Un sauvetage plus ou moins bien réussi

*Et maintenant tu fais quoi gros nigaud! mais pourquoi t'as oublié ce sac de barbaque putain!*
*Chut! Regarde! C'est romantique...*

Lamedore eut un mouvement de tête vers l'une de ses épaules comme s'il s'attendait à y trouver un mini lui travesti. Son visage évoqué la crainte et le dégout mais lotrsqu'il se rendit compte qu'il n'y avait rien, il regarda de nouveau Lya.

-Je...

*Si tu te dégonfles tu t'en voudras!*
*Mais ta tronche toi! Tu vois pas qu'il en a la trouille de cette gonzesse!*
*Silense!*

-Oui.. Je reviendrais. Je.. Je te le promais.

Sur cette dernière parole, il approcha un peu plus sa tête et...

*Hoooowww...**Beuwèrk!*

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Lamedore sautait du balcon. Un sourire si faible sur le visage qu'on aurait dit qu'il faisait la gueule par rapport à d'habitude. Il se sentait léger. Trop léger. Il ne s'en rendit pas compte mais un petit nuage de sable s'élevait à chaque fois que l'un de ses pieds quittait le sol pourtant presque boueux tapis d'herbe.

*Elle t'a refilé une maladie cette naze-broke! J'en suis sûr!*
*N'importe quoi!*
*Mais qu'est-ce que tu en sais toi?*
*C'est pas une maladie et c'est toi le naze! C'est...*
*Vos gueules! Je suis amoureux! Laissez moi tranquil!*

Il rejoignit rapidement les box, son sac de viande sur le dos qui laissait toujours couler du sang et laissa derrière lui une trainée de sable rouge. Il ouvrit le box puis le referma derrière lui, ne laissant pas le temps à Fuorst de sortir comme la dernière fois.

-Tiens! J'ai quelques petites choses à te raconter...

Il passa le reste de la nuit dans un coin du box à envoyer de temps en temps de petits morceaux de viande à son fidel ami et lui racontant cette nuit dans les moindres détails.

Le lendemain matin, le sac de viande encore bien plein mais tous les sujets de conversation bien épuisés, il se leva, posa le sac de viande sur le dos de sa monture, ouvrit la porte et sauta sur le dos du burfos au moment où il passait devant lui.
Il gagna rapidement le magasin du vieil homme à qu'il avait confié une mission la veille et sauta à terre. Avcant d'entrer il se retourna d'un seul coup.

-Tu ne touches pas à ce sac, espèce de gros goinfre! T'as bouffé toute la nuit déjà!

Il jeta ensuite des regards aux rares badeaux déjà levés à cette heure matinale. Il devait le prendre pour un fou à moins qu'il l'ai vu passer avec la tête de la manticore la veille.

-Alors vieil homme! Dit-il en passant la porte. Où en est notre affaire?

*Vas y étrangle le ce bon à rien! Il avance pas...*

-Je peux peut-être vous aidez pour cela aille plus vite...?

Lamedore entra plus avant dans la boutique et affichait un sourire radieux. Peut-être que le vieil homme voulait plus d'argent pour moins de temps... Si c'était le cas... Lamedore patienterai bien quelques heures de plus après tout.

-Oui je comprends...

*Bon... Shopping...?*
*Shopping...*

Il sortit l'air dépité et fila une petite tape sur le museau de sa monture au passage. Elle était encore en train de tenter d'attrapper le sac de toile. Il marchèrent un moment vers la sorie de la ville, le burfos le suivait en secouant le museau comme s'il chassait une mouche, cherchabt à chasser la sensation de la baffe que lui avait mit son ami.

*Alors... Il me semble en avoir vu une en passant hier... Ha! La voila.*

Il entra dans la boutique et appella le vendeur d'une vive voix!

-Ho là forgeron! Connaissez-vous l'animal nommé Burfos?

Il attrapa le bras du forgeron qui s'était finalement montré à ses yeux.

-Parce que...

il l'entraîna au dehors tellement rapidement et avec force qu'il ne put réagir avant de voire la bête et ce fut à ce moment que Lamedore le lacha.

-... ma monture en est un et j'aimerai que vous me confectionniez une celle! Un belle celle! Il faudrait que je puisse y accrocher quelques armes et les trophés que je devrait ramener.
Heu.. Et accessoirement je la voudrait confortable s'il vous plait.

Il s'arrêta de parler un instant et lança un sourire complice au marchand.

-J'ai de quoi payer ne vous inquiêtez pas!

*Ha... Oups.. Hé mais!*

-Hé! Oui pardon. Je me suis gouré. J'ai inversé les deux marchands! Je voudrais que vous vous me fassiez des fers à crampons ou clouté.... Voyez? Ce qui permettrait à cette brave bête d'escalader des pignons rocheux. Vous seriez capable de faire ça?

