Un sauvetage plus ou moins bien réussi

Le village se rapprochait de plus en plus grâce à l'allure soutenu du fidel destrié.

Lamedore se sentait vraiment épuisé et commençait à se lasser de cette présence intruse dans sa vie. Il avait hâte de se débarasser de cette exhibitionniste en mal de sauvetage. Maintenant qu'il y pensait il comprenait très bien pourquoi les trafiquants d'esclaves auraient voulut la vendre... Ils se seraient fait un gros paquet de fric! C'est de plus en plus rare des innonçantes comme elle.
Ses pensées le faisaient sourire doucement et il dut se retenir de rire lorsqu'il voulut poser une question à Lya.

-Il y a des gardes à l'entrée de ce village?

Il ne baissa pas la tête et continua de regarder devant lui les premieres fenêtres se dessiner à quelques mètres devant eux.

Lamedore la regarda effaré. Son sourire avait disparut. Il s'en voulait d'avoir pensé ce genre de choses de la fille d'un embocheur potentiel...

Il fit accéléré un peu Fuorst qui parti au Galop. Il avait hâte de pouvoir se reposer et espérait bien pouvoir trouver un lit et un bon repas dans cette ville.
Soudain une pensée lui vint... Avait-il oublié ses origines? Il était Herrin! Il se dirigeait droit dans un village humain! L'ennemi juré de son peuple. Mais il était déjà trop tard! Ils passaient déjà les gardes qui saluèrent Lya et lancèrent un regard curieux à Lamedore et à sa monture.

Il évita leur regard et continua jusqu'au centre ville. Là il arrêta Fuorst, descendit et aida Lya à mettre pied à terre. Il resta à côté de son burfos en jetant des coup d'oeil précotionneux à toutes l'assistance, près à se défendre au cas où les machoire de la gueule du loup où il s'était fourré ne se referme soudain...

Lamedore claqua des doit et son Burfos le suivit de prêt. il se laissa trainer par la fillette et mit sa main libre sous son manteau, lançant des regards dans tous les coins.
Son visage était maintenant très concentré et presque sévère.

Une grande maison approché avec à son entrée, deux garde lourdement armé. Sa main se referma sur son poing à lames mais les gardes s'inclinèrent et laissèrent passer la jeune fille sans relever la tête. Lamedore passa tête basse et claque de nouveau dans ses doigts. Le burfos s'arrêta, la corne de son museau à quelques centimètres d'un des gardes.

La fille continua de le trainer jusque dans une grande salle où sintillaient une grande quantité d'objets de valeur. Le visagfe de Lamedore était toujours fermé et ne s'occupa pas plus que ça de détailler les richesses de la pièce.

Lamdore lacha son poing et ressortit sa main. Il était pour la première fois presque heureux d'être aussi différent de son peuple!

Il posa un genoux à terre en comprenant que cet personne était le seigneur mais son orgueil l'empécha de baisser la tête devant un roi ennemi.

-Je suis un Tueur de monstre. On me surnome Lamedore. Je viens vous proposer mes services. J'ai raccompagné votre fille après l'avoir croisé sur mon chemin.

Lamedore d'un naturel modeste malgré lui ne pensa pas à évoquer les notions de sauvetage ou d'escorte bien que cela aurait surement pût lui apporter les grâces de ce seigneur.

Lamedore eut un léger sourire.

-Juste un repas et peut-être une chambre où dormir... Je ne vous demende pas plus.

Lamedore se leva une main sur le coeur en signe de remerciement.

Lamedore était enfin un peu plus détendu.

-Il me faudrait aussi une place dans une étable pour mon Burfos. Nous sommes tous les deux épuisés et avons hâte de dormir après enfin un bon repas!

Lamedore retint une exclamation de dégout à la vision de cet étalage de richesses! Ce luxe n'était vrailment pas du gout du Tueur de monstres... Il ne fit cependant rien transparaître et remercia aimablement Lya pour cette somptueuse chambre.
Il se dirigea dans la chambre sans faire attention à ce que Lya aurait put dire ou faire. Il posa son manteau sur un siège et posa toutes ses armes sur une petite table ronde mais garda son poing de fer à la main.

