La morsure de la nuit

Lamedore fit une grimace de dépit... La dévilités de ces quatre alcooliques étaient incroyable. Il se redressa unpeu et plaça son bras droit derrière son dos. Il ne voulait aps s'en servir par inadvertence.

-Attendez que je sois un peu plus explicite chère bande d'ivrognes humains écoeurants.

Il attrpa une des chopes des mains d'un des pochtron et lui renversa sur la tête.

-Est-ce que cela vous arrive de vous occuper de la sorte?

Dit-il en lançant la chope dans la direction de la tête de celui dont les yeux immitaient ceux d'un caméléon. Si là, ils ne comprenaient pas... Il serait obligé de les frapper le premier...

L'homme se prit la chope sur le front et tomba à la renverse, plus à cause de l'alcool ingurgité qu'à cause de la chope...

Les autres se léverent tant bien que mal pour voir comment allait leur compagnon.

L'un des ivrognes montra Lamedore du doigt.

C'est de sa faute ! Faisons lui payer !

Ils se dirigérent dans sa direction en titubant, l'alcool leur donnant un courage qu'il n'aurait pas eu en temps normal...

Lamedore faillit éclater de rire en voyant l'autre tomber à la renverse! Il avait envoyer la chope comme un bout de chiffon quio nous dérange... Il devait vraiment être imbibé...

Le tueur de monstre recula lentement, un sourire arrogant illuminant son visage. Derrière lui se trouver, à quelques mètres, une autre table. Lamedore s'arrêta alors.
Devant lui, à un ou deux pas, trois ivrognes avançaient vers lui en titubant. Il resta immobile jusqu'à ce que l'un d'eux se jette vers lui.
À ce moment précis, Lamedore s'écarta, laissant un pied dans les jambes de celui-ci.
En face de l'ivrogne plongeant, une table. À cette table, trois balafré entrain de siroter leur coupe de vin, des manteau en peau de bête sur le dos, des bandeau sur des yeux sûrement crevé... Lamedore recula encore de quelques pas, de façon à avoir les ivrognes et les balafrés dans son champs de vision.

Les balafrés regardèrent l'ivrogne plonger sous la table, puis ils regardèrent Lamedore, tout en se levant. Ils avancèrent de quelques pas, lorsque la porte de la taverne s'ouvrit en grand, laissant voir entrer quatre gardes, lance à la main...
La patrouille passait devant la taverne lorsqu'ils avaient cru entendre un bruit de lutte, effectivemment, ils avaient raison.
Le garde en tête parla haut et fort:

Les bagarres en tavernes sont interdites, tout contrevenant peut se voir infliger une amende et une peine de prison...
Alors veuillez tout de suite stopper vos actions, ou vous le regretterez..

Les balafrés se rassirent docilement, n'ayant pas envie d'en découdre avec la milice...

Très bien, qui à déclenché cette bagarre ?

[hrtg]Alors comme sa je suis nul pour l'impro ? il va t'en arriver des mauvaises surprise mon pauvre Fou

^^[/hrtg]

[HRP]MDR! C'est aps juste! pourquoi je suis né avec cette grande gueule! ouiiinnnn! PTDR pale

(<--balise un peu quand même...)[/HRP]

Lamedore regarda attentivement les miliciens... Quel dommage que son épaule soit en si mauvaise état... Il soupira profondément et s'adossa au contoire, se tenant l'épaule et la mine piteuse.

-Pourquoi me regarder ainsi! Comment pouvez-vous concevoir qu'un bléssé puisse déclencher une bagarre! Maintenant chèrs milicien, qui accuserez-vous? Les trois ivrognes tenant à peine sur leurs jambes, ou le sauveur du village?

*Alors là mon gars, chapeau!*
*Je... Je suis forcé, même si le but n'est aps très louable, que tu es un roi de l'improvisation!*

Sans arme et avec un seul bras il était impossible à Lamedore d'oser penser qu'il pourrait resister longtemps... Il était déjà bien assez estropié pour ne pas tenter le diable. Il jourai donc la carte de la ruse... Pour une fois!

[HRP]Marneus! Mon ami! n'oubli pas qu'un MJ doit rester le plus possible impartiale! Crying or Very sad

[/HRP]

Les miliciens regarderent Lamedore ébahi.

C'est vous qui avez tuez la manticore ?
Bravo !

Il s'approcherent de lui et l'accompagnerent vers la sortie.

Qui que se soit, tant pis pour cette fois, nous n'aurons pas de personne à arreter.