Il siffla et le Burfos approcha lentement.

-Et si vous pouviez m'indiquer l'emplcement du maréchal- ferrant...

Il attrapa le sac de viande et le lança dans un coin de l'atelier.

-Et me surveiller ça. Sinon je le garde c'est pas grâve.

-Mais qu'est ce que c'est que cette fille! Chez moi le forgeron et le maréchal-ferrant c'était une seule et meme peronne.

Il sortit de l'étabissement l'air renfrogné, attrapant au passage les ac de viande et sautant sur sa onture. Le Burfos parti au galop dans la direction indiqué et entra dans le bâtiment sans même mettre pied à terre.

-Hola! J'ai besoin d'une selle sur laquelle accrocher une arbalette et possédant un fourreau fixe. Je voudrait aussi deux paires de fer spéciaux permettant à mon Burfos de monter un versant rochaux? C'est possible? C'est possible. Allé! Je reviens cet après midi. Merci de me garder ça.

Il lança le sac de toile une nouvelle fois. Il alla tombé à l'autre bout de la pièce dans un bruit de bombe à eau ratée loin d'une main chapardeuse.

-Votre prix résonnable se ra le mien...

Et il sortit en traîant des pieds et se dirigea vers la taverne la plus proche. La porte s'ouvrit à la volé et Lamedore n'eut aucun mal à éviter l'ivrogne qui venait de passer les batants et qui se retrouva la tête dans la boue.

*Au moins ça ça va me calmer unpeu... J'en ai marrre de cette ville... Vivement que je me tire.*

Il entra calmement et tranquillement, ne changeant aucunement de trajectoire, renvoyant à coup de poings ou de ppieds les différent protagonistes des discution mouvementées qui avaient lieu dans la taverne. Lorsqu'il arriva au contoire et eut envoyer voir ailleur un pochtrons endormit ivre à la place qu'il avait choisit au contoire il tapa du poing sur le vieux boix massif.

-Une limonade! Je suis très énervé...

termina-t-il comme pour justifié la commande d'un alcool très fort.

[hrpg]Ouais mais t'es pas chez toi [/hrpg]

Le tavernier lui tendit un verre d'alcool en disant :

Sa fera deux écus !
Et qu'est ce qui as bien pu vous énervez autant ?

-Rien. Laissez tomber. Vous selmblait bien calme pour un gérant dont l'échaupe est entrain de se faire retourner.

Il se décalla d'un pas et un ivrogne vint s'assomer contre le contoire à l'endoirt où i se trouvait unpeu avant.

-Ça arrive souvent ce genre de bagard?

Il donna un coup de poind dans la tête d'un autre consommateur abusif d'alcool qui accourait vers lui une chaise au dessus de la tête. Il alla rouler et cuver par la même occasion un peu plus loin.

Le fait de pouvoir boxer librement tout ces soulards ivres le calmait beaucoup et il reprenait même son air habituel de l'homme insouciant vivant au jour le jour mais vivant bien.

Il se baissa pour éviter une bouteille perdue et écouta la réponse du tavernier en buvant unpeu de l'alcool qu'il lui avait servit. Apparemment il n'y avait aps de limonade dans ce trou perdu. Ce que les Humains peuvent être attardés comparé aux Herrins...
Il posa duex écus sur le contoire et se tourna vers la salle. Il attrapa une vchaise au vol et se jeta dans la mêlé. Une heure plus tard, quatre assomages, trois coup, de pieds dans le derrière, dix blessés et un mort Lamedore sortit de la taverne totalement serrein. Il s'arrêta sur le trotoire pour profiter de la vue. Son regard se posa sur quelques Jolies filles et soudain Lya lui revint à l'esprit. Était-il réellement tombé amoureux d'elle. Il n'en avait aucune idées... Peut-être s'était-il emballé un peu vite... Comme d'habitude d'ailleurs. L'avenir lui dira si son coeur avait vraiment tranché. Si jamais il était réellement amoureux d'elle il serait fidel. Il le savait. Il le sentait. Un immonde grognement le fit sursauter et il se saisit le ventre.

Il disparut à niouveau dans la taverne, enjambant les diverse amas de corps de cuveur puant la vinasse il regagna le comptoire et commenda une assiête de viande.

-De la guivre poilée s'il vous plait. Ou alors du griffeur braisé. Et pis comme dans cette ville eprsonne connait ce genre de mets rafiné faite moi une côte de boeuf et renseignez-vous sur ces vuiande! vouis allez faire un carton à en vendre!

-C'est quoi la spécialité de ton bouibou... heu de votre taverne. Désolé j'ai encore des sautes d'humeur.

Il lança un regard qui voulait se faire comprendre.

