dessous de son visage, Son poigné se retourna et il tenta d'attraper la tête de son adversaire, bien décidé à le plaquer au sol.

Lamedore réussit à se décaller juste à temps. Les crocs de son adversaire s'enfoncèrent profondément dans son épaule sans toucher trop gravement la gorge du tueur de monstre maudit.
Lamedore ceintura son adversaire d'un bras. Bien sûr sa prise n'était vraiment pas bonne mais il vascilla et réussit à entraîner dans sa chute l'autre loup-garou qu'il tenta de plaquer au sol. S'il réussissait il ne manquerait pas de lui enfoncer ses griffe dans le poitraille ou de lui arracher la pomme d'adan à coup de crocs. Il tentait de se mettre à califourchon sur l'hermite pour l'immobiliser. peu importe les blessure il ne se laisserai pas battre par un vieil humain mité!

Lamedore voyait que son adversaire était mal en point. Il savait aussi que c'était dans cet état qu'ils erait le plus dangereux. Ils l'étaient déjà tellement tous deux... Il tenta tant bien que mal de minimiser l'attaque de son ennemi mais il était déjà sur lui. Il se laissa tomber en arrière, attrapant les griffes déjà plantées et en roulant sur le dos, planta ses griffes dans l'abdomaine et l'envoya valdinguer par dessus sa tête, se relevant immédiatement et faisant face pour tenter de mieux parrer la prochaine attaque s'il y en avait une. Il chercha aussi, parmis les douleurs qu'il ressentait, celles qui lui indiquerait les dernières blessure de cette attaque ennemie.

Lamedore se redressa une peu plus en même temps que son opposant. Les griffes de celui-ci lui avait traversé l'épaule droite et arraché surement juste arraché quelques poiles sur la joue. Lamedore voyait bien que l'autre était épuisé. Il se relevait déjà avec plus de difficultée et avait perdu pas mal de sang.

La différence de force entre les deux loups-garous était évidente. Une tranformation décuple la puisance des Lycanthrope mais l'écart entre les deux personnes avant transformation se retrouvera immencablement après la transformation. Lamedore était un tueur de monstres... L'hermite n'avait jamais dût réellement s'entraîner au corps à corps ou faire de quelconque exercices physiques poussés... Lamedore ne pouvait que gagner.

Il ne bougeat presque pas lorsque l'autre fondit sur lui. Il ne bougea qu'au dernier moment, levant le bras droite et plaçant ainsi son avant bras dans la gueule du monstre. Il ne pouvait plus atteindre la gorge de Lamedore et ne put que s'acharner sur l'avant bras que Lamedore lui enfonçait profondément dans la bouche pour lui éviter de trop s'approcher. Un rictus de Dégoût déforma un peu plus la tête de loup de Lamedore, montrant un peu plus ses crocs asséré et tachés de sang. Un grognement sortit dans ces rangés de crocs.

-Tu es trop faible pour oser penser me battre...

Le bras gauche de Lamedore bougea à une vitesse allucinante qui surpris le tueur de monstres lu même. La main en forme de pointe pénétra profondément entre deux côtes et transperça le coeur de sa victime. Il remua le bras et arracha le coeur, brisant les deux côtes qui le gêner au passage. Il renifla l'organe dégoulinant dans sa main et le jeta dégouté.
Il se pencha sur son ennemi à terre.

-Tu étais entrain de moisir de l'intérieur pauvre fou! Tu es un loup-Garou! Tu aurais dû venger notre race, trop longtemps rejeté par toutes ces créatures inférieures...

Il lança un regard vers la ville. Ses yeux perçant voyait parfaitement dans la nuit maintenant. La ville était plongé dans la pénombre mais quelques chose bougea. Fuorst restait à distance, à mis chemin entre la ville et la cabane... Les babines se déformèrent , laissant ce qui resemblé à un sourire se former sur la gueule de Lamedore.

-Bon! Puisque tu n'es plus commestible... On va changer le menu.