En tout cas encore bravo pour la manticore, personne n'a eu assez de courage pour l'instant pout simplement s'approcher d'elle !

Bon, nous avons une patrouille a faire, mais tâchez de ne pas être pris dans une bagarre la prochaine fois...

Il boitilla en les suivant et s'éloigna d'eux un sourire grimaçant aux lèvres comme s'il souffrait.

-Merci Beaucup pour votre intervention! sans vous je ne sais aps ce que j'aurais put faire...

*Me divertir par éxemple... Bande de chieur ceux-là...*
*Hahaha! Ce que tu es pitoillable!*
*C'est vrai que tu en fais un peu trop là...*

Lamedore tourna le dos à la milice et se redressa brusquement, accélérant le pas, l'air furieux.

*Et comment je vais faire pour m'occuper moi maintenant!*
*Bah... Soit tu vas picoler.. Soit tu vas...*
*Voir Lya! Tu ne l'as aps revu depuis...*
*Je suis au courant oui...*
*Et...?*
*Hahaha!*
*Et ça ne me manque pas! Je n'éprouve plus rien pour elle! J'ai faillit mourir il y a quelques jours et je n'ai même pas pensé une seconde à elle! De plus...*

Un groupe de jeunes fille le croisa et il se retourna sans discrétion, un sourire charmeur au coin des lèvres.

*Lamedore!*
*Bah quoi! C'est bien ce que je te disais! Je ne crois pas avoir jamais était vraiment amoureux d'elle... Peut-être que c'était pour me faire aprdonner après tout.*
*Hahaha! Je n'ai jamais rien entendu d'aussi stupide!*
*Ce n'est pas bien de jouer avec les sentiments des gens!*
*Ha bah maintenat si... c'est fait...*
*Comment!*
*Tu as l'art et la manière de dire des débilités à chaques fois que tu ouvres la bouche!*

Lamedore, au milieu de la route, regardé distraitement les petits... Heu... Les jeunes filles s'éloigner, n'accordant qu'une oreille peu attentive à la dispute qui se déroulé dasn sa propre tête sans qu'il n'y prenne part... C'était une sensation étrange... Pourtant il y était habitué!

*Qu'est ce que...*
*Quoi?!?*

Soudain il se rendit compte que cette senbsation étrange n'était pas provoqué par la dispute. On l'observait: apparemment quelque part dans son dos.

il n'y avait personne derriere lui, ou du moins personne de visible...
La personne se montrerait peut-être plus tard, peut-être...

Lamedore fronça les sourcils. Il était pourtant sûr d'avoir ressentit cette impression désagréable. Il resta là, à regarder les recoins de la rue. Il détacha ses yeux tant bien que mal de la rue pour le poser sur Fuorst; Celui-ci se baladait tranquillement. Apparemment il s'était habitué à la selle car il ne cherchait plus à l'enlever. Peut-être lui aussi avait envie de manger. Lamedore le rejoignit rapidement et attrapa le sac accroché le dos du burfos.

-Allé... On retourne voir le tailleur... Voir où... Ouai.. nan... Ça vaut pas le coup... il est encore trop tôt. On va aller... Je sais pas.

Pendant ce monologue stupide il avait lançait quelques morceau de viande crue. Le sac commençait à perdre de sa contenance dangereusement. Il le rattacha sur le dos de sa monture et monta à son tour. Je te laisse aller où tu veux. On a plusieurs heures à perdre.

Il talona sa monture et laissa pas mal de mou aux reines. Se faisant balloter par les pas de l'animal.

Le burfos trotta un moment. Lamedore finit, à force d'être bercé ainsi, par s'endormir. il finit comme prévu par tomber par terre, un pied toujours coincé dans l'étrillé. Le burfos continua de marcher tranquillement sans se soucier des protestations de son maître.

-Je regrette tout ce que j'ai pu dire sur toi! Bourique sans cervelle!

A ce mot fuorst s'arrêta net. Lamedore en profita pour se dépétrer mais au moment où le tueur de monstre se redressait, le burfos lui donna un magnifique coup de rein qui envoya l'Herrin dans une impasse sombre. l'animal disparut dans un petit trot magestueux!

Une personne se plaça devant lui, une dague à la main.
Une seconde personne, se mit derriere lui, dague à la main aussi, pour lui couper toute retraite...
Celui qui était en face de lui l'apostropha.

Donne nous tout objet de valeur que tu possèdes, si tu tiens à la vie...

