Un sauvetage plus ou moins bien réussi

Lamedore sortit à reculant et se prit la tête une fois de retour dans la première salle. Les effluves lui des nombreuse decoction lui étaient montées à la tête et n'avaitent pas tardé à lui causer une migraine pas possible.

* C'est aps étonnant qu'il bosse si lentement! Comment tu veux travaillé sans même pouvoir poser un pied devant l'autre...*

-Désolé mais je commence à être très pressé. Si vous pouviez vous magnez le... Vous dépêcher s'il vous plait...

Lamedore fronça les souricil et regarda difficielement en direction de la porte qui donnait accès à l'arrière boutique se tenant toujours la tête d'une main.

-Vous l'avez terminé j'espère!

*Et puis je ne suis pas maladroit non mais ho!*

-Moui.. c'est possible... Tenez.

Lamedore lacha sa têe et fouilla dans son dos, sous son long manteau. Ses doigts habiles saisir la somme sans grande difficultée et tendis la poignée de pièce et son autre main vide pour receptionner la fiole.

-Quoi que...

Il ramena la poignée de pièce. Il était de mauvaise humeuir et parlait d'argent ne le rendant pas joyeux d'habitude... Là...

-Je, vous ferais remarquer que ce dard de manticore vous est parvenu grâce à moi... Je pense donc que c'est vous qui me devait de l'argent... à moins que l'on s'arrange...

Lamedore regardait l'apothicaire dans les yeux le regard sombre. il savait qu'il devrait lacher des pièces mais comptait bien réduire le coût de la transaction.

-Surtout si vous gardait le reste de l'antidote... En plus j'atais venu pour un vaccin... Vous me donnait un antidote et vous voulais me faire croire que c'est le même prit...

Le regard de Lamedore devint suspicieux.

Lamedore eut un sourire. Il rangea Il posa les pièces dans la mains du charlatant. Le pauvre monsieur avait les deux mains occupées. Lamedore se redressa et le regarda, un sourire sadique déformant son visage. Il sauta sur le pauvre vieux, le placant contre le mur, attrapant la fiole d'une main et tenant sa dague de l'autre. La lame caraissait doucement la pomme d'adan du scientifique.

-Détrompait vous, chèr alchimiste! Ce prix est incorrect pour une seule fiole.

Lamedore rangea la fiole dans une des nombreuse poche de son manteau tenant toujours sa dague contre la gorge du vieux.

-Je ne suis pas sûr d'avoir envie de rendre service à cette ville et encore moins à ses habitants. Votre race commence à me ressortir par les yeux. En plus cette ville n'a plus à craindre les manticore puisque c'est moi qui l'ai débarassé de celle qui vous faisait tous faire dans vos frauques.

Il posa une main sur l'épaule du scientifique, le maintenant fermemant contre le mur. Le tueur de monstre se redressa et donna un grand coup de point dans le front du charlatant de la main qui tenait la dague. il s'en retourna alors, saisit la seconde fiole et sortit de l'échope sans se soucier de l'effet de sa frappe. il avait payer cet escrot... C'était déjà pas mal du tout. Le jeune homme sauta sur le dos de Fuorst. Il allait le talonner quand il se souvint d'une chose. Il sortit du sac l'arbalette qu'il y avait rangé ce matin, l'accrochat sur la selle où elle se calla à merveille.

*Au moins le maréchal-ferrant à fait du bon boulot.*

Cette pensée le calma unpeu et il talonna Fuorst. Celui-ci trotta sur quelques mètres. Lamedore en profita pour ranger aussi son épée longue dans le fourreau prévu à cet effet. Il fit faire quelques mouvement à son dos et son cou. Cela faisait tellement longtemps qu'ils étaient bloqué par l'arme dans la même position. Le tueur de monstre poussa un soupir de bien être et talonna de nouveau le Burfos qui partit au galop.



Lamedore longeait la rivière depuis quelques heures déjà. Le nuit n'allait aps tarder à tomber maintenant. il fallait trouver un abris où tout simplement se préparer à dormir à la belle étoile. Cela ne fut pas nescessaire car il apperçut une cabane au loin. Plus loin encore il pouvait voir "la forêt des brûmes affamées". C'est comme ça qu'elle était nommée dans tous les livres qu'il avait put lire. Il arrêta Fuorst au abord de la cabane. D'habitude il le laisse libre, celui-ci ne faisant jamais plus de quelques mètres à la recherche de mulot dans les hautes herbes mais là l'animal semblait affolé. Lamedore l'attacha alors à une poutre soutenant un mur de la maison pensant que l'animal devait être de mauvaise humeur à cause de la selle et des fers. Il s'empressa donc de lui hauté la selle et la mit sur son épaule, le sac de toiles sur l'autre.
Il ouvrit la porte de la cabane. Sur celle-ci se trouvait de nombreuse griffure très profondes. Il poussa lentement le battant sans pour autant rentrer.

-Heu... Excusez-moi... Il y a quelqu'un? Je cherche un toit pour la nuit. C'est possible que vous...

Lamedore fut intrigué de ne voir personne à l'intérieur et se retourna alors cherchant dans les alentoure si rien ne lui avait échapé pour finalement s'assoire sur la selle, le sac de toile à côté de lui. Le propriaitaire rentrerai bien avant la nuit...

Acte terminé.

La suite ici.

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