-Et ce serait trop compliqué à expliquer. Bon pour ta spécialité si c'est des abbat tu rembales et tu me mets la côte de boeuf.

Il lançait des regards derrière lui. Dans la salle certains avaient finit de cuvé et tentaient de se remettre sur leur chaise. D'autre rempère jusqu'à la sortie et le mort continuait de regarder le plafond, les yeux vitreux... Enfin... l'oeil vitreux puisqu'une partie du visage était écrasé par le lustre qui lui était tombé sur le coin du crane.

Un soulard, une de ses connaissance surement, car il se tourna vers lui pour lui parler, ne compris pas tout de suite et retira le lustre sans précaution comme si ça avait était un chapeau grotesque. "Allez viens! on rentre." grogna l'ivrogne qui traîna le reste de son ami vers la sortie et ne tarda pas à traverser la rue, répendant sur la route une bonne moitié de la cervelle de son ex-compagnon de beuvrie.

Lamedore fit une grimace devant cette scène à la fois pathétique et immonde et il se retourna du côté du contoire pour attendre son plat.

-Non c'est bon. Plus d'alcool...

Il repensait à toutes les coupes qu'il avait but au chateau et cela faillit lui couper l'appétit de repenser ainsi à ce seigneur qu'il ne pouvait plus voir en peinture. il découpa rapidement son gigot et l'assiête ne tarda pas à laisser son contenut disparaître dans le ventre de Lamedore qui crillait famine depuis trop longtemps.

-Et ça fait combin votre spécialité?

il souriait de nouveau. Ce plat était réellement délicieux. Sa main disparut dans sa bourse, prête à saisir le montant qu'allait lui énoncer l'aubergiste. Cependant, malgrès son air interressé, l'un de ses pieds fit un mouvement anodain et un client de la taverne s'emméla les jambe dans celui-ci. Il alla choire dans le flanc d'un autre qui en tombant renversa le contenut de sa chope sur un troisième. Lamedore resta impassible et espérait bien que cela allait provoquer une nouvelle bagard à laquelle il prendrait rapidement part. Il devait bien apsser le temps avant de ne pouvoir retourner voir le charlattant afin d'avoir la seule chose qui le retenait encore ici. Il pourrait ainsi allait faire ce qui l'omnubilait depuis quelques temps.

Lamedore sortit la somme demendait et se leva admirant le dêbut de bagard se mettre en place. Les homme chutant tour à tour les uns sur les autres mais il fut vite déàut! La bagard précédente avait laissé plus de séquelle qu'il ne l'aurait pensé.

*Ce que les humains peuvent être faible!*

Il sortit l'air un peu dépité laissant lesquelques valides se tapoter mollement.

Il déambula dans les rues regardant au apssages les jeunes filles se demendant encore et toujours si ses sentiments pour Lya était réels. il en avait mare de cette torture psychologique. Si seulement il ne l'avait jamais sauvée dans cette fichue rivière... Il partit en direction du maréchal ferrant voir comment avançait le relookage de son Burfos mais vira soudain de direction se demendant comment se débrouillait le petit chimiste.
Il entra silencieusement puis se résigna s'immaginant surprandre l'alchimiste qui renverserait le précieux mélange! Il frappa alors doucement et parla d'une voix douce et amicale.

-Alors l'ami? notre affaire avance-t-elle...?

Il devait être dans les 2heures de l'après midi car il avait mangé tard et avait pas mal traînait devant ces jolies filles...

Lamedore eut un geste étrange lorsque l'alchimiste lui touran le dos. On aurait dit qu'il tentait d'écraser quelque chose avec son poing dans le creux de sa main. Il grimaçait et étouffait des jurrons.

*Je n'arriverai donc jamais à quitter cette foutue ville!*

Il sortit d'un pas rageur. Il était de nouveau énervé et si jamais, sur le chemin du maréchal-ferrant il y avait une taverne, bagard en cours ou non, il y aurait de la casse.
Il ne croisa aucune taverne et n'en fut que plus énervé.

Il entra dans le bâtiment et alla directement voir son animal, ne cherchant pas tout de suite le maréchal-ferrant.

*On s'occupe bien de toi? Au moins un qui peut appréciez ce trou perdu!*

Il se retourna et chercha du regard le responsable de son animal.

-Vous y arrivez?

Lamedore eut un petit sourire.

-Cette bête et la mieux dressé du monde. Fuorst est juste un peu bourru. Il est habitué à ce que je le monte à cru. il n'aime pas avoire d'autres choses sur le dos.

Il se tourna vers l'animal le regard autoritaire et le visage sévère.

*Mais il va apprendre.*

Il contourna l'animal et lui installa la selle. Le burfos essaya bien de lui arracher des lambeaux de peau du bras mais quelques claque bien mise et des mots doux l'attendrirent. Il chuchotta à son oreille.