Lamedore sourit légèrement..; Finalement il l'aurait sa petite bagarre! La milice n'aurait rien à lui dire! Il était loin d'une quelqconque taverne!
Il écarta les bras en souriant d'un air ébêté.

-Voyons messieurs! Voyez mes vêtements! Quels objets de valeur pourrais-je avoir sur moi! Je n'ai trouvé que ce manteau taché dasn une poubelle. Ne me dites pas que ces haillons vous font pensé à un noble...

Il rabaissa les bras et plassa celui qui était blessé derrière son dos.

Et bien on ne comptait pas vous tuez, mais là tant pis...

Les criminels avancérent lentement, dague levé, prêt à frapper...

-Alors là messieurs je ne comprends pas très bien... Pour quoi vouloir me...

Lamedore ne fini pas sa phrase, sa main valide avait attrappé la main armé de l'homme et l'avait lancé vers son compagnon. Se retrouvant acculé contre le mur du fo,nd de l'impasse.
Il émit un puissant sifflement et continua de fixer ses deux aggresseur.

-Alors.. Où en étions-nous... Ha oui! Vous comptiez me tuer.

Son sourire provocateur était de nouveau rayonnant sur son visage.

Les hommes se mirent en face de lui, commençant à s'énerver.
Ils approcherent plus prudemment que tout à l'heure, et ils attaquèrent Lamedore quasiment en même temps...

[HRP]Désolé Mani mais je vais me MJer moi même. fallais pas me priver de baston si longtemps...^^"[/HRP]

À ce moment précis un hurlement à mi-chemion du hénissement se fit retentir déreière eux et les stoppa interloqués, se retournant d'un même mouvement. Fuorst regardait la scène mi-intéréssé mi-agacé.

Les deux vaurien restèrent figé un peu trop longtemps. le premier, celui de droite par rapport à Lamedore, se prit un magnifique coup de poing gauche qui l'envoya dans le mur avec quelques dents en moins. Le deuxième regarda son compagnon toujours aussi choqué. Il tourna son nez au mauvais moment... Le coude du tueur de monstre lui revint dans celui-ci et lui cassa alors qu'il trébuchait et alla s'assomer contre le mur.

*C'est ça l'inconvéignant avec ces ruelles étroites...*
*Ouai... Ça dur jamais assez longtemps...*

Lamedore enjamba les deux corps inertes en faisant tourner son épaule gauche.

-Merci Fuorst. Ça aura passé quelques minutes.

Il fit reculer le burfos et monta dessus et tirant les rennes, le dirigea vers le tailleur.

-On va attendre là-bas.

*Haha! Il avait le nez solide hein! Ça t'apprendra à faire le malin!*

Lamedore se massait le coude, les sourcils froncés.

L'après-midi était passé, monotone... Déjà le soleil déclinait à l'horizon, allongeant les ombres...

Le burfos se stoppa et Lamedore se laissa tomber l'air bougon sur le sol.

*C'est chronique hein! Chaque fois que je fous les pieds dans cette ville je deviens grincheux!*

Il attrappa le sac de toile et se tourna vers Fuorst sans vraiment le regarder, le regard plutôt porté sur une jeune femme entrain de se pencher pour ramasser quelque chose.

-Heu... Oui! Donc... Si t'as faim tu n'as qu'à retourner dans la ruelle...

Le burfos ne se fit pas prier et fit demi-tour. Lamedore réussit à détourner son regard de la jeune fille qui venait de se relever et il se tourna vers le magasin prêt à entrer lorsqu'il sentit de nouveau cette sensation d'être observé dans son dos.

La femme qui l'avait acceuilli tout à l'heure était asise au fond, entrain de coudre un vêtement. Elle leva la tête en entendant entrer quelqu'un. En reconnaissant Lamedore, elle se leva et se dirigea vers lui.

J'ai terminer ce que vous m'aviez demandé.
Tout est ici.

Elle montra la table de la main.

Pour les vêtements, j'ai utilisé du lin, que j'ai renforcé aux genoux et aux coudes par du cuir.
Ainsi, ils ne devraient pas trop s'user...
Et voici les fourreaux.

Tout est là, j'en demande 30 écus...

Lamedore jeta un coup d'oeil derrière son épaule et ne vit toujours rien. Il répondit alors à la femme devant lui.

-Merci beaucoup.

Sa main avait déjà était chercher la somme dasn sa bourse et il déposa l'argent dasn la main de la tailleuse.