Il ne savait même pas si tout ce qu'il avait dit avait était entendut par l'hermite agonisant et posa ses yeux sur le visage de savictime pou s'en assurer. Les yeux révulsé, la langue pendant entre les crocs, les pattes téténisées... Lamedore sauta par dessus le cadavre et courait maintenant en direction du repas, le Burfos.

*Arrête! C'est fuorst enfin!*

Le loup-garou s'immobilisa et regarda tout autour de lui et compris. Fixant le sol sans plus bouger il ne dit plus un mot pendant uin moment.

*Encore vous! Dégagez!*
*Nous ne te laisserons pas tuer Fuorst!*
*Haha! Et vous comptez m'en empécher comment!*
*Je crois que tu nous sous-estime, pauvre monstre poilu.*

Le loup-garou tomba soudain, les deux genoux au sol il se tenait la te^te en poussant un cri innaudible.

*Arrête ça! Arrête tout de suite!*
*Laisse Fuorst tranquil*

Ladouleur disparut et le Loup garou resta interdit un moment puis se retrouna, lançant un dernier regard vers son diner perdu.

-Et où est ce que je vais maintenant...

*Tu vas te coucher dans cette cabane miteuse et tu dors. Demain nous devrons être en pleine forme.*
*Pourquoi?*
*Le mois prochain tu n'auras plus besoin de le savoir... Ce n'est donc pas ton problême.*

Le loup-Garou se mit à Hurler:

-Vous ne croyez tout de même pas que je vais me laisser diriger comme un pauvre chien! Je suis un Loup-G...

Il tomba de nouveau à genoux.

*Tu es Lamedore comme nous le sommes!*
*Tu vas faire ce qu'il veut aujourd'hui et nous ferons ce que tu voudras la prochaine fois.*

Le loup-Garoux fixa le sol pendant un moment et se releva finalement en poussant un long hurlement de rage!

Lorsqu'il entra dans la cabane, la porte lui resta dans la main, enfin ce qu'il en restait depuis qu'il l'avait enfoncé. Il alla se lover dans un coin de la cabane, attendant patiemment, l'heure où il pourrait enfin se comporter en vrai Loup-Garou.

Lamedore se réveilla lentement. Il était encore fatiguait mais voilà une bonne demi heure que le soleil lui tapait le visage au point qu'il valalit mieux se lever avant d'avoir un raie de bronzage passant sur son nez. Il se mit difficilement debout et se soudain soudain l'épaule. Une blessure profonde au sang coagulé lui entravait l'épaule gauche. Il se rendit aussi compte qu'il était nu et chercha des yeux ses vêtement et il les trouva en lambeau sur le sol mis à part son manteau aux attaches brisées. Il mit un moment avant de réussir à remettre en place ses souvenirs: la pleine lune, le loup-garou, la morsure, la cabane et le trou noir jusqu'à son réveil. Dans un grognement (humain) il sortit tournant de temps en temps la tête de droite à gacuhe, cherchant un oeil indiscret pendant qu'il s'approchait d'un homme à terre. Il se pencha sur lui et se rendit très vite compte que l'homme n'était pas dans un bon état... À quelques mètres de là un organe, un coeur à première vue, gisait sur le sol attaqué par queqlues mouches matinales. Devinant de plsu en plus ce qui s'était passé il se retourna vers la cabane cherchant du regard sa monture. Il émit de toutes ses forces un long sifflements suraïgue, puis un second avant de retourner à la cabane, tête basse, résigné à admettre que son ami lui avait sûrement servit de repas ou avait réussit à fuire pour ne plus jamais revenir. Cependant en passant près du sac de toile il eut un espoirt vint de voir un peu de sa viande disparut...