Il commença à se déshabiller son poing de fer toujours à la main. Il retira son amure bizare et laissa apparaitre deux cicatrice. Celle de son torse qui raillié le côté gauche de son bassin avec son épaule droite avait était faité par Fuorst lorsque Lamedore l'avait capturé et celle de son dos, plus tordue et moins propre, avait était faite par un Burfos lorsqu'il avait travaillé dans un élevage de Burfos. Elle formait un zigzag et était parsemé de morsure.

Il se plongea dans une grande beignoire après avoir retiré ses protèges main. Il remarqua alors que ses mains étaient parsemées d'entailles. Les piques de cette guivre aquatique lui avait laissé quelques souvenirs.

Il sourit en repensant à cette rpemière victoire et commença à se laissa aller dans la beignoire et se relaxa. Il était épuisé par sa traversé du désert et son court combat. Il ferma les yeux et se prépara à une courte sieste. Son bras droit pendait en dehors de la beignoire tendis que le gauche restait caché sous l'eau.

Lamedore ouvrit les yeux lentement attrapa une serviette en se levant, tournant le dos à Lya. Il sortit de l'eau la serviette autour de la taille et dit sans la regarder, l'esprit encore embrumé par sa sieste

-J'arrive tout de suite.

La jeune fille sortit, il se dépécha mollement de mettre ses vêtements en se disant que sa garde robe n'était pas très varié. Il ne possédé qu'un seul bas et qu'un seul haut.

*Au moint je devrait acheter des sous vêtements...*

Pensa-t-il sans conviction. Il détesté les magasins...

Il remit son long manteau rouge sang, cachant ses armes qui ne le quitté que très rarement et sortit à son tour de la chambre. Avant de sortir un miroir lui fit remarqué que finalement ses coups de soleils s'était estompé et sa peau n'avait finalement pas peulé. Il arriva dans le couloir avec un grands sourir ravie de cette découverte et laissa Lya lui montrer le chemin de la salle de banqué.

Lamedore salua de la tête chaque personne avec un léger sourire qui se voulait simpatique.

-Merci beaucoup de votre acceuil.

Il n'était pas accoutumé aux règles de bienséance de la table et alla s'assoir directement après cette phrase de remerciement.

-Bon appétit dit-il en plantant sa fourchette dans une tranche de viande rotie qu'il ramena dans son assiête avec quelques patates pendant que les autres semblés surpris de ce comportement presque barbar pour eux, pauvres riches et nobles consommateurs compulsifs.

Lamedore, insouciant du regard que l'on pouvait lui porter, ne s'arrêta qu'après la cinquième tranche de roti et la troisième platée de pomme de terre. Il se laiça allé sur le dossier de sa chaise.

-Enfin un bon repas après tant de journée de jeun! Je vous remercie encore nobles hôtes!

Les autres semblez ne pas encore avoir terminé et Lamedore se rendit compte enfin des regards qu'on lui portait. Il ne fut pas gêné et presqu'amusé par tant de veines politesses.
Il trinqua,plus d'une fois, à leur hospitalité en prenant cependant soin de ne pas devenir hivre.

Lamedore n'avez pas du tout envie de se venter mais il pensa que refuser serait de mauvais gout.

-He bien... Je me reposais au près de la rivière après un long voyage quand je vis une jeune fille se débattre dans les eaux tumultueuses! J'ai immédiatement plongé et l'ai ressortit avec l'aide de mon Burfost.

Il continua de détailler ses périples en prenant soin d'éviter les passages où la fille du roi avait joué les naturistes et tout ce qui consernait des détails qui aurait put éguiller les personnes présentes sur les origines de Lamedore comme son nom, la façon dont il avait capturé Fuorst, sa sortie du désert de Tsunar comme sa traversé. Par contre il emplie de détails tout son combat avec la guivre aquatique. Il se dit que si jamais un lmonstre rodait autour de cette ville, une bonne pub lui serait sûrement utile!