Il alla alors mettre ses vêtements sans faire plus attention que cela au fait que la femme le regardait ou non, mettant alors au grand jour son dos balaffré et bandé ainsi que le reste de ce que l'on pouvait voir lorsqu'il tournait le dos et qu'il était nu...

Il revint esuite devant le tabouré et enfila les foureaus au fur et à mesure qu'il rangeait ses armes. Le fait d'être de nouveau armé le rendait déjà bien plus lourd mais lui redonnait son poid habituelle. Lorsqu'il eut rangé son épée il fit voler son manteau pour le laisser tomber sur ses épaule et refermer les attaches sur chaques épaule et à la taille.

-Parfait. Et bien adieux...

Il passa la porte prestement et se dirigea à pied vers la sortie de la ville. Devant lui s'étendait l'orizon découpé par les montagne de la queue du dragon et devant la masse opaque verte de la forêt des brûmes interdit. avec tout cela il ne lui restait plus que trois jours à compter de demain pour la traverser avant la réapparition hebdomadaire des brûmes verte. Il passa devant la ruelle où il savait assez bien ce qui devait s'y passer. Il émit un sifflement assez puissant et aïque. Un renaclement assez effrayent se fit entendre et une masse sombre sortit de la ruelle. quelques gouttes de sang tombèrent dasn la poussière de la grande rue lorsqu'il vint se mettre à la hauteur de son ami et maître. Le tueur de monstre accrocha le sac d'un côté de la selle et s'y installa confortablement. Un tallonage plus tard, Fuorst partit au petit trot et la sensation revint dans le nuque de Lamedore. il se retourna alors sir précipitament qu'il en eut mal au cou. Il réussit cependant à voir le pan d'une tunique disparître au coin d'une maison. L'herrin tira sur les rennes et talloona de nouveau le burfos pour enfin sauter à terre. Il s'engouffra dasn la ruelle. La tunique claire volait derrière le poursuivit. Lamedore avait encore unpeu mal à l'épaule et ne pouvait pas courire encore très vite. Il sortit sa dague et la lança. elle se planta dans la bas de la tunique et tira alors au cou de l'inconnu qui retomba lourdement sur le dos. Une capuche lui masquait le visage. Lamedore sauta sur lui et, à cheval sur son ventre lui immobilisa les deux bras. Les poignés étaient fin et la personne peu musclé. même sa blessure ne pouvait lui faire lacher prise. Lamedore attendit ainsi que cette personne se calme et arrête de se débattre. Elle avait de toutes façons les quatre membres immobilisés.

La personne arrêta de se débattre rapidement, voyant qu'elle ne faisait pas le poids...
Sa capuche était tombé sur le côté, laissant voire les trois quart de son visage.
C'était une femme, mais Lamedore ne l'avait encore jamais vue...

Lamedore la regarda attentivement avant de prendre la parole. Il ne l'avait effectivement jamais vu.

-Pourquoi m'observez-vous depuis le début de la journée! Ne mentez pas je le sais! j'ai sentit qu'on observait et lorsque je me suis retourné tout à l'heure vous etes la seule personne à vous etre cachée! répondez moi!

Lamedore commençait à doute... Pourquoi cette femme qu'il n'avait jamais vu le suivrait-t-elle.... Peut-être était-elle un assassin? Non... elle était bien trop faible... Lamedore continuait de la fixer l'air mi-effrayé, mi-énervé.

La femme parut choquée...

Pourquoi vous aurai je suivi ?
Vous avez l'impression d'être observé, alors vous voyez une personne entrer dans une rue donc elle vous observez et vous l'aggressez !
Je vous signale que je rentrais chez moi !

Et laissez moi me relever !

Lamedore resta immobil. Ses doutes était de plus en plus grandissant et il fut contraint de la libérer. Il se releva et sortit à pas rapide de la ruelle, la tête basse et les idée peu claires. il était certain d'avoir était observé. Ce sens ne l'avais jamais trahis auparavent... Cependant peut-être était-ce normal... Il y avait beaucoup de monde dans cette ville...

Lya était adossée contre un mur jouxtant la ruelle, bras croisée, tête baissée...

Lorsque Lamedore sortit de la ruelle, lya lui posa la main sur l'épaule. Lamedore se retourna, et Lya lui colla une gifle retentissante...

Les quelques passant les regardèrent avec des yeux ronds...

J'imagine que je ne t'ai pas manqué ?!

On voyait bien qu'elle était hors d'elle...

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