Il entra dans la petite cabane et la retourna rapidement. Il finit par trouver deus trois guenilles défripées. Il prit les plus résistante si l'adjectif pouvait encore s'appliquer à ces bouts de chiffons et sortit complêtement démoralisé et se tenant l'épaule du bras droit dont il avait aussi remarqué les déchirure de l'avant bras... Pourtant la transformation avait apparemment guérit les bléssures postérieur à la métamorphose. C'est à dire qu'à la place d'avoir le bras gauche innutilisable c'était le bras droit...

Il tombat sur son postérieur, devant la cabane, les yeux rivés sur la forêt à quelques minutes de chevauchée. Il savait que demain matin, les brumes se répendront dans la forêt et il lui fallait l'avoir traversé ou alors attendre deux jours que les brumes se dissipent... Il se releva et rentra dans la cabane. Il s'était résignait. Il attendrait deux jours dans cette bicoque; Ses blessures se seront peut-être remises. Il chercha de l'alcool mais l'hermite ne semblait pas accés sur ce genre de boisson... Il trouva mieux... Un petit placard contenait une quantitée impressionnante de remède cicatrisant, curatifs, revigorant, laxatifs, somnifères... Il s'appliqua une pomade dont le pot était déjà bien entamé. Le Lycanthrope hermite avait déjà dû se blesser plusieur fois. La pommade lui fit le plus grand bien. Il rassembla ses armes qu'il posa dans un coin de la cabane, gardant sa dague. Il avait aussi trouvé un lit sur lequel il s'effondra, la main sous l'oreillé, tenant fermemant la dague. Se réveillant quelques fois, la blessure le relançant de temps ent temps, il réappliquait la pomade en se réveillant. Il était exténuait et dormit ainsi, se réveillant plusieur fois jusqu'au soir où, se réveillant pour la énième fois, surpris un bruit venant du dehors. Il s'approcha silencieusement d'un trou dans l'écart des planche et vit quelque chose s'approcher lentement et craintivement du sac de toile qu'il avait oublié de rentrer.

-Et merdeee... Grogna Lamedore en enjambant les débris de la porte en miettes. Il y en a pour au moins 2 galions là! Fais suer...

Il empoigna le sac et le jeta à l'intérieur l'air contrarié. Il allait retraverser le seuil lorsquj'il entendit un jappement, une sorte de piétinement et quelques branches craquer.
Il fit volte face et vit sortir des fourêt une monture musclé et aux pelage quelques peu mal soignée. Il reconnut d'abord un Burfos pyuis, la celle entrant dans son champs de vision, reconnut Fuorst. L'animal trottait, machant l'éextrémitait d'une queues rousse et fournie.

-Fuorst! Il attrapa l'en colure de son ami et la sera, se griffant le bras droit un peu plus sur un pic de sa crinière.

Il le tira par le licol jusqu'à la cabane où il le rattacha.

-Je suis si heureux de te revoir.

il se résigna à l'attaché et le traîna jusqu'à l'intérieur.

-On sera mieux ensemble.

Il s'allongea par terre, posa la tête sur son flanc et applica une nouvelle dose de pomade. La blessure était maintenant refermé... Ou plutot complêtement obstrué par la quantité de pomade que Lamedore rajoutait sans cesse. Au moins la blessure ne le lançait plus. Il finit par se rendormir accompagnant la respiration apaisé de son ami de la sienne.

Le lendamain, lorsqu'il se réveilla, un peu brusquement, lorsque Fuorst se leva, laissant la tête du tueur de monstre heurter violemment le sol, Lamedore sortit l'esprit encore embrumée avec l'intention de voire cette fameuse brûme de plus prêt.

Il observa les sous bois, restant à bonne distance, ne sachant pas jusqu'où cette fameuse brûme pouvait allé hors de la forêt.

Lamedore l'observa un moment, fasciné puis recula prudemment, la gardant à l'oeil et lorsqu'il lui sembla qu'il était assez loin il se retourna et se dirigea vers les débris de porte qu'il entassa. Il mit aussi quelques herbes sèche et mit le feu aux tout en frappant deux cailloux l'un sur l'autre. Des étincelles jaillirent mais au début rien ne se produisit, il recommença et...