-Là. C'était pas si terrible. Je te l'enlèverai le plu souvent possible. Ok?

Il lui flatta l'encolure et se rendit prêt du maréchal-ferrant.

-Je vous dois combien? Quand vous aurez terminé vous n'aurez qu'à lacher Fuorst. Vous inquiêtez pas il cherchera pas à vous bouffer.

Il donna la somme qu'il lui annonça et alla chercher le sac de viande. Il le posa hors de poté de l'animal et lui attacha les quatre pattes à des poteaux pour que le maréchal ferrant n'ai pas de mal à le ferrer. Il posa un tas de viande devant le Burfos et se dirigea vers la sortie serrant le sac le plus fort possible. Du jus de viande fit une traîné vers la sortie.

-Vous le lachez et il aura pas trop de mal à suivre la bouffe je pense. Bonne journée!

Il sortie dans la rue en serrant toujours le sac, répendant une trainée de sang et de poussière rouge derrière lui. Il marchait rapidement mais avait presque le sourire.
Il était étrange de le voir accuser tous ces changements d'humeurs en si peu de temps. Soudain il lança le sac sur un toit. C'était le toit d'un magasin assez miteux. à la droite de se bâtiment se trouvait un motel à un étage de plus. Lamedore s'élança et, prenant appuie sur une poutrelle il aggripa le toit sur lequel il ne tarda pas à se hisser. Il récupéra son sac dans le seul but de lancer sur le toit du motel. Il saisit sa dague et son poing à lames, prit de l'élan et se jeta le plus haut possible pour attérir contre le mur d'en face. Sa dague et les lames du poings se plantèrent profondément. Il escalada rapidement le mur plantant ses griffes au fil de son ascension.
Si haut perché il admira le paysage. Il s'assit en tailleur et contempla une chîne de montagne assez lointaine. Il savait son nom et savait ce qui s'y trouvait surtout. Il plaça le sac de toile sous sa tête et son regard se perdit entre la chaîne de montagne et la sortie de la ville.



Il plissa soudain les yeux et vérifia l'emplacement du soleil. Il était approximativement trois heures. Cela devait faire plusieurs dizaines de minutes qu'il rêvassait. Dans trente minutes, si le maréchal-ferrant n'avait pas eut trop de problême aves Fuorst, le burfos suivrait la trainé de sang et arriverait devant le magasin. il ne resterait donc plus qu'une heure avant que l'alchimiste ait terminait sa concocsion et avant que Lamedore ne puisse enfin quitter cette ville de dingue...

Un hénissement proche du rugissement tira Lamedore de sa sieste improvisait.

-Ouai bah tu vas attendre un peu! On a encore une heure! T'as qu'a rattraper les heures de sommeil de cette nuit!

Cria Lamedore du haut de son toit. Il lança un hnouveau morceau de viande au Burfos dans la rue. Il eut un petit sourire. Il y eut une premier son, celui de la viande heuretant quelque chose mais il fut suivit d'un gémissement dégoûté. puis la chutte au sol de plusieur morceau de viande fraiche. il avait dût faire tomber la viande sur la tête d'un passant. Il ne restait plus qu'à espérer que Fuorst n'essairait aps de manger cette personne. Lamedore ne s'ens ouciait aps vraimetn d'ailleur. Où était le problème à voire un Burfos manger un imbécile d'humain?

Le tueur de monstre sombra de nouveau dans une somnolance proche du sommeil, ses yeux se posant de temps à autres sur le soleil pour voir l'avancée du temps.

Lorsqu'il fut l'heure, il sauta en plantant sa dague dans le mur pour ralentir sa chutte, le sac sur l'épaule. il attérit aux côté du jeune femme qui lacha un bruit proche du cri d'exclamation et de la facination. Lamedore ne s'en soucia guère... Il avait juste mal au chevilles... sAdague était mal affutée maintenant et il avait laissé une longue trainé dans le mur en torchis. Il valait mieux qu'il s'en aille avant que le tenant du motel vienne se rendre compte des dégats. Il sauta sur la selle qui était fort confortable et il partit au petit trot dans la rue en direction du magasin de l'autant rebouteux qu'herboriste, apothicaire et médecin. Le sac était de plus en plus léger... Il fallait arrêter de faire manger Fuorst dès que ça l'arrangeait... Le pauvre Burfos commençatit a prendre du ventre à force de manger toute la journée.

*Toi! A aprtir de maintenant tu va galoper!*

Pensa-t-il avec le sourire en sautant à terre devant la boutique.
Le tueur de monstre entra et alla directement dans l'arrière boutique, ne voyant pas encore une fois le charlatant dans la première salle. Il s'arrêta alors net.

[HRP]Surprends moi Mani!
\(^_^)/
[/HRP]