Tout le monde écouta avec atttention son récit. Puis, il échangèrent des regards entre eux. Le seigneur hocha la tête et dit:

- Tueur de monstres, nous aimerions que vous nous aidiez. Nous avons entendu votre récit et pensions que vous êtes apte à accomplir cette mission. Depuis peu, un manticore menace la ville. Il a déjà tué 3 habitants, et il recommencera. Je ne sais pas ce qu'il fait ici, normalement ils vivent en altitude. Pouvez-vous nous aider?

Tout le monde le regardait avec un regard suppliant.

Lamedore venait de terminer son histoire et s'éait servit un verre. En sachant très bien que ce serait le dernier avant la murge.
Un air malicieux se décinait pendant qu'il entendait une ofrfre d'emploie pointer à l'horizon mais... Au nom de... Manticore il déglutit difficilement sa dernière gorgée de vin.

Il posa la coupe et écouta attentivement la fin de la demende du seigneur l'air grave. Lorsque le nouvel employeur eut terminé Lamedore se servit un nouveau verre de vin mais le plus fort de la table cette fois-ci avec un calme douteux. Il réussissait cependant à ne pas tremblé malgré les visions de ces monstres qu'il avait vu plusieur fois dans la bibliotheque du dresseur de son enfance.

-Une manticore donc.
Sa voix était trop calme pour tromper qui que ce soit. Il engloutit son verre.
-Très bien. Je suis chasseur de monstre après tout! Si mon gagne pain me tue c'est que ce métier n'est pas fait pour moi.

Dans un extrème effort il réussit à sourire. Un sourire qui se voulait blagueur mais qui tenait plus de l'effroit que tu réconfort.

-Bon. Vous avez une description précise de cette Manticore? L'endroit où je pourrais la trouver? La somme que vous me verserais le travail une fois accomplit..
*...ou pas...*

Lamedore n'était pas rassuré mais son entêtement ne le laisserai jamaisrater un contrat même si cela impliqué sa mort...

Lamedore se leva et se dirigea vers la porte en disant:

-Je m'en occuperais demain. Il faut que je dorme unpeu et que je passe en ville. Sur ce, noble compagnie,je vais me coucher. Vous me pairez une fois sa tête sur la table. Cependant le prix risque de monter si je perd un ou deux membres...

Il avait réussis à dire cette dernière phrase sur un de plaisanterie.

Il prit congé et rejoignit sa chambre ên reprenant le même trajet qu'il avait pris avec Lya.

Il retira ses armes gardant son poing de fer et son épée qu'il prit sur son lit. Il ne se couvrit pas et s'allongea avec ses vêtements en regardant le plafond. Il réfléchissait au meilleur moyen de tuer une manticore qu'il avait lut dans les livres. Rine ne lui vint en tête de toute la nuit. Il connaissait tous les dangers que representaient ce monstre mais aucun moyen de la combattre ne lui revint. Il réusit à s'en dormir enfin tôt le matin. Dans quelques heures l'aube se lèverai et lui avec. Il irait faire quelques boutiques et un repérage des lieux. Mais pour l'instant il lui fallait absolument dormir unpeu.

Lamedore était assis sur le lit, les yeux écarquillés, sa dague à la main. Il n'avait jamais entendu de coq chanter.

Après un moment il se leva complètement dans le sirage. Il se traina jusqu'a une écuelle remplit d'eau et se débarbouilla rapidement le visage.

Il sortit rapidement de la chambre. A première vue, le chateau entier dormait encore mais peut-être que Lamedore était encore trop endormi.

Il dévalla et les escalier et après un quard d'heure fini par trouver la grande porte. Le soleil levant était magnifique. Il le regarda un moment et, lorsqu'il fut assez haut pour perdre de ses belles couleurs, il réfléchit à la façon dont il allait se débrouiller pour retrouver Fuorst dans les écuries car il n'avait pas vraiment envie de marcher.